Mijak a dit (16 Novembre 2016 à 16:08)
Bon, ben voilà, alors, comment dire...
edit : commençons pas le positif : il est beau, sa distance d'affichage et sa caméra permette bien l'exploitation du décor (pour voir les trésors, etc), et il y a de vraies sensations d'immensité. Et sensation de puissance ; le leveling est rapide.
Bon, ensuite...
J'ai été plus que déçu, attéré par ce opus. Je ne sais pas si c'est l'ouverture à un public plus large qui a donné ça, mais mon dieu par quoi commencer...
L'évolution des persos scriptée, aucune libertée laissée, ils sont ce que le jeu veut qu'ils soient ; chacun a son Cristalium, chacun ses forces... soit. Les invocations sont là, mais en quel état ! Des espèce de transformers science-fictionnisés ridicules, qui se changent en véhicules...
Le gameplay. Ah. Eh bien, on ne joue qu'un perso, en fait. On peut bien sûr changer ce perso, mais dans un combat, on n'en contrôle qu'un : le leader. Les autres sont animés par d'obscures IA qui parfois sont plus c*nnes qu'on le voudrait, mais on ne peut pas changer leur programmation (comme on le faisait pour les gambits du XII). Et notre leader n'est pas en reste ; il a aussi sa petite commande pour choisir à ta place ses actions (souvent l'astuce consiste en "press A to win" en surveillant les HP). Faut dire, avec les combats en temps réel, pas trop le temps de s'interroger sur la meilleure marche à suivre en fonction des changements du combat. Dommage, j'aimais justement les FF et le JRPG pour ça ; la stratégie, la réflexion...
Ici, la stratégie, c'est les rôles. Bonne idée, on en change rapidement, c'est le seul point positif qui donne de bons combats.
Ensuite, pour les combats, pas d'aléatoires ; comme dans Chrono Trigger (je crois, ou je confonds avec Golden Sun), on les voit sur l'environnement.
Parlons du débrief : les récompenses. Alors, la plupart du temps, aucun butin, hein. Quelques matériaux parfois, un ou deux fumigènes... pas de gils. Non, dans ce jeu ils sont assez rares, du coup tout passe par ces boutiques auxquelles ont accède, comme ça, oui oui, par la console de sauvegarde. Parce que osef, hein.
Ah oui, et pas besoin de repos ou de se soigner, à la fin de chaque combat on est comme neuf. Ok, si ça aussi vous l'avez viré...
Ah, et une statistique importante : le temps. Attention, on est pressé dans ce jeu, il faut être le meilleur, le plus performant, et meilleur vous êtes, meilleures sont vos récompenses, car le temps du combat est compté et comparé à une norme qui fera varier votre butin. C'est idiot, je suis d'accord. Mais bon, puisque la santé ou les altérations d'état sont guéries à la fin, nul besoin d'autre stratégie que : tuer le plus vite.
Et attention : vu que vous ne contrôlez que le leader, s'il meurt, c'est game over ! Ok, mis à part le fait que ça n'ait aucun sens logiquement, ça en fait niveau gameplay, donc osef la cohérence, encore, hein.
Bon après, parlons scénario, hein. J'avais très peu d'attentes sur ce jeu au début, puis j'ai entendu dire qu'il devenait mieux une fois sur Pulse. Eh ben non, en fait.[spoiler] Pulse, on est passe un peu, on fait un petit tour, et puis hop on repart. [/spoiler] Une planète entière pour rien, ouais ! Bon, j'avais déjà eu ce sentiment avec le XII, qui nous montrait un lore de fou, et au final on bougeait juste sur le petit royaume au milieu des deux grandes empires.
J'avais été hypé par les images des steppes et de l'adamankhélone, mais au final il n'y a que ce lieu d'aussi vaste et cet animal d'aussi grand, le reste c'est couloirs, couloirs, couloirs...
