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The Witcher 3: Wild Hunt conclut l'histoire du sorceleur Geralt de Riv amorcée dans les livres d'Andrzej Sapkowski et les deux jeux précédents.
Suite aux évènements de The Witcher 2: Assassins of Kings, la guerre fait rage entre l'empire du Nilfgaard et les restes des Royaumes du Nord. Dans ce contexte, Geralt apprend que sa fille adoptive, Ciri, a été aperçue pour la première fois après des années d'errance entre les mondes, mais est poursuivie par la Chasse Sauvage, une troupe légendaire de cavaliers spectraux réputés pour être un présage de guerre et de maladie. Aidé entre autres par Yennefer, une ancienne amante, Geralt se met alors à sa recherche, afin de la retrouver avant la Chasse Sauvage.
Wikipedia
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Merci à Racetrack qui a créé cette fiche
Juste magnifique , vivement une suite
Version Playstation 4 159 h de jeu@bigpeperoni > tu as les deux opus précédents à faire sinon ^_^
Version Playstation 4 168 h de jeuSachant qu'il n'y aura pas de suite :D
Version Playstation 4M'étonnerait que CDProjekt s’asseye sur la poule aux œufs d'or quand même.
Version Playstation 4 168 h de jeuEnfin bon, j'ai pas encore tâté de ce Witcher 3é du nom mais j'imagine, vu ton commentaire Touket, que ça se termine mal...
Je n'y ai pas joué non plus, mais j'ai lu une interview de CDProjekt disant que celui-ci serait le dernier (dans le sens où ils n'ont pas du tout envisagé un quatrième opus) et qu'ils allaient se tourner vraiment vers Cyberpunk 2077. Après, ce n'est jamais définitif tant qu'il y a de l'argent à se faire ! :)
Version Playstation 4Ont peu rêver ;). Mais vue le boulot monstre qu'ils ont à faire avec cyberpunk 2077 et le dernier gros dlc de the witcher 3 ( blood and wine) , c'est sur qu'on est pas prés d'avoir une suite . surtout en fonctions des différentes fin que propose le jeux qui ne laisse pas forcément présager qu'il y aura une suite
Version Playstation 4 159 h de jeuPlusieurs fins possibles n'empêchent pas des suites de voir le jour : les créateurs choisissent simplement quelle fin est canonique pour eux. The Witcher 1 et 2 proposent également plusieurs fins.
Version Playstation 4 168 h de jeutu à sans doute raison Benben, je n'ai pas encore eu la chance de pouvoir joué au précèdent opus ;) .Mais c'est juste que si suite il y a, nous pouvons encore attendre pas mal de temps avant qu'elle soit officialisé
Version Playstation 4 159 h de jeuEn fait ce serais la fin du héros principal Geralt De Riv mais la série devrais continuer avec son studio chose remarquable quand on voit ce que va devenir la saga MGS ou Uncharted si ND en reste la..
Version PCCD Projekt signe avec The Witcher 3 un chef d’œuvre comme on en croise rarement dans le monde du jeu vidéo. C'est peut-être ce qui lui donne cette grandeur, mais il ne faut pas mettre de côté la qualité incroyable du travail accompli sur ce titre.
Version Playstation 4 168 h de jeuAu fur et à mesure que les heures s'égrainent, on ne peut qu'apprécier tout l'amour que les créateurs ont mis dans cette ultime aventure numérique de Geralt. Ici, tout est sublimé, du moindre détail à la grandiose ville de Beauclair, on en finit jamais d'être émerveillé et toujours surpris par autant de savoir-faire. Un exemple à suivre et que j'espère retrouver dans Cyberpunk 2077. D'ailleurs pour l'anecdote, Ciri semble bien faire allusion à ce monde là lors de l'un de ses récits. Bref.
The Witcher 3 rend difficile le fait d'écrire à son propos, tellement je crains de ne pas avoir de mots assez puissants pour évoquer ce que j'ai vécu pendant près de 200 heures. L'un des coups de maître est d'ailleurs le fait que jamais l'ennui ne s'installe, et même si des quêtes annexes routinières vont rythmer l'aventure, elles sont toujours finement écrites et tiennent à elles seules lieu de mini-scénarios.
