25 h
46 h
61.5 h
Vous pourrez vivre l’ensemble de l’intrigue et un nouveau chapitre qui viendra étoffer l’histoire de Jin Sakai. Dans celui-ci, vous arpenterez l’île d’Iki à la recherche d’une présence mongole comme le suggère la rumeur entendue par Jin. Toutefois, les évènements obligeront le héros à se confronter à son histoire et à réouvrir les plaies de son passé.
La PS5 offre à cette Director’s Cut les meilleurs conditions pour vivre l’expérience de cette exclusivité : retour haptique, gâchettes adaptatives, 3D Audio, des temps de chargement amoindries et des options de résolution en 4K 60FPS pour couronner le tout.
(Source : jv.com)
Vous en avez obtenu 0 sur 77, soit un pourcentage de 0 %
Afficher : Tout • Obtenu • Pas obtenu
Ébranlez des ennemis 50 fois.
Achetez quelque chose chez Baku le Silencieux en Nouvelle Partie+.
Vainquez 20 ennemis en effectuant une contre-attaque après une parade parfaite.
Personnalisez une scène dans le mode photo.
Apprenez les postures de la pierre, de l'eau, du vent et de la lune.
Obtenez 30 éléments cosmétiques.
Libérez 12 lieux occupés à Izuhara.
Récupérez 10 faveurs.
Terminez une histoire du mode Légendes.
Placez un charme dans chacun des 6 emplacements.
Obtenez toutes les techniques d'armes de Fantôme lançables.
Améliorez votre sabre au maximum.
Libérez tous les lieux occupés d'Izuhara.
Tuez 20 ennemis avec la posture du Fantôme.
Libérez 8 lieux occupés à Toyotama.
Vainquez le maximum d'ennemis au cours d'une même confrontation.
Terminez toutes les histoires du mode Légendes dans une seule difficulté.
Bâtissez votre légende pour obtenir le titre de Fantôme de Tsushima.
Terminez tous les duels au bokken du tournoi de la crique secrète.
Remportez une partie de Légendes : Rivaux.
Récupérez 20 artefacts mongols.
Bâtissez votre légende sur l'île d'Iki pour obtenir le titre de Rédempteur d'héritage.
Atteignez le rang 20 dans une classe.
Terminez tous les récits mythiques.
Libérez tous les lieux occupés de Toyotama.
Récupérez 20 témoignages.
Libérez 7 lieux occupés à Kamiagata.
Délivrez l'île d'Iki en battant l'Aigle et en chassant l'envahisseur des territoires mongols.
Venez à bout de la dernière vague d'une mission de survie en difficulté Or.
Libérez tous les lieux occupés de Kamiagata.
Terminez tous les haïkus, les onsens, les sanctuaires shinto et les bambous d'entraînement de l'île d'Iki.
Trouvez et honorez tous les sanctuaires shinto de Tsushima.
Remportez tous les duels.
Libérez tout Tsushima.
Terminez les sources chaudes, les haïkus, les sanctuaires Inari et les bambous d'entraînement.
Terminez tous les récits de Tsushima.
Rallumez tous les phares de Tsushima.
Liez une pièce d'équipement à une classe.
Purifiez une pièce d'équipement maudit.
Obtenez tous les succès du jeu de base.
Découvrez et terminez tous les récits non écrits de l'île d'Iki.
Terminez tous les récits d'Iki.
Invoquez cinq ombres en une seule partie de Rivaux.
Atteignez le rang 20 dans toutes les classes.
Terminez les 3 chapitres du raid.
Terminez le périple de Jin en Nouvelle Partie+.
Merci à Ameni qui a créé cette fiche
Dans la désormais grande famille des exclusivités Sony quasiment toutes sorties du même tonneau, je demande... Ghost of Tsushima, superproduction au hormones de soja, nous emmenant tout droit dans un Japon féodal aux prises avec l'envahisseur Mongol. Aiguisez les katanas, sortez le saké, et en selle pour une grande aventure en monde ouvert.