Bon, scénar pas très profond hein, faut pas déconner. Et on a vraiment l'impression que certaines scènes sont là juste pour la démo technique de jolis trucs graphiques que dans un soucis de cohérence (surtout vers la fin).
Musiques, ensuite... du caca. Une espèce d'électro futuriste à la Mass Effect parfois, parfois de la jpop à des endroits très mal adaptés, et j'ai même eu du jazz pour un boss. En tout cas, rien qui reste en tête.
Parlons de la fin maintenant.
[spoiler] la fin, dans le tesseract, est chiante à crever. Un environnement qui ne fait aucun sens, avec des plateforme qui bougent de partout, qui n'est pas expliqué (comme beaucoup de choses), et où on retrouve une floppée d'ennemis et boss sans raison, qui sont juste là, même des soldats de Cocoon. Des espèce d'anges nous téléportent à la suite, et rebellote... jusqu'à la fin. Le boss de fin est sympa, quand même. Et la scène de fin ridicule, mais bon. [/spoiler]
En définitive, beaucoup de nouvelles choses dans ce FF, beaucoup d'éléments différents. Et ceux qui connaissent les autres FF seront déroutés comme je l'ai été par des changements qui ont l'air stupides et injustifiés.
Oh, et un spoil mais nécessaire et important pour d'éventuels futurs joueurs, d'ancies joueurs de FF en tout cas : il n'y a pas d'aéronef ! Du tout ! Oubliez les autres FF à parcourir la map, choisissant les lieux, etc... (bon ok, il y a un peu de teleportation) oh et les quêtes annexes, oubliez aussi, ça vaudra mieux, tellement c'est inintéressant.
Mijak a dit (05 Septembre 2016 à 00:47)
C'est comme Minecraft, mais différent. Il en utilise les crafts, mais diffère sur certains matériaux, règles du monde, etc (par exemple, il n'y a pas de mobs). Moins efficace, forcément, car il est libre (non propriétaire), et donc ses développeurs sont bénévoles. Mais il existe de nombreux mods et packs de textures qui peuvent le changer radicalement, et le faire, si on a envie, ressembler plus encore à Minecraft, en changeant l'apparence de l'inventaire, du HUD, en ajoutant des mobs...
Framasoft en a fait une version française et un serveur à disposition de qui veut, mais surtout dans l'idée d'une utilisation éducative :https://framinetest.org/
Mijak a dit (03 Septembre 2016 à 14:18)
Le jeu du cercle vicieux. Créer, produire, consommer, manquer, créer, produire, déficit, consommation, manque, création, production...
Au final un jeu très addictif, et stressant si comme moi vous devenez fou dès qu'il y a un manque ou une perte. Mais très bien accompagné, facile à prendre en main (pour moi qui n'avais fais aucun Anno avant), et dans un environnement chouette, plein de SF et de futur.
C'est aussi beaucoup le jeu de la croissance économique, car il n'y a pas de stabilité ni de suffisance, il faut toujours plus !
A quand le jeu ou il faudra créer une société différente ?
Mijak a dit (15 Avril 2016 à 16:40)
Eh bé, pas de commentaires ?
Perso donc, j'ai découvert les TES à travers un LP de Skyrim, et après un essai désastreux sur Morrowind (trop de différence), je suis allé sur Oblivion. J'ai joué un temps mais je m'en suis lassé, peut-être, comme on m'a dit, à cause des grandes distances, du vide des grandes étendues, quand on le compare à Skyrim où tout est plus condensé.
Bref, sur cette première partie je n'étais pas arrivé bien loin (juste après le temple des Lames), mais me revoilà dessus, cette fois-ci APRES avoir joué à Skyrim. Et j'apprécie, connaissant bien mieux le lore, le comprenant, situant le monde et l'histoire...
J'espère que j'y trouverai autant de plaisir. En tout cas le gameplay est très appréciable. Et étonnamment plus RP dans sa nature même que Skyrim, qui était bien plus casual, comme on a pu le dire, et moins beau.
