L'histoire se concentre sur un jeune garçon qui cherche un médecin pour aider sa mère mourante.
Il conduit sa mère à travers ce magnifique paysage du nord de l'Angleterre, mais bien sûr, autour d'eux, cachés dans les forêts, les collines et les bois, se trouvent les infectés.
Finalement, il trouve un médecin qui, malgré une première impression étrange et décalée, se révèle être une force positive.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à Racetrack qui a créé cette fiche
OULA je suis le premier à le commenter, j'espère ne pas être le dernier et j'espère surtout ne pas être le seul à avoir KIFFÉ LE RIDE NOM DE DIEU.
Pardon mais voilà un film qui fait du bien au cinéma, à l'industrie, au spectateur en quête de nouveautés, fatigué de voir les licences s'éterniser, se répéter, jusqu'à la nausée, jusqu'à vomir même, jusqu'à ravaler ce vomi et nous le ressortir. On en peut plus de cette paresse hollywoodienne et le sale gosse de Danny Boyle et son pote Alex Garland (qui, malgré touuuus les défauts qu'ils ont, propose toujours des projets intéressants) viennent mettre un coup de pied dans la fourmilière.
Déjà, faire d'un troisième opus (de ce qui est désormais une saga) la première marche d'une trilogie, c'est fort, nous dire que le deuxième volet sort dans six mois, ça l'est encore plus. C'est plutôt courageux pour l'époque. Mais surtout, faire un troisième opus aussi barré, fou, bordélique que celui là, c'était osé et c'est un pari gagné. Même si, évidemment, y a des trucs sacrément débiles, les idées sont tellement assumées et revendiquées à fond que ça fonctionne, c'est tellement énergique dans la réal' et le montage qu'on est embarqués dans le manège. Le nombre de fois où j'ai écarquillé les yeux devant les choix avant de rire devant l'audace des mecs, c'était génial, je veux que des films comme ça : des films qui osent emmener le spectateur en dehors des sentiers battus, des films qui vont déjouer nos attentes, nous donner autre chose à manger quitte à nous balancer une équipe de Power Rangers Télétubbies dans une séquence finale incroyable. Mais aussi un film qui se révèle très touchant grâce au casting impliqué, Jodie Comer en tête ainsi que le personnage de Kelson, interprété par un Fiennes tout en douceur. La suite de ce volet est probablement devenue MA plus grosse attente ciné actuelle.
Dans une société entièrement réorganisée autour de la survie, quels rapports entretenons nous à notre mortalité, notre humanité et notre désir de liberté ?
Danny Boyle réinvente complètement l'univers posé par 28 jours plus tard. L'écart de temps annoncé permet un réel renouvellement des situations, des scènes d'actions inédites, des envolées de mise en scène totalement alambiquées, et ça marche. Mais, dans la lignée du premier film, 28 ans plus tard n'en oublie pas d'interroger "l'inhumain" et continue de démontrer, une scène après l'autre, que le véritable monstre, ce n'est pas toujours le zombie...
Super surprise !
https://www.youtube.com/watch?v=PjaPS3e4oig
Très sympa, l'histoire trouve sa particularité dans un genre vu et re-vu, ici le fait de voir la GB après un temps long sous quarantaine permet de montrer autre chose, même si on reste cantonné à une île et ses alentours. On ne voit pas beaucoup autre choses, ni d'autres personnes. La fin appelle une suite, hélas (pour les 2e et 3e parties prévues à ce film, je vois)
Ca faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas laissé aussi perplexe. Je suis persuadé d'avoir aimé, mais ses défauts me laissent à penser qu'objectivement c'était pas ouf ? Mais si j'ai aimé, c'est que c'était bien ?
Comment un film si codifié pour le blockbuster peut il être aussi auteurisant à la fois ? Boyle ne cesse de nous proposer des idées de mise en scène tout en reprenant une esthétique bien 2000 propre à ses ainés, assumant sa filiation.
Le scénario sait lui aussi être intéressant, en retravaillant des thématique chères au film de zombie (l'homme est un loup pour l'homme, mais ici au sens masculin du terme / l'idée de pureté communautaire et d'envahisseur / le memento mori). Malheureusement il se perd aussi pas mal notamment dans son traitement des personnages féminin juste aberrant.
J'ai adoré la proposition. Malgré ses défauts, quel plaisir de voir un film de cette envergure avec autant de libertés artistiques !