La nuit de la fête nationale, Julie, Helen, Ray et Barry ont par accident renversé un inconnu. Devant la crainte de leur avenir compromis par ce drame, ils décident de faire disparaître le corps et font le serment de ne rien dire à personne, jamais. L'été suivant, chacun des quatre amis se trouve confronté à des événements terrifiants. Ils doivent se rendre à l'évidence : quelqu'un sait ce qu'ils ont fait et semble bien décidé à le leur faire payer. (Source : Allociné)
Adapté du livre Comme en un mauvais rêve de Lois Duncan
Adapté en série I Know What You Did Last Summer
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Merci à Franz26 qui a créé cette fiche
C'était génial ! ça ressemble un peu à Scream et SMG était super dans son rôle
Allez, ça allait, c'était cool. Même si ça se construit sur les jump scare.
Le TUEUR AU CROCHET qui se planque chez la nana pour [spoiler] lui couper les cheveux ! [/spoiler]
LOL
un peu de suspens mais pas trop de surprises non plus, on sent également les années passées sur les moyens d'exécuter les victimes, à voir la suite car la fin ouvre sur le film suivant
Un slasher des plus classique, qui ne tente rien de nouveau et qui n'a aucune saveur.
Hormis quelques plans intéressants sur les 2 "scream queens" SMG et Jennifer Love Hewitt, dont on essaie de mettre le physique en valeur, pas grand chose à se mettre sous la dent. C'est un slasher avec ados, très convenu, très médiocre, et prévisible, produit à une époque où c'était la mode, écrit par un scénariste à l'époque lui aussi "à la mode" pour un certain type de productions avec ados. Les meurtres ne sont jamais originaux ou vraiment sanglants. On ne sursaute jamais, on n'a jamais peur, le film ne parvient jamais à créer une réelle tension pour ses héroïnes. Ca se laisse regarder, les comédiennes faisant le travail et portant le film sur leurs épaules. Mais c'est vraiment pas terrible ou exceptionnel.