The rules are simple. Reach the other side and kill anyone that stands in your way. Deftly parry and rend their throats, riddle their bowels with arrows, or squish their brains between your toes. The wurm cares not for chivalry.
L’arrivée de cette suite est une belle récompense pour les amateurs du premier opus, qui avait su trouver son public avec un concept minimaliste et une direction artistique complétement folle ! Malgré un contenu limité, Nidhogg représentait une expérience originale et un excellent défouloir multijoueur. Place au second acte.
Sans surprise, ce nouvel opus se contente de bonifier la recette et conserve le principe de base : atteindre le dernier écran du niveau en terrassant votre adversaire dans un duel de cape et d’épée. Chaque coup s’avère fatal, mais la victime ressuscite quelques mètres plus loin pour protéger son territoire et reprendre l’initiative. S’ensuit des confrontations dynamiques et intenses, où les techniques les plus sournoises sont de rigueur ! Outre une revisite visuelle du plus bel effet, nous y reviendrons, Nidhogg 2 mise sur l’apport de nouvelles armes pour renouveler l’expérience. En sus du fleuret traditionnel, il est désormais possible de combattre avec une puissante épée à deux main, un arc ou une dague. Chacune ayant des avantages et des inconvénients qu’il faudra exploiter en fonction du terrain et de l’adversaire. Cette diversité, générée aléatoirement à chaque respawn (ou selon l’ordre défini dans les options), apporte de la fraicheur à un gameplay technique et efficace. Pour compléter le tout, on peut désormais compter sur une dizaine d’arènes et sur un mode tournoi afin d’humilier vos potes en toute légalité. Du bonheur.
Techniquement, Nidhogg change de style mais conserve une empreinte unique grâce à une palette de couleurs audacieuse et une réalisation en pixel-art old school du plus bel effet. Des décors variés et absurdes renforcent cet aspect délirant, finalisé par un character-design magnifiquement moche. Bien moins épuré qu’auparavant, le rendu visuel se révèle au final très agréable. Pas de révolution sonore en revanche, les musiques et bruitages se faisant malgré eux discrets devant les hurlements rageurs ou victorieux…
Orienté 100% arcade, Nidhogg 2 reste un jeu de niche destiné aux soirées (arrosées) entre potes. Plus complet que son prédécesseur, ce second opus bonifie le concept et étoffe son contenu afin de nous offrir un petit concentré de fun et de divertissement. Covid inside, j'aurais souhaité profiter encore davantage du local avec les z'amis (car affronter l'IA ça va bien 5 minutes...), mais on se rattrapera l'année prochaine... et les suivantes, jusqu'à Nidhogg 3 ! A essayer de toute urgence.
L’arrivée de cette suite est une belle récompense pour les amateurs du premier opus, qui avait su trouver son public avec un concept minimaliste et une direction artistique complétement folle ! Malgré un contenu limité, Nidhogg représentait une expérience originale et un excellent défouloir multijoueur. Place au second acte.
Version Playstation 4 5 h de jeuSans surprise, ce nouvel opus se contente de bonifier la recette et conserve le principe de base : atteindre le dernier écran du niveau en terrassant votre adversaire dans un duel de cape et d’épée. Chaque coup s’avère fatal, mais la victime ressuscite quelques mètres plus loin pour protéger son territoire et reprendre l’initiative. S’ensuit des confrontations dynamiques et intenses, où les techniques les plus sournoises sont de rigueur ! Outre une revisite visuelle du plus bel effet, nous y reviendrons, Nidhogg 2 mise sur l’apport de nouvelles armes pour renouveler l’expérience. En sus du fleuret traditionnel, il est désormais possible de combattre avec une puissante épée à deux main, un arc ou une dague. Chacune ayant des avantages et des inconvénients qu’il faudra exploiter en fonction du terrain et de l’adversaire. Cette diversité, générée aléatoirement à chaque respawn (ou selon l’ordre défini dans les options), apporte de la fraicheur à un gameplay technique et efficace. Pour compléter le tout, on peut désormais compter sur une dizaine d’arènes et sur un mode tournoi afin d’humilier vos potes en toute légalité. Du bonheur.
Techniquement, Nidhogg change de style mais conserve une empreinte unique grâce à une palette de couleurs audacieuse et une réalisation en pixel-art old school du plus bel effet. Des décors variés et absurdes renforcent cet aspect délirant, finalisé par un character-design magnifiquement moche. Bien moins épuré qu’auparavant, le rendu visuel se révèle au final très agréable. Pas de révolution sonore en revanche, les musiques et bruitages se faisant malgré eux discrets devant les hurlements rageurs ou victorieux…
Orienté 100% arcade, Nidhogg 2 reste un jeu de niche destiné aux soirées (arrosées) entre potes. Plus complet que son prédécesseur, ce second opus bonifie le concept et étoffe son contenu afin de nous offrir un petit concentré de fun et de divertissement. Covid inside, j'aurais souhaité profiter encore davantage du local avec les z'amis (car affronter l'IA ça va bien 5 minutes...), mais on se rattrapera l'année prochaine... et les suivantes, jusqu'à Nidhogg 3 ! A essayer de toute urgence.