Jef Costello, un tueur à gages, est chargé d'éliminer le patron d'une boîte de nuit. Un soir, il exécute froidement son contrat. Valérie, la pianiste de l'établissement, l'a vu commettre son crime. Jef met alors soigneusement au point un alibi, avec l'aide de sa maîtresse, Jane Lagrange. Mais la police a des soupçons à son égard et le surveille de très près. Son employeur, dont il ignore tout, y compris son identité, tente de le faire abattre lors de la remise de la prime, sur une passerelle. Etre solitaire et glacé, enfermé dans son code de l'honneur, Jef Costello, blessé au bras, ne peut plus compter sur personne et comprend qu'il va lui falloir sauver sa peau et affronter tous ceux qui en veulent à sa vie...
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Mon premier vrai film avec Alain Delon, c'était particulier, mais vraiment pas mal. Il avait carrément la classe étant jeune, d'ailleurs il va très bien avec son rôle, il est mono-expressif, mais pour un tueur à gage, c'est crédible ^^. L'histoire est bien fichue, dommage que ce soit un peu mou par moments. Mais ça se suit bien et la fin a une certaine originalité.
Au risque de passer pour une impie, je trouve que ce film a mal vieilli... Bien sûr, je ne l'ai pas vu avec les yeux d'un spectateur découvrant le jeune Delon, ça devait être quelque chose ça! Dans la même veine, le Cercle Rouge n'a pas pris une ride par contre.
Une lenteur exécrable qui pourrait être pardonner par son scénario ou ces acteur mais non.
Le scénario est incohérent, remplie de trou, Francois Périer et tout sauf crédible dans son rôle.
Par contre l'ambiance, la musique et Delon sont très bien.
Un film franchement décevant.
La mise en scène est vraiment superbe, et le manque de dialogues mêlé à cette musique jazz et à ces couleurs bleues et grises contribue à installer une parfaite ambiance criminelle.
Uniquement pour les nostalgics de l'époque
Le samourai a évidemment contribué à forger la légende de grand fauve solitaire et mystérieux de Delon, servi par le scénario quasi mutique de Melville et la photographie magnifiquement glacée, tout en clair obscur de gris et de bleu métallique d'Henri Decaë. Au-delà de cette figure iconique néanmoins, et malgré la réalisation sobre et soignée, quelques incohérences et surtout une fin un peu incongrue perturbent la lecture de ce polar sinon plutôt efficace.
Tiens c'est marrant, on commence quasi tous Delon avec ce film (j'ai cette impression avec mes proches et Touket (il y a 13 ans mon Dieu)).
Je m'attendais à un film très silencieux, j'ai pas été déçu face à la traversée de Jef Costello dont la mission qui lui a été confiée tourne mal. Malgré cette ambiance pesante et silencieuse, on ne s'ennuie pas malgré le déroulé quelque peu prévisible.