Alors que s’accroissent la colère et le mécontentement devant les injustices sociales, de nombreuses manifestations citoyennes font l’objet d’une répression de plus en plus violente. Le documentaire "Un pays qui se tient sage" invite plusieurs citoyens à approfondir, interroger et confronter leurs points de vue sur l’ordre social et la légitimité de l’usage de la violence par l’État. (Source : themoviedb)
Alain DamasioRôle secondaire
Non renseigné
Merci à JackySonic qui a créé cette fiche
Un film ultra nécessaire, mais qui sera uniquement vu par des personnes déjà convaincues par le propos. De plus, son côté verbeux pourra en dissuader plus d'un ! et c'est dommage.
Un documentaire inutilement bavard qui enfonce les portes ouvertes ...
Sans grand intérêt.
C'etait mieux sur bfmMERDE ^^
Le documentaire est assez surprenant si on a pas suivi les différentes affaires au moment où elles se sont produites. Quand on a suivi, y a finalement assez peu de surprises mais la démarche reste effectivement nécessaire, les dérives étant désormais inscrites sur écran et temporellement. Difficile tout de même de ne pas prendre parti au visionnage mais le débat philosophique qui en ressort reste tout de même intéressant.
je suis mitigé parce que le débat sur la légitimité de la violence est intéressant, mais ils éludent très rapidement la notion de liberté abordée en fin de documentaire. Et tout se fait sur fond de violence policière à 90% avec 1 seul intervenant dans le "camp" policier, d'ailleurs pas très convaincant, pour un résultat donc assez biaisé.
Les interventions de Monique Chemillier-Gendreau me semblent particulièrement justes.
Selon wiki À la fin du documentaire, l'équipe a précisé toutes les invitations ayant été envoyées et les personnes ou institutions n'ayant pas donné suite :
Procureur de la République de Paris
Directeur général de la police nationale
Direction centrale des CRS
Direction centrale de la sécurité publique
Inspection générale de la police nationale
Préfecture de police de Paris
c'est fort dommage, ils n'avaient pas confiance en Alain Damasio ? mais en même temps il s'agit d'un documentaire traitant d'un débat intelectuel, il n'aurait pas été question de parler de légalité, de droit, ou de tactique policière en se basant sur les extraits montrés. C'est donc assez étrange d'utiliser des images réelles pour en réalité traiter du sujet en faisant une abstraction puisque le fond c'est la légitimité de la violence.