Version Playstation 5 70 h de jeuOui, en monde ouvert, recette désormais incontournable et symbole d'une toute puissance pour les studios qui peuvent se le permettre, car ce style repose sur des codes de gameplay, de game-design, et de world-buiding tranchants et dangereux.
Imaginez décortiquer Grand Theft Auto, Assassin's Creed et Breath of the Wild afin de n'en garder que certaines parties. Le monde vaste et varié, empli de PNJ d'un GTA, les forteresses et les patrouilles ennemies d'un Assassin's Creed, et la poésie d'un Breath of the Wild. Vous avez déjà une bonne base bien solide pour lancer la création d'une map vivante. Ajoutez à cela le sempiternel remplissage grâce aux chasses aux trésors inutiles et vous avez un fond de tarte prêt à être recouvert.
Sucker Punch, studio américain à qui l'on doit déjà les sagas Sly et inFamous, a su mettre à profit son savoir faire pour rendre l'île de Tsushima aussi belle que remplie de points d'intérêt (à taux VARIABLE !).
Dans la peau de Jin Sakai, samourai ayant de peu échappé à la mort suite aux invasions barbares, vous allez être l'instigateur d'une résistance farouche pour bouter l'ennemi hors des frontières nippones. Pris en tenaille entre l'honneur des combats glorieux et la roublardise d'une rebellion aux abois, le destin de Jin sera a jamais lié à sa volonté d'être libre.
Pour mener à bien sa mission, notre avatar disposera de multiples aptitudes, faisant de lui une véritable machine à hacher menu. Le gameplay repose sur l'exploration et les combats, attardons nous un instant sur ces derniers. Armé d'un katana vous pourrez taillader du mongol à la chaîne et varier les plaisirs en changeant à la volée de posture de combat en fonction du type d'ennemi, indispensable pour briser les gardes afin que vos coups portent. A l'aide d'une touche, vous pourrez parer et avec le bon timing vous pourrez contre-attaquer de manière foudroyante. Idem pour l'esquive des coups imparables, une pression sur O vous permettra d'éviter de vous faire embrocher, et avec le bon rythme votre vengeance sera froide comme le métal. Afin d'ajouter du dynamisme, il sera possible d'utiliser jusqu'à 8 techniques aussi fourbes que jouissives pour expédier vos duels : du lancer de kunai furtif au katana enflammé en passant par le fumigène permettant d'assassiner les soldats qui n'ont pas de sérum phy, ou même en balançant une bombe incendiaire au milieu des troupes, ces options plutôt défensives car ayant pour but de n'être utilisées que pour se sortir d'un mauvais pas, seront dévastatrices. Et afin de préparer le terrain vous pourrez créer des diversions à l'aide de pétards, de clochettes... Vous aurez également à votre disposition un arc court et rapide, un arc long plus puissant mais plus lent, divers types de flèches, et une sarbacane disposant de fléchettes empoisonnées. On voit donc que niveau action, on sera servis. Ma seule critique négative concernant les combats se portera sur le fait que la caméra se veut parfois capricieuse, et que par défaut le jeu ne propose pas le verrouillage sur un ennemi, menant souvant à une grosse confusion. Toujours pour rester sur les combats, il est important d'évoquer les duels purs, dans de petites arènes, faisant office de boss. Chaque duel débutera par une petite cinématique et il est vraiment dommage que l'animation soit identique à chaque fois.
Mais la répétition est un fléau qui touche inmanquablement tous les jeux en monde ouvert qui craignent que l'ennui ne s'installe et Ghost of Tsushima ne déroge pas à la règle. La carte du monde regorge de points à découvrir : les sources d'eau chaude qui permettent d'améliorer d'un pouillième la barre de vie, les terriers des mignons petits renards qui vous guideront vers des statuettes augmentant le nombre d'amulettes que l'on peut porter, les zones de méditation pour y créer des haïkus débloquant des bandanas dont la seule utilité sera cosmétique, les bambous à trancher selon un combo de touches afin d'augmenter la capacité de soin, les stèles mémorielles pour récupérer de nouveaux fourreaux pour vos armes, et les camps fortifiés à défoncer. A cela s'ajoutent les drapeaux à collectionner, les parchemins, les artefacts... Disons qu'au bout d'un moment, refaire en boucle les mêmes choses a un effet redondant (comme la partie sporadique du fenouil).
