Lorsque de mystérieux vaisseaux venus du fond de l’espace surgissent un peu partout sur Terre, une équipe d’experts est rassemblée sous la direction de la linguiste Louise Banks afin de tenter de comprendre leurs intentions.
Face à l’énigme que constituent leur présence et leurs messages mystérieux, les réactions dans le monde sont extrêmes et l’humanité se retrouve bientôt au bord d’une guerre absolue. Louise Banks et son équipe n’ont que très peu de temps pour trouver des réponses. Pour les obtenir, la jeune femme va prendre un risque qui pourrait non seulement lui coûter la vie, mais détruire le genre humain…(Source : Allociné)
Adapté de la nouvelle "L'histoire de ta vie" du recueil La tour de Babylone de Ted Chiang.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à sajftl qui a créé cette fiche
Oh que ça fait du bien !
Au revoir les stéréotypes, merci Denis Villeneuve !
Le sujet est traité comme j'ai toujours voulu qu'il le soit. C'est-à dire d'un point de vue scientifique et philosophique. Ici pas d'effets spéciaux à tout-va, on nous raconte l'histoire simplement et sans artifice.
Arrival est à voir absolument, surtout si vous en avez ras la casquette des films sur ce sujet bourrés de clichés et sans aucune originalité !
Un p***** de bon film.
Film de l'année. (en VO, ofc)
Un très bon film !
Cela fait vraiment plaisir de voir le sujet du "premier contact" aussi bien mis en scène. Tout en ayant apprécié les efforts de réalisme pour le "décors" (dispositif militaire et protocole scientifique, diplomatie internationale, média débridés, etc), j'ai particulièrement aimé le traitement d'une conscience différente, plus vaste sans doute, et son accession par le langage. C'est rafraîchissant de la voir les questions du temps et de l'être traitées d'une manière à la fois originale (au cinéma) et juste.
Je sors du cinéma ravie d'avoir vu un film de SF sans chichi ni grosses explosions. Propre et sensé.
Un excellent film ! Franchement ça m'a fait du bien.
Rah la la...
Je reste mitigé sur ce film !
Niveau esthétique il est vraiment magnifique ! Beau paysage et belle qualité à l'écran. On reste captivé du début à la fin vraiment, le film prend son temps et il fait bien :) Les personnages sont assez bien développés. Les musiques passent aussi très bien et nous permettent de rentrer un peu plus le film.
Mais... à la fin, tant de question reste sans réponse, et il y a une incohérences qui me perturbe ! Si quelqu'un veut en parler je suis ouverte à une conversation pour élucider les mystères x') Mais je trouve ça vraiment dommage de finir comme ça. J'avais tellement envie d'en savoir plus et en fait ... bah non ._.
Ça aurait vraiment put être un très très bon film ! :/
Mais allé le voir quand même hein ! :)
Oubliez les films SF bourrins, celui-ci propose une autre approche plus subtile. Un peu lent mais bouleversant. Visuellement magnifique. J'ai adoré ????
film magnifique (à tous points de vues) et formidable !!!!
Beaucoup insiste sur la qualité visuelle du film (très bonne, certes) mais je trouve que sa force réside plutôt dans le travail sonore. Les bruitages tout comme la musique m'ont personnellement hypnotisé.
CF Piste 1 et Piste 5 de l'OST (Spotify)
Des acteurs au top, une bonne musique, un scénario vraiment sympa et des clichés non pressent (et ça p***** ça fait du bien).
Mais quel excellent film p*****, il aura pas volé son statut de film de l'année (même si Green Room n'est pas loin dans mon petit cœur).