EDIT : après 62h, j'ai vraiment apprécié Cyrodiil quand j'ai cessé de culpabiliser pour le voyage rapide à outrance. La carte est très grande et pas toujours beaucoup fournie ; les longs voyages à cheval sont fréquents donc ça peut vite devenir chiant. Pas mal de choses que j'aime beaucoup et qui sont absentes de Skyrim, comme la persuasion (une fois qu'on a compris le truc en fait c'est chouette !) qui est autre chose qu'un choix de dialogue (Skyrim), les différences entre les villes (qui sont bien plus grandes et cohérentes qu'à Bordeciel), certaines quêtes surprenantes, un joli menu, des limitations plus cohérentes dans le gameplay (là où Skyrim est très permissif).
Mais évidemment des manques, aussi ; la gestion du fait d'être recherché, l'enchantement moins accessible et très peu efficace, moindre gestion de la furtivité, leveling bien moins appréciable que les arbres de compétences de Skyrim (ici on suit juste ce qui est déterminé), quête principale très courte et très simpliste, comparé à Skyrim.
Bon voilà, après je ne connais pas Morrowind plus que ça mais pour ce que j'en ai vu, les performances de hardware étaient bien trop éloignées pour que ce soit pertinent de les comparer.
Et beaucoup de bugs, mais bon ça Bethesda...
Mijak a dit (15 Avril 2016 à 16:29)
Tout à fait d'accord avec Dalleux :)
J'ai repris Oblivion récemment, et je me suis dit que ça faisait longtemps que j'avais pas mis à jour ma durée de jeu sur Skyrim ici, après mon énième reroll (pour une partie RP avec les mods qui vont bien). J'ai fait le calcul d'après les dernières saves ; 3 persos dont le premier niv92, plus le 4e RP donc TRES lent (pas de voyage rapide ni de course à travers Bordeciel sans s'arrêter)... et ma foi, j'avoue que ça m'a effrayé. Mais pour qu'un jeu puisse permettre tant d'heures, une rejouabilité telle sans ennui, un tel plaisir même quand on le connaît par cœur... c'est vraiment incroyable. Enfin, je dois avouer que tout ça n'aurait pas été si loin sans les mods, grâce à la communauté de fans de la version PC.
570 heures, donc. Et j'ai des idées de reroll intéressantes, et encore plein de mods de quête qui n'attendent que moi, le jour où je m'y remettrai (inévitablement).
Mijak a dit (03 Avril 2016 à 20:39)
Une bonne ambiance lovecraftienne :) Dommage que le jeu soit doublé en français, les voix font vraiment mal le job.
Bon, je ne suis pas très doué aux jeux d'aventure, et sûrement qu'il m'aurait fallu des heures supplémentaires sans regarder les soluces à certains moments, car quand il vous manque un élément récupéré pour avoir un indice, lequel est indispensable pour la résolution d'une énigme qui se présente bien plus tard... bref, bonne chance, s'il faut tout fouiller minutieusement sans raison apparente. Moi perso, ça me casse le récit, ça me frustre, ça brise l'immersion en te rappelant qu'il ne faut parfois pas chercher de logique mais juste avoir les bons objets à combiner avec les bons trucs, bref voilà.
A la suite, maintenant :)
Mijak a dit (07 Mars 2016 à 23:42)
Quel jeu horrible.
Mais il fait ressentir des choses, même si c'est souvent de l'énervement. Il est émouvant et rien que pour l'idée je le trouve bien ; revoir Windows XP, MSN, les références ciné et musique :p
Mijak a dit (24 Janvier 2016 à 20:09)
Bon. Encore en cours (20h, juste), mais déjà, pour le genre et le gameplay, pas un jeu qui restera pour ces aspect dans ma mémoire.