Là où l'équipe Polonaise commet un sans fautes, c'est indéniablement au niveau du rendu visuel de leur création. La poésie qui transpire de certains tableaux est telle, que je me suis surpris bien plus d'une fois à tout simplement regarder le paysage qui s'étendait aux pieds de Roach, le cheval de Geralt. Avec ses 4 maps totalisant plus de 140Km carrés, ce qui est énorme, on pourrait craindre une certaine redondance, et pourtant... des plaines campagnardes de White Orchard et Velen aux Fjords de Skellige, en passant par les paysages provençaux de Toussaint, le dépaysement est bien là du début à la fin. Chaque lieu proposant bien évidemment ses villes et sa culture, ainsi que son lot de zones plus ou moins cachées à découvrir. Les fondus d'exploration ne peuvent ici qu'apprécier un plaisir immense.
Le moteur du jeu est peaufiné à l'extrême, et le tout reste fluide même dans les moments où les processeurs sont le plus sollicités. Les expressions faciales sont vraiment dignes de ce que peuvent proposer de vrais acteurs, sans toutefois atteindre le niveau de L.A. Noire.
Du côté du scénario, de la mise en scène et du background, c'est tout bonnement incroyable. The Witcher et The Witcher 2 : Assassin's of Kings avaient habitués ceux qui s'y sont aventurés à des histoires matures, complexes et pleines de complots. Ici, c'est pareil, mais en mieux. On ne compte plus les personnages hauts en couleur, qui ajoutent encore de la profondeur à une intrigue qui déjà tient la route. Sur ce point aussi, on passe de Charybde en Scylla, un vrai régal. Les cinématiques bénéficient d'un soin tout particulier, et n'ont rien à envier à la plupart des grands films.
[spoiler] La toute dernière image de Blood and Wine, lorsque Geralt brise le 4é mur en regardant directement le joueur... posée juste en toute fin d'aventure, cette séquence là est quand même magistrale ! [/spoiler]
Il ne faut pas oublier également de parler des références, tellement nombreuses qu'en faire une liste complète prendrait des jours... Mais leur qualité et leur utilisation illustrent bien le degrés d'implication des créateurs et leur volonté de proposer une œuvre unique mais qui va puiser un peu partout des easter-eggs et autres joyeusetés qui raviront les connaisseurs.
Au niveau du gameplay, autant rester bref, car il n'y a pas grand chose à dire. C'est du action-RPG comme on l'aime, avec des combats propres et dynamiques. On équipe son personnage avec les meilleures armures trouvées ou craftées, on fait subir à Geralt des overdoses de potions pour le rendre plus fort et plus rapide, en somme rien de trépidant à déclarer.
Soyons honnêtes, The Witcher 3 n'est pas exempt de petits défauts, comme par exemple ses menus qui sont peu pratiques, notamment pour ce qui est du classement des items, et qui rament si tant est que l'inventaire soit bien rempli. Les combats à cheval sont également peu plaisants et heureusement dispensables, et il arrive parfois que ce bon vieux Roach à qui l'on confie la menue tâche de suivre une route, décide tout à coup de partir dans les sous-bois. La plus grande carte du jeu, Velen/Novigrad met beaucoup de temps à charger (1:30min), ce qui peut être vite lourd si on subit un game-over bête. Bref, du détail vous dis-je, mais le souci c'est que quand tout ou presque est parfait, les plus petites tâches ressortent.
Hors de question de conclure ce pavé sans évoquer la bande-son, tout simplement épique ou poétique, selon les lieux et les situations.
Un très très grand bravo donc à CD Projekt pour cette merveille, qui mérite amplement ses louanges et ses multiples prix.
https://www.youtube.com/watch?v=TJuPBBw-l-M
Tu fais chier, je comptais pas prendre le temps de le faire dès l'année prochaine cause d'un "programme jv" déjà hyper chargé, mais ta critique donne trop envie ! Bon par contre plus de 150h (même si y'a sans doute moyen de très bien le finaliser un peu plus rapidement) ça demande un sacré investissement... J'ai déjà passé ma vie sur Xenoblade Wii U cette année, The Witcher 3 a l'air encore plus gourmand en temps lol.
Version Playstation 4Non, 150 heures c'est une moyenne plutôt basse pour terminer toutes les quêtes et découvrir tous les lieux. Après si tu veux le faire en ligne droite, tu passeras à côté de 80% de ce qui fait l'esprit du jeu, mais tu peux effectivement le terminer en une trentaine d'heures.
Version Playstation 4 168 h de jeuJ'aimerai bien avoir le feedback d'Apolo, qui a passé 153 heures sur le jeu, mais qui l'a noté 1/20...
Version PC 103 h de jeuDans la catégorie "en retard"... M'enfin, mieux vaut tard que jamais ! Maintenant que j'ai un PC suffisamment puissant, me voilà à nouveau dans la peau de Géralt.