Arrival c'est l'histoire de Amy Adams (parfaite, comme d'hab) qui a une petite fille et l'élève semble-t-il toute seule. On voit, dans les premières minutes du film, de façon elliptique dans un style expressionniste Malickien, la vie de cette petite fille jusqu'à sa mort d'une maladie rare à l’adolescence. On voit ensuite Amy Adams continuer sa vie de linguiste et professeur à l’université après ce drame jusqu'au jour ou des Aliens débarquent. L’armée vient à elle, ils pensent qu'elle peut utiliser ses talents de linguiste pour comprendre ce que les Aliens disent. Elle tente d'utiliser ses techniques habituelles mais c'est évidement pas aussi facile. Elle décide alors d'utiliser l'écrit en leur montrant un signe avec son nom et disant "moi Jane, toi ?"et ça marche, un des aliens fait gicler de l'encre sur l'espèce de vitre qui les sépare depuis le petit trou du c** au bout de l'une de ses tentacules. Mais leur langage écrit se résume à des espèce de taches/Test de Rorschach circulaire. Amy va éventuellement comprendre que leur langage écrit n'est pas, comme le nôtre, un retranscription de notre langage parlé, mais plus quelque chose de non-linaire ou la fin peut être le début et le début la fin, le film est d'ailleurs plein de motifs de ce genre, que ce soit un palindrome en guise de prénom ou la structure même du film qui va d'avant en arrière.
Le film pose cette idée qu'une langue c'est aussi une manière de voir le monde, et qu’apprendre une nouvelle langue c'est voir le monde d'une manière différente. Certaines expressions/métaphore, qui façonnent vraiment notre vision des choses peuvent ne pas du tout exister dans d'autres langues. Cette idée est traitée et développée brillamment par Vileneuve.
Mais le film est avant tout un film sur la communication, la nécessité de communiquer avec l'étranger, la nécessité de communiquer entre nations, pour mieux comprendre, pour éviter d'avoir sans cesse recours à la violence (un des trucs les plus Villeneuve du film). Les extraterrestres sont là pour [spoiler] nous pousser à communiquer entre nous, arrêter les guéguerres, et ne former qu'un en tant qu'espèce pour mieux affronter les "vrais" guerres à venir (et éventuellement aider nos amis à 6 pattes) [/spoiler]
Le film arrive aussi à être unique tout en étant inspiré des meilleurs. Il y a beaucoup de vibes de 2001 ; l'image dé-saturée, la musique expérimentale (bande son démentiel, au passage), le côté contemplatif des débuts, les vaisseaux qui ne sont pas rectangulaires mais évoquent clairement le monolithe. Y'a évidement du Spielberg là dedans, ne serai-ce que le thème principale très Spielbergien (la communication). Il y a ce réalisme à la Shayamalan et le tout est enveloppé dans une structure Nolaniene. Beaucoup d'influences donc mais qui sont *digérée*, il ne te jette pas le trucs qu'il aime à la gu***e comme une vulgaire Member Berrie ou un scénariste de Stranger Things qui n'a strictement rien d'autre à apporter. Non, c'est 100% un film de Denis Villeneuve avant tout, on y retrouve tant ses obsessions formelles que thématiques - la narration éclatée, le cycle de la violence et comment y mettre fin(™), le besoin de comprendre, la symbolique de créatures géantes qui ont plusieurs pattes (??) bref tout y est c'est vraiment cool.
Pour résumer je pense que c'est un film qui dit plein de choses intéressantes de manière intéressante sur l'humain, j'ai adoré et je pense que Denis Villeneuve est un p***** d'incroyable réalisateur. Et, juste pour rappel, ce mec vient de finir de tourner un film Blade Runner... J'ai joui juste en écrivant cette phrase.
Fake, c'est marrant, mais je n'ai pas compris l'histoire comme toi.
Pour moi [spoiler] Louise est linguiste, donne des cours à trois clampins qui si intéresse à peine et c'est pour ça qu'elle tire la tronche.
Elle va parler au extraterrestres, apprend leurs langues, ce qu'il lui permet de percevoir le temps différemment, dans son ensemble et non plus de façon linéaire, ce qui lui permet
1 : de savoir que dans le futur elle aura une fille qui va mourir.
2 : comment sauver la situation.
Elle sauve donc la situation en utilisant ça connaissance du futur, puis se marie avec Yann, fait une fille, dit à Yann que leur fille va mourir d'une maladie, Yann trouve pas ça cool, il divorce, mais reste en bon terme, la fille grandit, puis meurt d'une maladie.
Pendant toute la période où Louise apprend le langage, on croit qu'elle à des flash-backs, mais en fait ce sont des flash-forwards, et c'est quand elle le comprend, qu'elle comprend comment sauver la situation. [/spoiler]
On a le cerveau qui explose quand on se rend compte que les ET connaissent le futur.