Heureusement, l'autre atout du gameplay, l'exploration donc, est clairement l'atout maitre du jeu. Associé à un world-buiding inspiré et surtout à une direction artistique complètement ahurissante de beauté, l'invitation au voyage fera de Ghost of Thushima une expérience marquante. Que ce soit à pied ou à cheval, impossible de rester de marbre devant la beauté des paysages. Des plaines caressées par le vent, aux forêts de bambous, des montagnes enneigées aux plages chaleureuses, des marécages aux rizières, l'envoûtement sera toujours présent. La gestion des couleurs donne une identité à chaque zone, et on pourra y trouver un lien avec les éléments du scénario d'ailleurs. J'ai trouvé cela fort bien amené même si l'écriture globale n'atteint jamais le firmament. J'avoue avoir eu un pincement au coeur lors du dénouement final malgré tout !
L'accent est fortement mis sur l'aspect visuel, puisque l'on pourra accoutrer Jin de différentes armures qui viendront améliorer légèrement telle ou telle capacité mais tellement à la marge que c'est vraiment l'apparence qui sera le critère de choix principal. Les bandanas et les masques n'ont eux aussi qu'une utilisé cosmétique, tout comme les fourreaux. Si comme moi vous n'en avez rien à foutre de l'apparence de votre avatar, alors vous ferez l'intégralité du jeu en mode clochard avec la tenue de voyageur qui a au moins le mérite de lever le brouillard de guerre plus loin sur la carte et de détecter les trésors (inutiles) de loin. L'équipements pourra être amélioré grâce à des matériaux glanés de-ci de-là mais il y en a tellement et à foison que votre inventaire débordera vite de tout.
Un mot rapide sur la musique, qui se fait plutôt discrète car hormis le thème de l'écran titre, on ne retiendra aucune mélodie. Classique dans sa composition, elle accompagne les missions du scénario et les cinématiques. On notera la possibilité de faire jouer de la flute à Jin, cela permettant de changer la météo (coucou Wind Waker !).
Parmi les autres capacités, celle de faire se lever le vent demeure sans conteste la meilleure idée de game-design de ces dernières années. Si on peut constater depuis pas mal de temps déjà une sorte de trope à vouloir tracer le chemin à suivre avec des codes couleur, c'est ici un autre fil d'Ariane qui est mis en avant. En effet, il suffira de suivre le sens du vent pour aller vers le prochain objectif. Cela rend le monde plus crédible puisque épargné par des bordures jaunes bien mises en évidence (même si les cordes accrochées aux abres pour bien nous montrer qu'on peut y lancer son grapin c'est justement ce que le jeu cherche à éviter par ailleurs hein), et permet d'avoir un écran épuré de tout HUD (affichage tête haute), sauf pendant les combats ou lorsqu'un point d'intérêt est à proximité.
Enfin, la partie technique est carrément blindée. Optimisée aux petits oignons, la mouture PS5 bénéficie de temps de chargement quasi-inexistants et d'une fluidité flirtant avec l'érotisme d'une cascade de crème fraîche (ouais je vais me calmer avec mes métaphores sur la bouffe).
Bon, et mon ressenti dans tout ça ? Ghost of Tsushima est un bon jeu, il remplit le cahier des charges d'un triple A, et propose quelques très bonnes idées en plus d'avoir une direction artistique merveilleuse. Les combats sont nombreux et dynamiques, mais répétitifs. Tout comme les éléments de la carte, qui font office de remplissage. Après 70 heures passées à crapahuter en long en large et en travers sur l'île, j'estime en avoir fait le tour. J'ai commencé le DLC mais celui-ci est une redite avec quelques petits trucs en plus du jeu de base et n'apporte pas vraiment d'intérêt ludique, je l'ai donc laissé en plan après environ deux heures d'exploration. Je ne suis pas transcendé mais je reconnais ses qualités à un jeu plein de poésie.