Version PC 144 h de jeuAlors je ne l'ai pas fini (loin de là), mais après 54h de jeu je peux donner un avis.
C'est juste incroyable. Je craignais, en le comparant à Skyrim, que le côté non RPG du fait qu'on suit l'histoire d'un personnage qui est déjà construit et a sa place dans le monde et parmi ses amis, que cet aspect me fasse moins m'immerger, mais il n'en est rien. Du coup je dois bien avouer que j'y prend autant de plaisir que j'ai eu sur Skyrim.
En positif, donc, évidemment, toujours la fabuleuse écriture du récit, des personnages, des dialogues, de l'ambiance tout simplement. C'est ça, surtout, qui nous immerge, totalement, qui nous fait ressentir des choses et nous fait nous oublier.
Un monde ouvert complet dans son gameplay varié ; cheval, course, nage, une dynamique de combat plutôt énorme (arbalète, signes, esquives, parades, roulades, etc), enquête, Gwynt, dialogues, et toute la gestion de personnage (craft, inventaire, compétences...).
Et donc le point négatif est lié justement à ça : il y a beaucoup de choses. Non seulement dans les éléments qui permettent de jouer (cités au-dessus), mais surtout dans le contenu pour qu'on y passe du temps : les quêtes. On est submergé de quêtes qui s'accumulent dans notre journal (pas toutes faisables, elles sont levelées), il y en a partout et le côté contrats (très cohérent, certes) fait qu'elles s'intègrent pas (pour une partie, toutes ne sont pas des contrats) naturellement dans le jeu. Au bout d'un moment, on peut donc avoir l'impression d'être un concierge.
Ah, Géralt me dit que oui, oui c'est ça, c'est tout à fait ce dont il a l'impression. Bon au moins là aussi c'est cohérent.
Autre point négatif, même si je suis en cours de jeu, il me semble pas voir sur la carte autre chose que l'ouest des royaumes du nord. Au temps pour Aedirn et Kaedwen. Et Mahakam, bon sang ! Il me semblait que le 2, du coup, faisait plus voyager sans être ouvert. Peut-être que des cartes moins grandes et plus disséminées dans les Royaumes auraient été souhaitables. Ici, on passe tellement de temps, par exemple, à Velen, que la région au bout d'un moment nous sort par les trous de nez. Mais bon le côté levelé justement nous fait y retourner par la suite. En ça donc, le côté gris et moche de l'environnement (surtout Velen) rappelle bien The Witcher 1 (mais avec des graphismes autrement plus convaincants), et la musique toujours très mélancolique renforce cet aspect qui, j'avoue, peut être lassant à la longue. Enfin j'imagine que les DLC (surtout celui qui nous emmène à Toussaint) changent un peu ça.
Bref, ce sont des détails. Le jeu est presque parfait. Tout le mérite ne revient pas à CD Projekt, car Sapkowski a créé un héro et un univers très adaptable et exploitable, ainsi qu'une saga sur laquelle tout se base, avec un ton et des personnages très bien illustrés ici qu'on a plaisir à revoir d'un jeu à l'autre. Mais une telle qualité de jeu fait du bien.
EDIT : après 112h de jeu, des précisions qui font baisser ma note : toutes les femmes avec qui il y a romance (et en général aussi) sont hyper sexualisées (décolletés absurdes) et ont toutes le même physique. Moi ça m'a fait rire et facepalm de voir qu'elles ont TOUTES la même poitrine (petits seins pointus et taille fine), même les monstres qui sont montrés de la sorte sont pareils. Ce serait un détail si le jeu ne mettait pas autant en avant le cul et les occasions de romance. Parce que du coup c'est, comparé à la qualité du reste (variété des personnalités, dialogues, etc), d'une pauvreté assez ridicule. Ah oui et CIRI A DES TALONS ! WTF ? Elle combat en bottes à talons !
Le jeu, aussi, ne me donne pas tant envie de reroll, car au final la voie de Geralt reste assez linéaire, les signes, l'épée, et puis c'est tout. L'histoire est très ancrée dans le jeu, c'est super pour un premier run, mais en rejouabilité ça casse l'envie, contrairement à un RPG où on construit son perso. Mais bon, ça, c'est le sorceleur, c'est inévitable. Cependant, il est possible, mais j'ai pas encore testé, d'avoir un mode de réponse alternatif des signes et actions, une évolution différente des monstres, donc il y a malgré tout des efforts faits pour proposer une expérience différente.
