26.5 h
40 h
53.5 h
God of War: Ragnarok est un jeu d'action sur PS5 développé par Santa Monica, qui fait suite au soft reboot de la série God of War sur PS4. Le Ragnarök, célèbre événement de la mythologie nordique est ici la toile de fond scénaristique du jeu.
Rôle principal
Rôle principal
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Petit rôle
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Obtenez tous les trophées.
Cueillez une fleur dans chacun des neuf royaumes.
Collectez tous les livres.
Collectez tous les artefacts.
Équipez un enchantement.
Améliorez un élément d'armure.
Rappelez-vous l'enseignement des Spartiates.
Trouvez toutes les pommes d'Iðunn et les cornes d'hydromel sanglant.
Achetez une compétence.
Affrontez l'ours.
Affrontez le dieu du tonnerre.
Affrontez la mystérieuse Valkyrie.
Affrontez Níðhögg.
Détruisez le chaudron de Grýla.
Affrontez Garm.
Affrontez Heimdall.
Affrontez Hrist et Mist.
Obtenez tous les boucliers.
Obtenez toutes les reliques et poignées d'épée.
Fabriquez l'armure en écailles de dragon.
Réparez entièrement l'amulette d'Yggdrasil.
Assistez aux funérailles.
Restituez le marteau de la révolution.
Rapportez l'orbe de Lúnda.
Libérez les hafgufas.
Libérez le lyngbakr.
Récupérez Mardöll.
Terminez toutes les chasses du cratère.
Caressez Speki et Svanna.
Rapportez tous les lindworms à Ratatoskr.
Ramenez les cerfs des quatre saisons.
Terminez les épreuves de Muspellheim.
Améliorez au maximum une armure.
Affrontez le Père de tout.
Affrontez le roi Hrólf.
Affrontez Gná.
Merci à Mercurocrum qui a créé cette fiche
Grosse déception pour ce final. Le jeu est assez bien dans l'ensemble mais beaucoup de défaut au niveau du scénario, des problèmes de rythmes etc.
Version Playstation 5 45 h de jeuLe jeu s'appel Ragnarok et il n'est pas du tout assez epic, très peu de dieu. Je reste sur ma faim.
Super jeu, mise en scène incroyable, scénario aux petits oignons
Version Playstation 5 55 h de jeuKratos n’en a pas encore fini avec les dieux Nordiques et revient faire parler ses lames dans un déchainement de violence glacial, suite direct du premier reboot PS4. Tandis que notre spartiate profite de son petit havre de paix retranché avec Atreus, désormais adolescent, et leurs loups domestiques, ces quelques années d’interlude paisible vont rapidement voler en éclat… Paré pour une seconde expédition dans les neufs royaumes ? Aiguisez vos lames, faite briller votre hache, et préparez-vous à en prendre pleins les yeux !
Version Playstation 5 50 h de jeuCar oui, évidemment, God of War Ragnarök (GOWR) est beau ! On passera sur quelques fautes de gouts en terme de character design ou de direction artistique, parfois un peu criarde, pour saluer sans modération l’incroyable travail de Santa Monica. Les environnements sont à couper le souffle, usant de textures magnifiques afin de matérialiser un monde bourré de vie et de détails que l’on arpente sans modération. Jungles tropicales, déserts glacés, cavernes et cités disparues, le dépaysement s’avère total et vient conforter la nouvelle direction de la licence : le voyage. Nous y reviendrons. Une fluidité et un framerate exemplaire sur PS5, même en mode « 4K haute-performance », et je n’ai constaté aucun souci technique durant mon périple. Un véritable régal !
GOWR reprend à la lettre la recette de son prédécesseur. Fini l’aspect beat’em all nerveux et peu subtil des premiers opus, on contrôle ici un Kratos plus lourd qui doit jouer de l’esquive et de la parade pour s’en sortir sans bobo. L’utilisation du bouclier et du contre parfait, idéal pour faire grimper la jauge de choc adversaire, ne sont pas à négliger pendant les combats. Une fois cette mécanique assimilée, à vous de switcher intelligemment entre vos trois armes principales, de jouer sur les affinités élémentaires et d’utiliser à bon escient les pouvoirs runiques préalablement équipés. Le tout en compagnie d’un sidekick qui se bat en autonomie tout en suivant quelques directives. S’ensuit alors des affrontements dantesques aussi sanglants que jouissifs jusqu’à la délivrance finale, concrétisée le plus souvent par un « finish-him » incroyable ! Et si l’on se mélange parfois un peu les pinceaux entre toutes ces possibilités, d’autant que la caméra ne sera pas toujours un allié, les affrontements restent d’une efficacité redoutable. A noter que le titre vous laisse de temps en temps aux commandes d’Atreus, renouvelant ainsi l’approche de combats puisque notre jeune homme excelle dans les joutes à distance. La richesse du bestiaire viendra sublimer le tout, et si le titre manque peut-être un peu de démesure vis-à-vis de ces prédécesseurs, il offre néanmoins des affrontements dantesques inoubliables ! Mention spéciale à la quête des Berserkers et de leur roi déchu : les amateurs de challenge seront aux anges.
