15 h
20.5 h
32.5 h
Jeu d'action-aventure en monde ouvert, Assassin's Creed prend place en 1191 alors que la troisième croisade secoue la Terre sainte. Le joueur se retrouve plongé dans le Moyen Orient de l'époque aux côtés d'Altaïr, un assassin d'élite ayant pour mission de mettre un terme aux hostilités en s'attaquant à la fois aux Croisés et aux Sarrasins.
Rôle principal
Rôle secondaire
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Merci à Masthei qui a créé cette fiche
Un peu répétitif cet Assassin's Creed :/
Version Playstation 3 20 h de jeuLe concept de ce jeu est très bon, et la liberté offerte est vraiment appréciable lors des premières heures d'aventure. Mais rapidement, j'ai eu l'impression de tourner en rond entre les objectifs répétitifs au possible et l'histoire qui n'est pas très passionnante malgré de bonnes idées. Sans parler des objectifs secondaires inintéressants (trouver tous les drapeaux cachés, tuer tous les templiers, ça se résume à passer les maps au peigne fin). Il y a aussi un côté risible, quand on en arrive à affronter 20 mecs à la fois en plein milieu de la ville et qu'on en ressort indemne. Pour finir, la toute fin est un peu pourrave.
Version PC 22 h de jeuMais bon, c'est un jeu comme je n'en avais encore jamais fait et même si la lassitude a vite pointé le bout de son nez, je me suis beaucoup amusé sur les premières heures.
Le premier AC, celui qui pose les bases de tout et qui paradoxalement se distingue assez des opus plus récent de par son scénario: original, mature, moins manichéen et sans histoire de cul à la con.
Version Playstation 3Le gameplay est révolutionnaire, bien qu'un peu limité par les contraintes de l'époque, la sensation de pure liberté, pouvoir monter partout, c'est l'extase. Le système de combat est très bien pensé et parfaitement adapté au personnage même si l'on a parfois l'impression d'être invincible (ce qui agacera certains). Une petite baignade peu facilement remédier à ce sentiment.
Mais le point fort reste à mon sens la trame. Contrairement à sa descendance, Altaïr fait un vrai travail d'assassin: Il repère le terrain, collecte des informations et planifie toute son attaque. Meilleur est la préparation, plus facile sera l'opération. Et c'est une fois la cible atteinte que le jeu prend une tournure intéressante. L'occasion nous est donné d'avoir une conversation avec le mourant au cours de laquelle il se propose de nous exposer sa version des faits, ses motivations, selon son propre prisme. Ces courts moments permettent de se remettre en question et apportent de la profondeur à la thématique abordée.
La vérité des Templiers contre celle des Assassins. Et si les premiers n'étaient pas blancs comme neige, rappelons que les Hashshashins étaient tout de même une bande d'assassins fanatiques hors-la-loi qui se terrait dans la montagne. C'est là une vérité, dictée par les historien. Et il y aura toujours autant de vérités qu'il y aura de conteurs et d'auditeurs.
Et là est tout le génie de l'oeuvre, dans ce credo qui donne son nom à la série:
"rien n'est vrai, tout est permis".