Hollywood 1927.
George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli.
Peppy Miller, jeune figurante, va, elle, être propulsée au firmament des stars.
Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Tout d'abord, chapeau bas au réalisateur qui a réussi à faire en 2011 un film muet en noir et blanc qui fonctionne! En effet, malgré un peu de frustration de ne pas entendre parler les acteurs ni le moindre son, on finit par se laisser porter dans le film, avec une vague impression d'être revenu 80 ans en arrière... et c'est pas pour nous déplaire ! Hazanavicius prend un malin plaisir à jouer de son choix artistique en incluant deux scènes de son et quelques clins d'oeil du genre un panneau indiquant "Ne pas parler derrière l'écran", ce qui m'a fait beaucoup sourire. Vraiment je conseille ce film à quiconque s'intéresse au cinéma et à son histoire, car il est loin d'être ennuyeux !
Comme dit précédemment, à voir pour son originalité et son incroyable jeu d'acteurs!
Vraiment très bon. Jean Dujardin est très bien dans son rôle. Égale à lui-même. Bérénice Béjo est très bien aussi. Je l'ai trouvé un niveau au dessus même. C'est très plaisant de voir un film comme cela de nos jours. J'ai trouvé cela dis un "passage" un peu longuet (sans rentrer dans les détails) et j'aurai voulu plus de passage comique.
J'ai adoré ce film qui est un petit bijou délicieusement désuet à l'heure où on gonfle les films à la 3D et où les effets spéciaux priment sur l’histoire ! Un bel hommage au cinéma d'antan.
Pas convaincu. C'est sympa de faire un hommage au cinéma d'antan mais très honnêtement j'ai plus l'impression que Hazapwêt a voulu faire un film qui sort du lot pour bien faire parler de lui. Comme ça tous les bien pensant peuvent dire "Mais c'est trop génial, c'est comme avant ! On est loin des blockbusters ! C'est trop fouillé et tout !" Euh. Le scénario n'est pas original (kikou Singin' in the Rain) pire il est ultra prévisible, les acteurs ont une palette de 3 expressions chacun et la réal n'a rien de remarquable (uè mais c'est pour faire comme les vieux films lol !). Y'a pas que du mauvais bien sûr, j'ai bien aimé la majorité de la BO et l'image est loin d'être dégueu. Mais vu tout le foin fait autour du film, c'est bien maigre dites donc.
La classe quand même, j'avais vraiment été déçu du deuxième OSS 117 de Mister Hazanavicius, là le changement d'univers m'a bien plu. Comme quoi sans paroles, les émotions peuvent quand même être intenses, et je n'ai ressenti aucune longueur. Cela change de d'habitude et ce n'est pas plus mal :D.
J'applaudis l'audace, l’esthétique, et la bande sonore de qualité ! Un véritable hommage aux films d’antan. Malheureusement quelques longueurs ternissent le rythme et l'on s’ennuie par moment. Rafraichissant et agréable tout de même.
C'est sympathique, d'avoir fait un retour vers le passé en faisant un film muet... Je trouve qu'il est très bien fait, c'est agréable de le regarder !
Autant j'ai eu un peu de mal au début, autant j'ai adoré le reste du film ! Il est vraiment sympathique et puis ça m'a fait plaisir de voir James Cromwell.
Je le recommande vivement !
Parfait ! Des frissons tout au long du film, deux acteurs merveilleux, des plans très beaux, beaucoup d'émotions, et des surprises... Chapeau !
C'est pas le genre de film que tu mattes pour le scénario. C'est surtout pour la mise en scène. Les plans sont géniaux. Beaucoup de jeu avec les miroirs, par exemple. Et le réalisateur arrive à surprendre, comme la scène du cauchemar de Dujardin par exemple.
Et même si le scénario est pas le plus original jamais écrit, il raconte quand même une histoire à la fois triste et belle. Une histoire de montagnes russes intérieures en fait. Et réussir à nous faire ressentir ça sans utiliser de paroles, c'est tout de même bad ass.
Je ne me suis pas ennuyé avec ce scénario bien mené, bien orchestré où Bérénice Bejo dépasse presque jean Dujardin pour lui voler la vedette.
Quelques longueurs, mais je suis assez éblouie par l'intelligence du réalisateur. J'adore quand les films parlent du cinéma, mise en abyme toussa, et j'ai trouvé que c'était ici très bien fait. Finir un film par "action !", il fallait vraiment y penser ! :D
Beaucoup beaucoup de procédés très étonnants, très fins, pas relou. Un très chouette film ! (désolée pour la pléthore d'adjectifs)
Superbe visuellement et surtout esthétiquement, ce n'est pas juste bêtement filmé en noir et blanc, les halos lumineux (probablement retravaillés numériquement), le format d'image 4:3, le travail sur les plans et les jeux de miroirs, tout cela donne à The Artist une intensité folle et mine de rien, rafraichissante.
Peut-être que le flot incessant de récompenses dont a bénéficié ce film a été le résultat d'une campagne de la hype, mais il n'en demeure pas moins que The Artist est le fruit d'un travail intéressant et dont le rendu final est plus que délectable.
Un film comme à l'époque : en noir et blanc et sans parole mais qui réussit parfaitement son objectif : nous divertir !
Un Oscar pour Bérénice Bejo aurait été justifié et un pour le chien aussi ! :3