Visuellement (le déplacement, interaction, gameplay, pas les graphismes bien sûr) me fait penser à Neverwinter Nights, que je n'avais pas trop apprécié. Celui-ci est plus varié, moins chiant, mais bien souvent on reste dans du combat à la chaine dans une succession de sales remplies d'ennemi toutes les deux portes ouvertes. On a aucune sensation de combat, de coups donnés ni rien, comme dans un MMO un peu, en fait. Je ne sais pas si c'est le fait de diriger un groupe de 4, ou la caméra si loin des gens (car les combats sont parfois étendus), mais du coup je ressens très peu d'immersion. Je suis très loin de mes combattants, littéralement. Peut-être que sur console la sensation est différente.
Côté combats, par contre, ça m'a fait penser à FFXII mais à un point qui m'a surpris. Il est sorti en... 2009 ? Bon. Quelques années auparavant, j'avais donc joué à FFXII, qui tranchait des FF traditionnels par ses combats sans transition et le fait qu'on dirigeait trois personnages, les deux autres suivant le leader (qui pouvait être sélectionné au choix), et combattant selon des "gambits" ; des règles déterminées d'actions selon conditions. La bataille pouvant être mise sur "pause" en ouvrant le menu des actions. Eh oui, exactement le gameplay de combat de Dragon Age Origins. Donc bon voilà, je suis obligé de le comparer à FFXII sur ce point, et avouer que FFXII est mieux (au niveau des règles ; dans DA souvent mes persos ne font pas ce que je veux - mon PJ ayant souvent fait une attaque au cac dans le vent au début du combat parce que quelqu'un d'autre se faisant attaquer, je crois, je sais pas trop en fait, ou parfois il reste juste là, immobiles, durant de précieuse secondes), et au niveau des attaques aussi, mais bon, c'est sûrement pour la possibilité d'utiliser les touches de raccourcis qu'on ne peut pas, du coup, avoir accès à toutes les compétences acquises en même temps (sauf en ouvrant l'arbre, carrément).
Voilà voilà. Sinon, le scénar, [edit] bah il se limite à aller récupérer des peuples alliés contre l'Enclin et à déjouer la traitrise de Loghain.
(edit : à 49h de jeu, le manque d'immersion se ressent toujours, mais l'histoire est prenante, même si elle se résume à trouver des alliés pour vaincre une menace globale. On a déjà vu ça. En revanche les side quest (et le lore) sont intéressantes, mais hélas plutôt courtes et très anecdotiques, il n'y a pas de véritable intrigue ou de profondeur parallèle à la quête principale. Les personnages aussi sont bien maniés et creusés comme il faut, mais leur relation avec le PJ ne les rend pas beaucoup plus présents. Bref je dois avouer que oui, je m'emmerde un peu.)
Maintenant que j'ai fini le jeu, j'ai pas envie de faire la suite, donc ça sera tout.
Mijak a dit (08 Décembre 2015 à 03:41)
Moui bon, je pige pas bien tout cet engouement. L'ambiance m'a beaucoup fait pensé à celle qu'on nous invite à découvrir dans Gone Home (la petite sœur) ; une vie d'adolescente, ses amitiés et ses problèmes, la révolte, l'envie de briser cette cage, de partir... Ici on a tout ça, aussi, mais d'une façon bien différente, mais avec toujours l'ambiance lycée américain, la musique mélancolique à la guitare (elles se ressemblent toutes, dans le jeu, mais c'est ma perception - je suis pas fan du genre), et bien sûr le côté fantastique qui pimente les choses (un Marc Lévy du jeu vidéo ?)
J'ai trouvé l'héroïne très insipide, normale/sans personnalité, et l'histoire permet non sans mal de nous sauver de l'ennui du gameplay.
On se croirait dans un telltale récent (très narratif et avec des choix de parcours changeant le déroulement), moins foutage de gueule sûrement, car il y a moins de moments clés, mais ils ont plus d'impact ; mais j'avoue que depuis mon dernier de ce genre, le style narratif à l'extrême avec quelques choix par-ci par-là, ça me gave un peu.