Mieux vaut tard que jamais, et ce proverbe s'applique parfaitement à The Witcher 3 -Wild Hunt. Pour être honnête, je m'étais vite découragé lorsque je l'avais commencé à sa sortie devant l'immensité de l'open world, la durée de vie du jeu et le monceau de quêtes disponibles. J'avais préféré attendre d'avoir suffisamment de temps pour profiter pleinement de cet opus, et je ne regrette nullement mon choix.
Version PC 103 h de jeuQue ce soit grâce à la mise en scène, aux voix françaises qui ne cessent de sublimer les personnages, à l'ambiance générale ou à l'univers de l'auteur, l'immersion est totale. J'ai littéralement passé ces 78h en moins de trois semaines sans les voir passer, tant j'étais hypé à chaque apparition de la Chasse Sauvage ou effrayé par certains contrats de Sorceleur qui ne m'ont pas laissé de marbre (le Blême, notamment, qui m'a salement donné les foies). L'acte final s'enchaîne plutôt bien, même si je m'attendais à des combats un peu plus poussés, et la dernière scène est sincèrement touchante. Coté scénario, c'est du très bon travail.
Maintenant voilà : l'immersion globale est régulièrement troublée par quelques éléments souvent externes au récit qui m'ont sorti de l'histoire plus d'une fois.
Il faut déjà parler des bugs, même si c'est pour survoler une flopée d'articles et de commentaires qui en ont déjà fait mention. Que ce soit mourir d'une chute d'à peine un mètre, voir son écran se figer au moment de choisir un sort, assister au spawn archaïque de certains mobs en dehors de leur zone d'apparition sans aucune raison visible... Même si cette liste non-exhaustive ne semble pas être véritablement pesante, elle rajoute un grain de sel conséquent dans le plaisir de jouer : je n'ai pas pu faire des sessions de plus de deux heures sans avoir à redémarrer Wild Hunt ou à charger une ancienne sauvegarde. À défaut de 78 heures de jeu, ça fait quand même 39 interruptions de partie...
Ensuite, même si les quêtes sont diversifiées dans leur approche, on se retrouve quand même souvent à devoir tabasser globalement un peu tout, malgré des personnages et des dialogues divertissants. Leur répartition est tout de même assez spéciale : il est possible de ne faire presque que des quêtes secondaires jusqu'au niveau 25 mais arrivé à ce stade, l'histoire s'enchaîne sans interruption et plus aucune intrigue secondaire n'est proposée. Le tout rend un équilibrage assez étrange, entre l'équipement et le niveau du personnage qui facilite grandement la seconde partie du jeu (pourtant en Sang, Sueur et Larmes chez moi), qui m'a donné l'impression d'être moins travaillée que la première.
On passera sur les combats qui sont agréables mais pas révolutionnaires ou particulièrement techniques, le gwynt et les courses de chevaux plus qu'anecdotiques ainsi que sur la possibilité de recommencer le jeu une fois terminé, qui ne présente aucun intérêt selon moi.
Le tout est fidèle aux problématiques sociales du roman d'origine à travers lesquelles Geralt navigue, essayant toujours de ne pas choisir le "Moindre Mal". La discrimination entre les espèces est omniprésente, tout comme la peur de l'inconnu, qui sont symbolisées à la fois par la guerre entre les Elfes et les Humains ainsi que par les bûchers des Rédaniens qui brûlent ceux qui ne leur ressemblent pas. Il faut réussir à faire des choix parfois compliqués, à essayer de rester fidèle à ses valeurs ou non... The Witcher 3 interroge le joueur, le questionne et ne le fait pas simplement jouer dans son univers : il l'emmène au cœur du marais de Velen, de la peur de l'autre et de la guerre et le fait évoluer en lui demandant de trancher entre plusieurs situations. Même si les choix n'ont pas forcément de conséquences direct sur l'intrigue principale, ça fait tout de même du bien d'avoir une œuvre qui interroge vraiment le joueur et ne le considère pas comme simple spectateur d'un récit déjà tout tracé.
La grosse réussite du jeu, c'est l'ambiance générale et le scénario. Une simple cinématique peut faire oublier tous les aspects négatifs et l'histoire nous tient en haleine durant toute l'aventure : je me suis surpris parfois à me croire en plein champ de bataille entre un Radovid sombrant dans la folie et un empereur nilfgaardien aux ambitions démesurées. Il est simplement dommage que quelques problèmes facilement évitables de la part du studio soient à l'origine de redémarrage intempestif ou d'un gameplay parfois plus que frustrant. J'ai hâte de me lancer dans les deux DLCs et de retrouver Geralt pour quelques heures encore.