Et c'est de là que viennent les incohérences.
Oui, je pense aussi que c'est ce qui se qui se passe mais je ne voulais pas spoiler donc j'ai décrit les événements comme on les perçoit dans le premier acte en essayant d'être vague sur la structure.
Les incohérences ?
@lipki [spoiler] s’il y a trois clampins dans sa classe c'est que les autres sont occupés à regarder l'arrivée des E.T. ^^ Elle est surement l'une des meilleures linguistes du monde donc je doute que sa classe attire si peu de monde. [/spoiler]
[spoiler] Pour les incohérences, pour moi ça tourne surtout autour du général chinois lors du gala à la fin qui lui donne son numéro de téléphone. Après, c'est une histoire de "temps" donc je ne cherche pas trop à comprendre le pourquoi du comment et qui est arrivée le premier de la poule ou de l’œuf. Mais c'est étrange que Louise ait l'air larguée parce que lui dit le général. Comme si elle n’était pas au courant de ça et que c'est la Louise du "présent" qui vie ça... Du coup ça fait bizarre, alors que lors des flash avec sa fille, elle n'a pas l'air paumé.
Et pour moi, les vaisseaux à la fin disparaissent car 3000 ans plus tard les humains les ont sauvés donc plus besoin d'envoyer du monde les prévenir... donc pouf, ils disparaissent. [/spoiler]
@RaceTrack [spoiler] Il ne faut pas oublier que le temps comme expliqué dans le film, n'est pas linéaire. Donc le Avant/Après en ligne droite tu peux oublier. C'est-à-dire qu'en l'occurrence la scène avec le général, du point de vue de Louise ne se passe pas forcément après qu'elle l'ait appelé, et inversement. [/spoiler]
Comme l'a dit Fake plus haut, il y a une "symbolique du circulaire" qui se retrouve partout dans le film : L'écriture des 2 copains, le palindrome, le fil de l'histoire, et même les vaisseaux ! en stationnement ils sont à la verticale, mais se replacent à l'horizontale pour repartir. Le changement de force de gravité à l'intérieur (scène énorme d'ailleurs) où le bas et le haut deviennent devant/derrière... chamboulement des repères.
Tous ces éléments nous font casser les codes que l'on connait, comme Louise et Ian le font pour déchiffrer le langage et comme Denis Villeneuve le fait avec ce film de science-fiction.
Très prévisible comme scénario, mais quand même pas mal. Quand on a vu Rogue one, on se dit que celui-ci est un chef-d'œuvre !
Emerveillée, je fus. Rien à redire. Tout à déguster.
Des films sur les aliens, on en fait depuis longtemps déjà, depuis qu'on est capable de figurer à l'écran une entité extra-terrestre pas trop médiocre, quoi. Premier Contact, au titre évocateur, reprend une fois de plus le thème, devenu un véritable topos de l'univers de la science-fiction, de l'arrivée des « autres ». C'est autres qui, une fois n'est pas coutume, ne sont pas venus pour envahir le monde et décimer l'espèce humaine.
L'amateur lambda se dit : « Chouette ! Enfin un film où les extra-terrestres ne sont pas des bons gros méchants stéréotypés au possible qui manquent cruellement de motivations ! ». Oui. Sauf que non. Premier Contact, ce n'est pas le premier film à prendre pour postulat le caractère pacifique de la venue des extra-terrestre. À titre d'exemple, je tiens à rappeler l'existence de District 9, un film dont je crierai les mérites sur tous les toits, qui aborde avec beaucoup d'intelligence et un parti pris esthétique très éloquent la ségrégation des « autres » par les terriens. En terme de premier contact, donc, ce nouveau né dans l'univers de la science-fiction n'arrive pas en terrain vierge et se doit de faire ses preuves pour se hisser au rang de ses prédécesseurs.