La particularité du retour dans le temps, en plus de n'être pas originale ni si plaisante que ça (ok pour l'intégration à l'histoire, le pouvoir de Max, mais après, ben finalement, c'est comme charger une sauvegarde, rien de plus - d'ailleurs à certains moments c'est ce que j'ai fait), ne permet de revenir que peu de temps avant, ce qui limite les choix en connaissance des conséquences qui suivent directement le dilemme, donc niveau effet papillon, on repassera. De plus, tout est scripté, prévu, guidé, aucune impression de liberté (dans Gone Home, il y avait l'enquête, la découverte, la liberté, la progression sans script) ; même pour les informations recueillies pour être exploitées, c'est un élément qui vient ensuite se souligner, genre "vous avez cette nouvelle option de dialogue, maintenant", moui, bon, merci, ai-je le choix ? Pas vraiment. Et on vous le dit, quand il vous faut retourner dans le temps, surtout, on vous tient par la main. Et puis la liberté en tant qu'illusion nous est toujours rappelée dans ces moments où Max choisit un truc important dont l'option ne vous est pas présentée ; on s'en rend pas compte forcément, c'est le scénario, mais c'est là qu'on se rend compte qu'on est aux commandes de rien du tout et qu'on suit juste l'histoire.
Mais bon, ce qui m'agace surtout c'est Max elle-même, encore un de ces archétypes créée pour être aimable par tout jeune, à la mode mais pas pouf, insoumise mais pas rebelle, pas populaire mais pas rejetée ; bref une fille qui n'existe pas et n'existerait pas. La moyenne en toute chose.
Et puis bon, ajoutons qu'elle fait des études de photos et a une amie punk, pour le côté lien avec la rebellitude. Mais punk gentille hein, attention, que tout le monde puisse comprendre et s'y attacher ; rien de trop agressif ni trop singulier.
Bon, sinon c'est joli, touchant, agréable... mais très édulcoré et en rien exceptionnel. La seconde partie apporte du changement, et le dernier chapitre est plus intéressant et la fin est bien , mais je vais pas spoiler , même si là encore, on a peu de prise sur les évènements.
(edit : ah oui et j'oubliais ; ces jeux en épisodes ça commence à ME GAVER SÉRIEUX ! Foutre ces "précédemment dans..." et ces spoilers à la fin de chaque chapitre... ! Rhaaa !)
Mijak a dit (21 Novembre 2015 à 17:58)
Je l'ai commencé il y a quelques jours, et ma fois, s'il a l'air bien mieux côté mise en scène, hélas, la préparation à la guerre gâche un peut la surprise sur la fin du jeu ; comme si le scénar, finalement, se résumait à ça : préparer la guerre. C'est le cas, en fait, chaque mission, quête annexe, dialogue, a pour but de rassembler plus de forces de votre côté.
Bon, ensuite, plus que les précédents, cet opus rend toute chose très longue à faire, et donc fait facilement jouer plusieurs heures pour pas faire grand chose (je viens de passer deux heures à faire des aller-retours dans la Citadelle, et enfin je décolle). Mais j'apprécie le retour de l'inventaire et des statistiques des armes, des mods, etc.
Un truc qui m'énerve depuis le premier c'est les choix de dialogues ; trop peu explicites, souvent j'avais mal compris le sous-entendu de la réponse écrite par rapport à ce que dit vraiment Shepard, ou l'objet de la réponse même ; parfois on a trois mot qui désignent la réponse, et Shepard ne dit pas ce qu'on pensait qu'il allait dire. C'est embêtant, surtout avec cette histoire de pragmatisme vs conciliation (qui est une dichotomie arbitraire sur plein de choses différentes, donc qui n'ont pas toujours à voir avec le pragmatisme ou la conciliation)
Les DLC sont intéressants, j'ai trouvé, et la durée de vie bien plus longue que les précédents, mais il y a moins d'intérêt porté à l'entretien des relations.