On retrouve également tout l’aspect personnalisation du premier volet. Expérience et matériaux vont permettre de déverrouiller diverses capacités, mais aussi d’améliorer les compétences d’armes, les pouvoirs runiques, l’équipement, etc… Bref, un système de gestion typé RPG excessivement complet, comme on en retrouve dans la majorité des triples A récents. Vous allez donc passer beaucoup de temps dans les menus et aux fourneaux, histoire de forger en masse afin d’orienter le build et les statistiques de Kratos selon votre envie.
Mais si l’action directe est évidemment un atout de GOWR, le dernier né de Santa Monica sait aussi modérer son rythme au profit de l’exploration. Certaines zones officient comme des petits mondes ouverts regorgeant de secrets, laissant ainsi au joueur une totale liberté dans son approche. Ces phases plus contemplatives feront appel à votre observation afin de dénicher le maximum de collectibles et de quêtes secondaires. Bien évidemment, tout ne sera pas accessible d’entrée et il faudra retourner sur vos pas à plusieurs reprises une fois en possession de toutes les armes, au cœur de nombreuses énigmes. Peu complexes, elles ont le mérite d’apporter de la variété à un gameplay au final très équilibré.
Si je ne me suis pas attardé sur l'histoire dans mon introduction, c’est parce qu’il n’y a pas grand-chose à en dire. Centré sur la thématique familiale, le synopsis tient la route malgré les motivations obscures, voir incohérentes, de certaines protagonistes. Passons, l’immersion reste totale, et si l’ambiance désolée des royaumes d’Asgard en proie au « Ragnarök » y joue énormément, c’est aussi grâce à la spontanéité des protagonistes qui, comme dans le premier reboot, n’hésitent pas à tailler causette spontanément durant vos promenades. Une vraie force narrative se dégage donc du titre, épaulée par une mise en scène épique ! Sans transition, à titre personnel les phases aux commandes d'Atreus m’ont moins convaincue, manquant d’intensité et de panache. Difficile de troquer la brutalité séduisante de Kratos pour le charisme d’huitre de son fils… Au maigre rayon des défauts, on notera les temps de chargements assez agaçants qui imposent un détour par l’arbre monde entre chaque changement de zone.
Cette review commence à s’éterniser et il me reste encore deux points à aborder. La bande son tout d’abord. Excellente, elle alterne avec brio mélodies d’ambiance lors des phases d’exploration, pistes brutales voir épiques pour les combats, et thèmes plus épurés histoire d’appuyer les rares moments de quiétude ou de dramaturgie. Le tout avec un talent certain, auquel s’ajoute des bruitages impeccables et un doublage VO quasi parfait. En terme de contenu GOWR se veut un modèle du genre. Comptez à minima 50 heures pour terminer l’aventure en fouillant minutieusement les 9 mondes du jeu, et encore davantage pour viser un degré de complétude parfait ! Le post-game permet de peaufiner son épopée et offre même de nouvelles quêtes annexes intéressantes. Quant au DLC gratuit « Valhalla », il assure une expérience « rogue-lite » plutôt sympathique pour quiconque voudra prolonger l’expérience.
Malgré un démarrage un peu timide le temps que les évènements se mettent en place, God of War : Ragnarök propose un périple aussi dense qu'épique. Maestria technique, ambiance géniale et gameplay immersif, voici les fondements d’un succès annoncé. Si quelques fausses notes ponctuent l’aventure, celle-ci se veut mémorable tant par ses affrontements grandioses que par la richesse de son univers récompensant l’exploration. Conforté par des acquis solides et éprouvés, Santa Monica ne chamboule pas la formule avec cette suite d’exception. Un périple jouissif et marquant, à la hauteur de sa réputation.