Qu'on ne s'y trompe pas : évidemment, le propos de Premier Contact n'est pas du tout le même que celui de District 9, et c'est précisément d'où le film est censé tirer sa force et la possibilité de se démarquer. Là où District 9 se centre sur la différence sociale induite par la différence des « autre », Premier Contact traite de la différence au travers le langage et pointe du doigt, notamment, la difficulté des hommes à communiquer entre eux. L'intention est louable, et même tout à fait bonne. Cependant, ce parallèle alléchant qui interroge notre rapport à autrui, c'est à L'histoire de ta vie, le roman dont s'inspire le film, qu'on le doit, et non au scénario lui-même. N'ayant pas eu connaissance de l'existence de ce livre avant la sortie du film, je me garderait bien de faire des remarque sur le travail d'adaptation à proprement parler. Tout ce que je suis en mesure de constater, c'est que le film peine à porter jusqu'au bout les ambitions de son sujet.
D'abord – et j'ignore si je dois imputer la faute au fil ou au roman – l'intrigue, dont le retournement final n'est très vite plus une surprise, est truffée d'incohérences. Qu'on s'entende : multiplier au long du film des indices qui annoncent subtilement la chute, cela relève presque du génie. En revanche, entourer ses indices de panneaux clignotants dès les dix premières minutes, ce n'est ni plus ni moins que du sabotage par anticipation. La chute, diront les plus butés, ce n'est que la fin du film. Oui. Sauf que non. J'ai presque envie de dire que certains films s'étendent pendant deux heures dans l'unique but de préparer leur chute. Dans le cas de Premier Contact, il est évident que le film mise largement sur ce qui était supposé être un retournement final. À ce titre, même Interstellar, qui manquait cruellement de subtilité dans l'annonce de sa chute, insistait avec moins de lourdeur sur ses indices.
Une chute ratée, cela se pardonne. Le vrai problème survient lorsque, dans l'attente de cette chute ruinée d'avance, les incohérences se succèdent et montent en flèche. Passons sous silence la vitesse avec laquelle Louise résout le mystère de l'écriture des heptapodes alors même qu'on peine encore aujourd'hui à comprendre certains dialectes humains. Certes, le film se justifie par le développement des capacités induit par l'immersion dans la langue. Toujours est-il que, si les choses fonctionnaient bel et bien comme ça, face à des signes bien moins complexes que ceux des heptopodes, nous serions tous bilingues ! L'incohérence majeure ressort très probablement de la discussion future entre Louise et le chef militaire chinois dont le nom m'a échappé – notez au passage qu'une fois de plus, les russes et les chinois sont les « méchants » de l'affaire, suivis de près par le Moyen-Orient. Dans le contexte actuel, on peut comprendre aisément le choix d'inculper à nouveau ces éternels fauteurs de troubles internationaux. Cela dit, en matière de clichés, Premier Contact ne s'arrête pas là : de la médiatisation excessive de l'arrivée des vaisseaux à la panique générale et complètement insensée, en passant par la bonne vieille image du militaire bête et bourrin, le film dresse une véritable collection. En dehors de la protagoniste et du compagnon auquel elle fait beaucoup, mais alors beaucoup d'ombre, Premier Contact donne l'impression que l'intellect humain est en crise profonde. Alors certes, la bêtise humaine peut souvent et doit être condamnée, mais l’exagération n'a sans doute pas à être poussée aussi loin. L'univers dans lequel seuls deux personnages échappent à la connerie, c'est Idiocracy : ne mélangeons pas les torchons et les serviettes.
Si on ne peut pas remettre en cause la qualité visuelle du film et la qualité relative du jeu des acteurs, la direction de l'ensemble a pourtant donné naissance, au lieu d'un OVNI génial, à un film terne en mal de sincérité. Comment mieux vous exprimer ma déception face à ce que je trouvais aussi prometteur sur le papier ?
Gros gros gros gros gros grooooooooos coup de coeur.
J'ai adoré le scénario, ultra premier degré, qui prend son temps pour nous faire découvrir une civilisation nouvelle, en s'attardant sur les sens (on a envie de toucher, sentir, voir de nos propres yeux... Ce que font les personnages, et ça renforce l'identification) et en prenant son temps. La première partie est, par exemple, terrifiante : cette arrivée sans nous laisser voir l'objet du désir, en s'attardant sur ces pauvres humains qui ne savent pas s'ils sont condamnés ou à l'aube d'un nouveau jour.
