Elle est de retour ! Encore traumatisés par la mort tragique de leur petite fille, un fabricant de poupées et sa femme recueillent une bonne sœur et les toutes jeunes pensionnaires d'un orphelinat dévasté. Mais ce petit monde est bientôt la cible d'Annabelle, créature du fabricant possédée par un démon…
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Kimysmile qui a créé cette fiche
J'ai flippé du début jusqu'à la fin, mais c'est parce que je suis une trouillarde. Concrètement, c'est très téléphoné et il y a trop de facilités. L'histoire n'a pas grand intérêt à part peut-être la fin... Du coup un peu déçue...
J'ai beaucoup aimé ce film qui est largement mieux que son prédécesseur "Annabelle". Une histoire très intéressante qui est bien réalisé fait de ce film un film où l'on reste attentif ! La création du mal se déroule avant le 1er opus ! Un film cool qui est bien oppressant !
10 minutes de scénario sur les 110 minutes de film.
Et le "démon" a toujours autant d'action chez EDF pour faire mumuse avec l’électricité. Bref, certainement mieux que le premier mais toujours inintéressante en tout point.
Idéalisée pour certains, redoutée par d’autres : les confrontations ne manquent pas lorsque l’on cite « Annabelle », un nom aussi doux que préalablement (et faussement) innocent. L’histoire n’était pas forcément écrite, mais les faits n’ont pas manqué de diversifier l’idéologie collective ; force de constater que chaque jugement, aussi profond soit-il, doit être mesuré. Nous sommes en 1970, Angleterre, lorsque la mère d’une certaine Donna découvre une ancienne poupée Ann Raggedy chez un antiquaire et en fait l’achat. Sa fille de 24 ans, alors en école d’infirmière, allait par la suite subir des épreuves effroyables. Personne, ni même son entourage, n’était véritablement prêt à en subir les frais.
Bien loin de toute civilisation urbaine, « Annabelle 2 : Les forces du Mal » ouvre son récit de manière contemporaine dans une petite bourgade au sein de laquelle une famille dite « lambda » s’offre à une vie paisible. Le père, fabricant de poupées, s’éprend de passion pour son métier, sa femme, s’occupe à ses diverses activités, alors que leur fille profite paisiblement du bon air. Mais tout ce beau monde sera marqué à vie par un événement tragique. Si le ton est clairement lancé, les plans fixes et l’épuration de l’image plongent le spectateur dans une sorte de terrain plat brumeux ; chacun sait ce qu’il va arriver, mais dans quelles circonstances ? Ce sentiment indéfectible qu’est l’angoisse restera le fil conducteur du long-métrage : les évènements successifs rendant la psychose de plus en plus palpable.
Après un premier opus efficace bien que parfois téléphoné, l’univers d’ « Annabelle » s’étend avec professionnalisme et dynamiste grâce à une utilisation intelligente du terme d’ « origin story », à savoir un travail en profondeur sur l’origine du mythe. Personne ne semble vraiment intouchable et, que l’on soit « meneur » ou « suiveur », l’épée de Damoclès pèse lourd, et parfois, très lourd.
Porté par un casting particulièrement convaincant, et sous la direction d’un David F. Sandberg concerné, la Warner a su ne pas tomber dans la facilité en conjuguant l’effrayant de l’innommable. Lorraine Warren cita un jour lors d’une visite au musée de l’Occulte que la caméra « pouvait filmer Annabelle, mais qu’elle ne la regarderai pas. Elle a causé bien des malheurs à bien des personnes ». Chacun est donc prévenu.
Ce second opus est bien plus convainquant et effrayant que le premier !
Un poil plus convaincant que le premier (on va pas se mentir, c'est pas foufou niveau audace), Annabelle 2 n'en reste pas moins un très mauvais film qui tombera vite dans les oubliettes du cinéma de genre.
Il remplit beaucoup trop les codes du film d'horreur à la James Wan, sans jamais s'éloigner de ce que le maître a proposé il y a déjà quelques années avec Insidious. Aucune audace, aucun parti pris, c'est juste lambda...
J'ai aussi eu énormément de mal avec le jeu des acteurs. La plupart sont bas de plafond, et les enfants sont tout bonnement insupportables, ce qui n'aide pas à faire passer la pilule. Le montage est lui aussi au fraise, avec des raccords peu inspirés (pour ne pas dire merdique) dans toutes les scènes.
Je commence à saturer de ces productions qui se tirent un balle dans le pied à coup de jumpscare putassier, ruinant au passage toute l'ambiance qui a pu être mise en place (j'en veux pour preuve la scène sous l'escalier où l'on voit le "démon", pas besoin de bruit strident pour créer de l'effroi). Ca me déçoit venant de la part de Sandberg qui a pourtant l'habitude des courts métrages originaux et bien menés.
UNIQUEMENT pour les fans de la série
Très très bon, bien meilleur que le premier qui n'a vraiment rien à voir !
Moins chiant que le 1...
Un film d’horreur qui respecte les codes et l’ambiance des films d’horreurs ! A voir pour Halloween ! La où le premier était intéressant en terme d’histoire mais manquait d’horreur, le deuxième volet d’Annabelle est nettement plus dans l’horrifique tout en gardant à l’esprit que c’est une origin story bien exploitée ! Une ambiance tendue comme jamais mais dommage que soit un peu longuée dù notamment au « huis clos » qui est instauré !
Les personnages quasiment tous féminins sont assez stéréotypés mais n’empêche pas aux spectacteurs de profiter du film car leur destin n’est pas forcément celui qu’on attend !
Petit bémol pour le jeu d’acteur de certains personnages comme Anthony LaPaglia qui est assez insipide !
Malgré tout j’y ai passé un bon moment de flippe !