Sire Gauvain, chevalier de la table ronde du roi Arthur, dont il est également le neveu, accepte le défi lancé par un mystérieux Chevalier vert. Il doit le décapiter. Gauvain s'exécute. Le Chevalier vert repart avec sa tête sous son bras et lui rappelle que, dans un an, ils vont devoir se retrouver...
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Lostounet qui a créé cette fiche
Un film tellement pointilleux sur sa technique qu'il en a oublié son scénario.
Splendide, il en met plein les yeux et c'est une réelle prouesse visuelle. Que l'on bosse dans le cinéma ou pas, on ne peut que s'incliner devant le travail accompli.
Hélas, trop de zones d'ombres dans le traitement de l'histoire. Intentionnel ou non, il aurait mérité une bonne heure de plus pour exploiter tous les détails de la légende car on reste complètement sur notre fin, un goût de déception sur le coin de la langue. Quant aux musiques, elles ont tendance à nous sortir complètement du monde, paraissant anachonique, c'est très dommage.
Quelle frustration pour un film si beau !!
C'est beau mais on comprend pas grand chose ...
Magnifique et intriguant. The Green Knight reste, pour l'instant, le plus beau film que j'ai vu cette année. Les plans sont tous terriblement soignés, la photographie est incroyable et j'ai beaucoup aimé les musiques également. Nimphelot a parfaitement résumé le film de ce côté là. La technique est irréprochable.
Concernant le casting, Dev Patel fait un Gauvain original et son jeu est très bon. Alicia Vikander est quant à elle toujours aussi excellente. C'est un plaisir de retrouver Joel Edgerton, même si c'est dans un petit rôle. En revanche j'avoue avoir du mal avec Sean Harris dont le jeu d'acteur et la voix étouffée me dérangent toujours autant.
Malheureusement The Green Knight souffre de certains défauts. Le scénario n'était visiblement pas la priorité de David Lowery. L'histoire n'est que très peu expliquée et j'avoue ne pas tout avoir saisi de la légende arthurienne. En tant que spectateur je me suis parfois retrouvé perdu et le rythme en est devenu lent. Trop lent. C'est dommage car le long-métrage est pourtant envoutant et il laisse songeur même après le visionnage terminé.
Il est possible de mettre tellement de fois pause pendant tout le film et se retrouver devant au couleur jeu de lumière cadrage etc génialissime. Rien que le jeu d'ombrage sur les visages dans les premières minutes de film sont dingues. Après à chacun sa sensibilité pour le scénario et la vitesse à laquelle il défile.
Une réalisation et photographie difficilement critiquable, c'est juste sublime.
le direction artistique fait aussi souvent des merveilles. après je suis resté sur ma faim sur le cheminement de l'histoire, c'est souvent le cas sur ce genre de film ou il faut tout interpréter/ analyser et ou il n'y a pas forcement de cohérence sur ce point.
Une beauté ce Green Knight ! La première demie heure est efficace, envoutante mais le film m'a perdu lors du voyage de Gauvain. Cela redemande certes un revisionnage mais les longueurs ressenties vont pas me motiver. Une légère déception même si je m'attendais à ce type de voyage intérieur plus qu'à une quête épique.
Gros coup de coeur sur le design du Green Knight et l'accent anglais rajoute du charme à l'ensemble. Oui oui, j'aime l'accent anglais.
Ah et cool de voir Joel Edgerton, c'est rare alors ça fait plaisir !
Abandonné en cours de route, je n'ai pas trouvé ça folichon. Je réessaierai une autre fois.
Le chef op' et le directeur de la photographie se sont fait plaisir, ça se sent. The Green Knight est un film visuellement somptueux, un modèle du genre. On ne compte pas le nombre de plans qui pourraient servir de fond d'écran ou même être imprimés tels quels et affichés fièrement dans n'importe quelle pièce de la maison.
Mon petit coeur de gamer a également apprécié des relents très Dark Souls lorsque Gawain se dirige vers la chapelle abandonnée où l'attend son destin.
Bon mais par contre, c'est au niveau de la narration que le bât blesse hélas. Si le rythme peut décontenancer, disons qu'on l'accepte en tant que rouage d'une oeuvre qui se mérite. Par contre, le récit est tellement imagé et immergé dans les métaphores et les allégories qu'il en devient parfois illisible et qu'on se perd dans le pourquoi du comment.
La toute dernière partie du film tout en ellipses muettes m'a laissé dubitatif.
Excellent casting au demeurant.