Beau, un homme au physique avantageux et extrêmement anxieux, entretient des relations tendues avec sa mère autoritaire, en raison de l’absence de son père qu’il n’a jamais connu. Lors du décès de cette dernière, Beau va faire des découvertes traumatisantes sur son passé et devra faire face à des menaces surnaturelles.
(Source : Konbini)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à Batsmax03 qui a créé cette fiche
C'est un film pas très agréable à regarder, du genre "une fois, pas deux".
Par contre, il est passionnant !
Super travail sur le thème de la culpabilité et de la figure de la mère castratrice. Il y a aussi beaucoup de cynisme, et globalement, on rigole bien.
Juste, il est trop long. Une demi-heure de moins n'aurait pas été de refus.
Comme toutes les clefs sont données dès le départ, on aura compris que 3 heures, c'est long...
Ari Aster revient avec un projet plus chelou que ses deux précédents, une sorte de cauchemar éveillé où l'on assiste au parcours de Beau pour retrouver sa défunte mère, dans un voyage fiévreux qui rebutera les allergiques aux expérimentations visuelles et narratives. Un sacré paquet à décortiquer pour qui voudra bien entrer dans le jeu de Aster (des discours en général jusqu'aux décors truffés d'écritures, d'affiches, de dessin, y a de quoi faire pour les amateurs). La mise en scène, comme d'habitude, régale.
Film ô combien laborieux pour ce qu'il raconte et en vue de quoi il donne d'emblée toutes les clés.
Alors oui, les expérimentations d'Aster sont sympathiques; le premier quart du film est inspiré et haletant, un vrai cauchemar éveillé qui mêle horreur et absurde ; la scène du théâtre est incroyable même si un peu trop longue ; le plan final qui inclut le spectateur dans le cercle du tribunal est bluffant ; l'élément aqueux judicieusement employé tout au long du film... Mais bordel Aster pousse l'allégorie trop loin et prend le risque de perdre le spectateurs devant un film interminable et incompréhensible.
C'est difficile de se donner la peine de déchiffrer l'ensemble quand on connaît déjà la finalité.
C'était une expérience mais clairement j'aurai aucun plaisir à le revoir.