Costa-Gavras Costa-Gavras Charles Vanel, Bruno Cremer, Jean-Claude Brialy...Dans les Cévennes en 1943. Un groupe de maquisards commandés par Cazal, reçoit l'ordre de délivrer douze condamnés à mort par les Allemands. La réussite est totale mais ils ont libérés 13 hommes ! Quel est cet "homme de trop" ? Un mouchard, un traître, un droit commun?
En attendant que l'on statue sur son sort, l'homme se trouve lié à la vie du commando. Chacun l'épie, le surveille mais personne n'arrive à bien cerner la personnalité de l' "homme de trop" qui sait tout faire, connaît tout, se montre fort utile, soigne les blessés, répare les camions... Après enquête le quartier général fait connaître ses conclusions : "l'homme de trop" est un droit commun; le règlement du maquis exige qu'il soit exécuté.
(source :cinéma-Français.fr)
Charles VanelRôle principal
Bruno CremerRôle principal
Jean-Claude BrialyRôle principal
Michel PiccoliRôle principal
Gérard BlainRôle secondaire
Claude BrasseurRôle secondaire
Jacques PerrinRôle secondaire
François PérierRôle secondaire
Claude BrossetRôle tertiaire
Michel CretonRôle tertiaire
Marc PorelRôle tertiaire
Pierre ClémentiPetit rôle
Monique ChaumettePetit rôle
Philippe ForquetPetit rôle
Mario DavidApparition
André DalibertApparition
Maurice GarrelApparition
Patrick PréjeanApparition
Med HondoApparition
Sady RebbotApparition
Guy MairesseApparition
Non renseigné
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Italie
Un excellent film de guerre, qui par moments s'engage timidement sur les chemins du thriller, qui n'est pas sans rappeler Le Vieux Fusil. Costa-Gavras livre quoi qu'il en soit une réalisation absolument sublime : je pense notamment aux travellings lors des scènes de guérilla urbaine, ou au coup de génie lorsque la caméra "sort" de la longue-vue d'un maquisard.
Prenant de bout en bout, présentant sans concessions une troupe de Résistants prêts à tout, retranchés dans de très beaux paysages de Cévennes, le seul bémol d'Un Homme de Trop se situerait pour moi au niveau de sa scène de fin, trop, trop mais alors vraiment TROP ouverte ! Et pourtant, j'aime qu'un film laisse au spectateur le soin de se faire sa propre idée, mais là c'est tellement abrupt qu'on a l'impression que le réalisateur était arrivé au bout de sa bobine et qu'il a eu la flemme d'aller en chercher une autre ^_^