À l'aide d'une manipulation d'image aussi géniale que machiavélique, les vampires ont réussi à piéger Blade : sur un document vidéo, on le découvre en train de massacrer... un humain. Pour le FBI, Blade devient l'ennemi à capturer. Pourchassé par les hommes et condamné par les vampires, Blade va devoir se battre sur tous les fronts. Les vampires, qui multiplient les alliances secrètes avec des humains renégats, sont sur le point d'utiliser son propre ADN pour ressusciter celui qui, il y a bien longtemps, fut le premier et le plus puissant d'entre eux. Entre course contre la montre et les pièges qui se multiplient, l'affrontement est total. Cette fois, Blade aussi va devoir montrer les crocs...
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à baba qui a créé cette fiche
Assez bonne fin.
Je suis bluffée par la photographie qui est d'une netteté impeccable. C'est un blockbuster efficace qui n'a rien à envier aux autres Batman et Compagnie: les scènes de combat sont digne de ce nom et même si les effets spéciaux sont moindre, ils sont bien foutu et c'est renforcé avec de l'énergie (musique électrique), des dialogues barrés,... qui lui crée son propre style.
En plus, il y a des plans de fou (Drake qui sort au soleil en gros plan en diagonal) et la façon de filmer les acteurs est bluffant. On nous en met plein la vie. Il y a de faux airs de films tel qu'Expendable avec les ralentis de marché mais c'est tellement plus puissant, jouissif.
Au niveau du fond, j'ai été conquise aussi. Un héros super bien construit, profond! La conspiration du début contre Blade est géante et bien tournée => le héros torturé, affaibli, à la merci de tous. La psychologie mythique du héros qui veut demeurer seul, qui n'a pas besoin d'aider est super bien mis en place.
Un duo Biel/ Reynolds bien excitant. le perso de Reynolds est emblématique, sexy, basé et pourtant beauf par excellence, maladroit, pleins d'humour, j'adore.
Par contre, je suis un peu déçue de la fin... Mais un film modeste et bien pensé. D'anthologie.
Les 2 premiers sont vraiment mieux.
En fait en tombant par hasard sur Blade trinity, je me rends compte qu'Hollywood a donné sa chance à une équipe de gogoles et de types sans aucun goût. Y'a rien à sauver là dedans... Même vu dans les conditions nécessaires pour apprécier un nanard, bah non. Rien à faire. La Syrie qui se transforme en Irak, un bébé noir qui change de couleur le temps d'un saut entre deux immeubles... Et les tentatives pitoyables de proposer des plans esthétiques tombent à plat et sont risibles.
Quand on a aucun talent, vaut mieux s’abstenir, ou alors s'entraîner discrètement.
j'ai adoré la première fois que j'ai vu la trilogie et je kiff toujours autant. Certains trouvent toujours quelque chose à dire sur quelques défauts moi je dis bravo à tous ces gens qui ont travaillés dur pour arriver à ça...
Bouarf, un film à regarder comme un bon nanar.
Là où le précédent opus rattrapait sans soucis son vide scénaristique par des scènes d'action dantesques, là même ces dernières sont flinguées.
On passe pas un mauvais moment au final. C'est pas trop mal rythmé, on rigole devant la stupidité du scénario. On rigole du décalage entre musique qui te donnerait l'impression d'être devant une scène d'action incroyable alors que tu regardes des papis ayant peur de se faire mal ou de casser leurs accessoires. On rigole de leurs airs faussement classes. Y'a même Ryan Reynolds qui sert de comic relief.
Faut pas y chercher de la qualité, clairement. M'enfin c'est un nanar plutôt sympa.