Jacq Vaucan, un agent d'assurance de ROC robotics corporation, fait des tests sur des robots. Ce qu'il découvre va avoir de profondes conséquences sur l'avenir de l'humanité. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Non renseigné
Merci à ZorrObiwan qui a créé cette fiche
Film qui commence très bien mais qui retombe très vite les robots sont vraiment mal fait et même trafiqué il marche a deux a l'heure et ce laisse tirer dessus trop bizarre, enfin plein de petits points pas bien calculé!
J'ai regardé Ex Machina hier soir, et j'ai décidé de voir Autómata ce soir, histoire de comparer.
Je m'attendais un film plus proche de I, Robot, en mode subtil. Mais le film part dans une tangente assez bizarre, sans réelle motivation pour les personnages.
Malgré le fait que supposément, 99,7% de la population mondiale ait été éradiquée, je trouve que ça se débrouille bien dans leur petit cocon.
De la SF comme j'adore.
Sans trop connaître les tenants et aboutissants, je trouve ça génial pour une production en partie espagnole de 7 million de dollar (à titre de comparaison: Ex Machina 11 000 000 pour un huis- clos; I,robot =120 000 000 $). Ce que je veux dire c'est que ce type de budget permet beaucoup d'idées graphiques intéressantes (surtout dans le domaine de l'anticipation c'est important) tout en recentrant le propos et l’émotion. Les robots peuvent paraître mal fait mais ce n'est absolument pas le cas, leur design et leurs mouvements s'appuient sur la robotique actuel, ce qui peut paraître irréaliste c'est qu'ils sont justement trop réalistes et donc trop archaïques pour ce qu'il accomplissent dans le film. Mais au cinéma je pense que la symbolique et autre figure de style sont plus importantes que le simple réalisme (là c'est tout de même très bien fait au regard de plein de choses) et à ce moment on pourrait dire la même chose pour Ex Machina en prenant le problème à l'envers car l'IA en question est physiquement gaulé comme une humaine, c'est un raccourcis ou du moins un support esthétique qui sert l'intrigue et le propos final mais de ce point de vue on peut dire qu'Automata et plus proche de la réalité.
En bref ça fait plaisir de revenir à des beaux fondamentaux du genre, bien et simplement réalisé, ça change de temps en temps des films qui transpirent la com' même dans leurs intentions et même si la sf c'est un genre très redondant, des bouffés de nostalgie comme celle-ci qui renvoient aux années 90 quand les facteurs sociaux ne monopolisaient pas toute la morale des films ben ça fait plaisir.
Vraiment très bien comme film et une image sublime.
Je crois qu'il ne faut pas s'arrêter à l'aspect des robots, c'est plus profond que ça. Le seul regret si j'en avais un à faire c'est que justement [spoiler] le chien robot ne soit pas un vrai robot mais du CGI. [/spoiler]
Par moment ça peut être longuet mais ça passe easy, il ne fait pas 2 h.
Under rated pour ma part.
Un remix cheap de Irobot s'inspirant des loi de la robotique d'isaac asimov. Sur le papier ca se presente bien.
En rendu ca par en nawak total au millieu du film. Incoherance scenaristiques sous intrigues qui ne servent a rien rt qui gachent le film. La dernière heure a été longue a regarder. Les effets speciaux sont superbien fait cela dit mention speciale la dessus
J'ai bien aimé, le film choisit de ne pas faire mumuse façon I robot, avec de l'action et des robots mécaniquement (trop) parfaits. Du coup ça lui donne un aspect très réaliste, car ces mouvements sont effectivement ce qu'on connait des robots humanoïdes actuels.
Il n'y a rien de bien original dans l'intrigue ; émancipation de l'IA, classique. Mais la façon qu'a le film de ne pas être spectaculaire permet de mieux se focaliser sur le fond, plus que la forme. Et aussi, le fait que les robots "se laissent tirer dessus" ou "marchent à deux à l'heure" rajoute quelque chose, au lieu d'en enlever ; ça renforce l'empathie, ce que la fin met bien en scène [spoiler] avec le robot qui dit "ce serait comme dire que vous êtes un singe... un singe violent". Car eux ne le sont pas, ce n'est pas leur but. [/spoiler]