Ah le Japon féodal, période de l’histoire souvent fantasmée par les joueurs, ancrée dans l’imaginaire et prisée par de nombreux médiums. Et voici que Sucker Punch nous propose une immersion en open world sur l’île de Tsushima en pleine invasion Mongole ! C’est dans ce contexte historique à la sauce « triple A » que vous allez prendre les commandes de Jin Sakai, un jeune Samurai prêt à tout pour sauver famille et patrie.
Version Playstation 5 65 h de jeuBon, je ne vais pas vous la faire à l’envers : Ghost of Tsushima coche toutes les cases du gros blockbuster en monde ouvert qui se respecte. Ne vous attendez donc pas à une expérience révolutionnaire sortant des sentiers battus, puisque la principale plus-value du titre réside dans son univers à la beauté enivrante. Rarement onirisme et poésie n’auront aussi bien définie l’atmosphère que dégage cette épopée nippone, emplie de panoramas naturels contemplatifs d’exception. Ghost of Tsushima exploite ainsi son cadre jusqu’à la lie, tant via une mise en scène généreuse qu’avec des éléments de gameplay atypiques. Car si le jeu nous propose des points d’intérêts sous forme de sources chaudes ou de lieux de méditation, c’est davantage pour renforcer l’immersion que pour les maigres bonus induits. Une véritable ode à la nature, idéalisation d’une campagne japonaise caractéristique où coexiste paysans, voleurs et samurais. Un contexte aguicheur, mis en valeur par une réalisation séduisante.
Si on lui reprochera quelques bugs d’affichage et une modélisation des visages perfectible, Ghost of Tsushima se pare d’une technique impeccable. La 3D est propre, l’animation excellente, le cycle météorologique incroyable, les effets de lumière hallucinants, les temps de chargement inexistants, etc… Bref, du bel ouvrage et un ensemble de superlatifs qui passerait pourtant presque inaperçu à la vue des normes actuelles. La direction artistique vient toutefois embellir la copie, et la version « Director’s cut » de ce titre PS4 vous en mettra plein la vue ! Vous vous surprendrez d’ailleurs à poser la manette plus d’une fois afin de contempler les vastes prairies fleuries à l’horizon, marquées par l’ondulation du vent et rythmées aux bruits de la faune sauvage. Dépaysant.
Maintenant que nous avons longuement abordé les contours du soft, attardons-nous un peu sur ses mécaniques et ses combats. Ils s’articulent autour de la posture de Jin, à adapter en temps réel au style de l’ennemi afin de le contrer plus efficacement. A vous de réagir au quart de tour si vous faites face à un lancier, à un épéiste ou à une brute par exemple. Utiliser la posture optimale va notamment influer sur la défense de l’adversaire, qui succombera en deux ou trois coups de lame une fois déstabilisé. Jin peut également poser ses couilles sur la table et défier ses victimes en les interpelant de loin comme une racaille. S’ensuit alors une petite animation pré-combat, qui vous invitera à dégainer au bon moment pour occire les premiers opposants dans un effet de style aussi classieux que sanglant. Quoi qu’il en soit l’esquive et la parade restent au cœur du système et, selon un timing parfait, permettent de contre-attaquer férocement.
Si vous allez empiler sans remords ou presque les cadavres derrière vous, Jin va aussi livrer des duels traditionnels matérialisés par une petite cinématique et une mise en scène digne des plus grands films de Kurosawa. Réalisateur auquel le titre rend allégrement hommage, notamment par un mode graphique noir et blanc portant son nom. Ces duels imposent plus que jamais une bonne gestion des distances, de l’esquive et de la parade, ainsi que des choix avisés entre les commandes d’attaques rapides, fortes, et chargées. Malgré un système de lock et une gestion de la caméra perfectibles, je vous recommande de monter le niveau de difficulté d’un cran afin de conserver un chouia de challenge et d’intensité. Ghost of Tsushima étant très permissif et généreux en checkpoints, jamais une défaite ne vous pénalisera réellement.
