Dans un immeuble new-yorkais, neuf personnes qui ne se connaissent pas se retrouvent piégées dans un ascenseur en panne. Mais l’un d’entre eux porte une bombe... Le racisme se heurte à la cupidité alors qu'ils sont prêts à tout pour survivre. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à buzz2103 qui a créé cette fiche
Des gens coincés dans un ascenseur avec une bombe, quelle bonne idée ! De quoi bien faire stresser le spectateur entre la claustrophobie, la menace d'une explosion imminente, la présence d'enfoirés de première sans savoir, au début, lequel porte la bombe...
Oui mais. La plus grande partie du film est du remplissage sans intérêt, et comme souvent pour ce genre de productions la réalisation est très plate... donc rien ne vient compenser ces moments de dialogues affligeants de banalité. En plus l'absence totale de réaction de la part des secours est incompréhensible, tout le monde sait que le PDG (personne importante pour le gala de sa propre entreprise n'est-ce pas) est bloqué dans l'ascenseur mais personne ne bouge ses fesses. Un bon huis-clos doit proposer un enfermement crédible pour être opressant, là pour ma part c'est raté.
Pour les amateurs du genre c'est un film qui passe le temps, surtout au début où l'on peut se livrer à diverses théories plus farfelues les unes que les autres, mais sinon il n'a pas grand intérêt : il est plat et ne propose rien de vraiment nouveau si ce n'est l'idée de départ avec cette double menace , qui n'est pas exploitée à sa juste valeur.
Pareil que Pieuw, le huit-clos ne fonctionne pas bien. En fait, c'est presque si on ne se fouterait pas du sort de ces personnages (au même titre que les secours ma foi vu leur rapidité d'action). Beaucoup de remplissage à l'image de cette scène finale composée d'un dialogue inintéressant au possible et qui casse par conséquent la seule once d'émotion de ce film (la scène d'avant). C'est peut être pour arriver à la durée légale pour long métrage. (1h15 c'est court quand même...).