En 1938, dans un monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis se lancent en quête du Saint Graal. Face à eux, le docteur Henry Jones, qui poursuit la quête de sa vie à la recherche de cet objet légendaire. Quand son père disparaît, Indiana Jones se lance sur ses traces pour le retrouver.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à baba qui a créé cette fiche
moi aussi je le veux le saint graal !
Le meilleur des 4
Sean Connery est formidable et fait le film à lui tout seul. Pour le reste on reprend les mêmes ingrédients, avec peut-être un scénario plus recherché et une nana-de-service plus digeste que celle du deuxième film. Un bon divertissement donc. Après on n'échappe pas à de nombreuses grosseurs, bien entendu. Je crois que la pire c'est quand le héros super intelligent décide d'allumer un flambeau (qui dégouline bien) alors qu'il patauge dans un tunnel inondé de pétrole. Trop fort du roquefort !
Il ressemble étrangement aux deux autres, mais bon, personnellement, ça ne me dérange pas. Sans compter que le côté peu crédible des différents évènements me plait beaucoup ;)
Quand j'ai vu ce film, la saga n'était encore qu'une trilogie, peut-être aurait-il mieux valu s'arrêter là pour finir en beauté.
Selon moi il s'agit du meilleur Indiana Jones. La quête est passionnante. Indy va chercher le Graal quand même !
En bonus on découvre l'enfance du héros avec une belle introduction qui renforce la myhtologie d'Indy, sans le démystifier. Par la suite, toutes les scènes avec son père s'avèrent incroyables. On rigole beaucoup grâce à cette relation père-fils.
Du grand cinéma ! Touchant, amusant et captivant de par ses scènes d'aventure. Une belle réussite donc !
Petite conclusion de ce re-visionnage de la trilogie originale : Spielberg ne sait pas écrire les personnages féminins, Indiana est un gros forceur, le troisième est le meilleur dans le scénario et le déroulé des événements.
En vrai, c'est une licence surcôtée dans le domaine des films d'aventure, il y a finalement peu de place aux énigmes et plus d'action, ce sont des films pop-corn.
Celui-ci mêle l'humour du deuxième et l'aspect historique et épique du premier, la présence de Sean Connery apporte le côté décalé et l'aspect féminin cliché sexiste est un peu moins présent, je le préfère aux précédents :)
Beaucoup trop d'incohérences , sinon débrancher son cerveau ^^
Comment mieux conclure une saga de légende qu'en lui donnant la vie éternelle ? C'est en partant à la recherche du Graal qu'Indy nous livre certains secrets de sa Genèse, ainsi qu'une fin mémorable.
On prend presque les mêmes et on recommence : le format reste identique avec une scène d'intro/exposition qui si elle est un poil plus longue que d'habitude, en profite pour passer un message : "That belongs in a museum"
S'ensuit une quête pour juste sauver le monde d'un péril imminent, en l'occurrence, empêcher les Nazis d'acquérir la vie éternelle. Les Nazis sont d'ailleurs ici dépeints de manière grotesque, presque comme dans un "Papy fait de la résistance", dans leurs manières, leurs costumes trop grands, leurs mimiques de benêts. On est alors au tout début d'une nouvelle ère pour Spielberg, qui commence tout juste à faire de la Seconde Guerre Mondiale sa thématique principale, après l'échec de 1941 et le modeste "Empire of the Sun".
Comme toute aventure d'Indiana Jones qui se respecte, on aura notre lot de trous dans le scénario et de scènes complètement ahurissantes niveau crédibilité. Et aussi certains des faux raccords les plus atroces du 7é art, comme ce "X" géant qui disparait de la dalle de la bibliothèque à Venise.
Indiana Jones à cheval contre un tank ? Pas de problème. Enfin, si un peu, mais au final c'est le blouson de cuir qui aura le meilleur blindage. Un Messerschmitt contre un parapluie ? Les paris sont ouverts. La plume plus forte que l'épée sera un thème récurrent de cet épisode, donnant lieu à de savoureux moments.
Et au diable si tout cela n'est pas crédible. La suspension consentie d'incrédulité reste largement dans les limites de l'acceptable et ne dessert à aucun moment l'immersion. Est-ce que je vais m'offusquer d'entendre des explosions dans le vide spatial de Star Wars ?
Spoiler : non
Et c'est donc pas moins de deux Jones qui seront à l'écran pour partir à la recherche de la relique la plus mystique et la plus importante de la chrétienté. On retrouve Marcus Brody qui pour le coup campe un archéologue "crédible", ainsi que Sallah, tous deux déjà vus dans le premier film. Et chez les antagonistes, on retrouvera les clichés du genre : sadiques, obnubilés, et finalement aveuglés par l'appât du gain. On regrette ce manque d'évolution par rapport aux deux métrages précédents.
John Williams, le maître incontesté des thèmes musicaux, revient en grande forme. Henry Jones et le Graal ont leurs partitions, mais c'est surtout LA musique iconique d'Indy qui s'embellit d'une conclusion magistrale.
Toujours aussi génial dans son rythme, ce film et par extension, cette saga prouve que l'on peut faire un film d'aventures et d'action saupoudré d'humour, et qui marche du tonnerre.
Au final, les effets du Graal s'estompent dès que les héros dépassent la dalle scellée du temple, on est donc encore une fois face à une relique dont les effets sont limités sur l'histoire, et il n'y a bien que dans le deuxième film que l'impression de quête inachevée n'existe pas.
Comment ce fait-il que les pièges fonctionnent encore 700 ans plus tard? C'est le vieux chevalier qui les entretenait?
Le mec il se demande pourquoi des pièges vieux de 700 ans fonctionnent toujours mais ne semble pas offusqué du fait qu'un calice contenant de l'eau soigne les blessures mortelles et confère la vie éternelle a qui reste dans le temple. Ni qu'un pépé de 7 siècles attende sagement tout seul et sans Netflix dans sa cave.
Le meilleur des 3 (oui, les 2 suivants comptent pas tellement ils sont nuls)
Vu au cinéma à l'époque (oui je suis vieux) mais quel plaisir de le revoir avec les kids !