A côté, on retrouve tout un aspect Ninjutsu et techniques d’infiltration afin d’étoffer le gameplay et matérialiser l‘évolution de notre héros, reniant petit à petit le code d’honneur buté des Samurais. Si votre katana affuté reste votre allié principal, vous pouvez également compter sur tout un arsenal mortel. Arc, kunais, bombes artisanales, fumigènes, etc… les outils ne manquent pas pour parvenir à vos fins. Les amateurs de mode s'amuseront à personnaliser sans cesse leur samouraï, jouant avec les différents accessoires et le panel de tenues qui influe sur les caractéristiques de l'avatar. Un arbre de compétences vient parachever un gameplay précis, complet et plaisant, bien qu’assez vite répétitif.
C’est d’ailleurs un reproche que l’on fera au jeu dans sa globalité, et il est temps d’aborder la partie « exploration » essentielle à tout open world qui se respecte. Si l’univers somptueux de Ghost of Tsushima enivre autant qu’il n’émerveille, son contenu, lui, s’avère beaucoup moins convaincant ! Une recette datée à base de crafting sommaire, de services redondants à rendre aux PNJs et de petits points d’intérêts prétextes à la collectionnite aigue. On se retrouve donc avec une mappemonde délaissant son brouillard de guerre au fur et à mesure de votre passage, dévoilant alors pastilles et points d’interrogations en abondance. Et si en soit le concept n’a rien de scandaleux, d’autant que l’utilisation du vent pour nous guider se révèle une idée de game-design fort plaisante, l’écriture ne vient pas en soutien. Car mis à part quelques missions un peu mieux scénarisées que la moyenne, avec notamment les apports intéressants du DLC, l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard et on ne s’attache ni aux protagonistes principaux, ni au destin des habitants de Tsushima. Heureusement le passé de Jin et la relation avec son oncle apportent quelques élans d’intérêt. On retrouve ainsi des thèmes traditionnels : remise en question, vengeance, deuil, etc… exploitées avec plus ou moins de justesse. Sans nuire à l’intérêt général, l’histoire passe finalement au second plan et l’envie de découvrir toujours plus de territoire tout en hachant du Mongol reste la motivation principale du joueur. Ça tombe bien, on est là pour ça !
Cette review s’éternise et je ne peux conclure sans aborder l’aspect sonore du titre. Ghost of Tsushima doit beaucoup à sa bande son, usant allégrement d’instruments traditionnels d’époque pour véhiculer son ambiance atypique. Le résultat vaut le détour et, associé à un doublage japonais soigné, contribue largement aux consonances lyriques de l’aventure. Une épopée dont la durée dépendra de votre appétence à fouiller le moindre recoin de Tsushima, consolidée par la présence du DLC qui vous amènera sur l’île d’Ikki à la rencontre de votre passé tourmenté. Comptez bien 60-70h pour honorer la proposition ludique générale et arracher la majorité des secrets de ce beau terrain de jeu. Sans compter le mode en ligne "conteur de légendes", auquel j'ai eu la flemme de m''essayer après un tutoriel peu concluant.
Exclusivité Sony de qualité, Ghost of Tsushima se contente de proposer une recette plutôt convenue mais parfaitement maitrisée. Jouissant d’un cadre immersif et reposant à la fois sur une technique solide et un gameplay calibré, la recette fait preuve d’efficacité malgré quelques défauts. Et si Ghost of Tsushima manque peut-être de caractère pour laisser une empreinte impérissable dans le paysage vidéoludique, sa patte artistique lui confère un charme propre qui comblera les amoureux du japon féodal et de son folklore.