Et justement, la réalisation est parfaite. Tout est fait avec justesse au bon moment et ça fait du bien ! Pas d'effets spéciaux qui fusent, pas de musique grandiloquente et pas de money shot : c'est ultra intimiste, et casse avec la SF dont on a l'habitude (hein Independance Day).
Après, outre ces considérations plus technique, j'ai vraiment aimé assister à ce "premier contact" sous l'angle de la linguistique et de la science. Ce côté véridique fait plaisir à voir.
J'ai aussi beaucoup aimer le sens du film, les thèmes qu'il touche (l'amour, le temps...) et le twist. Bien que facile et assez artificiel (j'en conviens), j'ai été sur le cul à la fin.
A voir pour tout fan de science fiction, le film abordant toutes les facettes que le genre peut offrir !
Un très bon film !
J'ai beaucoup aimé que ce soit un SF qui change des autres : sans violence et où il n'y a pas d'ordre de puissance.
Villeneuve nous offre sa grandiose présentation d'une rencontre du troisième type, à travers un film non tape à l’œil, qui propose une excellente analyse tant philosophique que linguistique, [spoiler] tout en utilisant des concepts de boucles temporelles et donc une narration non linéaire [/spoiler].
Alors certes, nous avons déjà eu droit à de petites perles dans le même genre, comme avec Contact, certains films de Spielberg, les odyssées de l'espace, ou encore District 9 dans une moindre mesure.
Mais ici, le sujet est traité encore différemment et l'approche proposée est clairement travaillée pour paraître avant tout crédible.
[spoiler]
Tout d'abord avec le design des Heptapods (sept tentacules et non pas six mon cher Fake :p), des pieuvres qui communiquent par jets d'encre : on ne connaît pas encore tous les mystères de l'évolution, mais cette théorie tient la route.
L'écriture cyclique/circulaire et sa logique doivent être un bonheur pour les linguistes.
Les réactions des civils, des militaires, des médias : bon alors hélas on ne peut s'empêcher d'avoir des Russes et les Chinois en bons vieux fauteurs de trouble, c'est vraiment dommage, même si quelques militaires américains "who watched too much TV" sont aussi à classer parmi les idiots du village, mais les médias traités comme des pourritures qui balancent leurs informations sans concessions, le public qui panique, sont hélas des scénarios plus que probables.
Les interactions entre gouvernements : face à une crise de cette ampleur, même les plus proches alliés deviennent soudain des ennemis potentiels alors que la thématique principale du film est justement de démontrer l'importance de communiquer.
[/spoiler]
On retrouve des thèmes chers au réalisateur, déjà abordés dans l'excellent Enemy, et même certains plans [spoiler] l'heptapod qui apparaît dans la chambre de Louise / l'araignée qui apparaît dans le salon d'Adam [/spoiler] sont repris à bon escient.
Tous les points forts ont déjà été listés plus hauts, mais celui qui m'a le plus scotché, c'est évidemment le fait que [spoiler] Louise apprenne à vivre toute sa vie de manière périodique si elle le souhaite, et parvienne de fait à apprendre à communiquer avec les Hectapods. On retrouve en effet la théorie de la poule ou de l’œuf, mais diablement bien orchestrée [/spoiler]. En deuxième position du classement de la baffe, la scène [spoiler] d'entrée dans le vaisseau et du premier contact est une belle leçon. [/spoiler]
C'est en bref une petite bouffée d'air frais dans un cinéma par trop saturé d'explosions (même si parfois ça fait du bien quand ça pète dans tous les sens), qui donne à réfléchir sur le film mais aussi sur nous mêmes en tant qu'être intelligents (enfin aux dernières nouvelles).
Magnifique Film ! Ce genre de film, ça me transporte, j'aimerai vivre le jour où on établira le premier contact
J'ai adoré jusqu'au dernier quart d'heure :(
Encore une histoire de premier contact extra-terrestre sans saveur.
Ici un angle d'attaque un peu différent mais le twist du film ne casse pas 3 pattes à un canard.
Pour ceux qui trouvent ça "super novateur", regardez "Contact" de 1997 avec Judie Foster.
Vous verrez vite que ce n'est pas le premier du genre ...
Énorme. Quelle claque. Une renaissance de la SF grâce à Villeneuve.
Un bon film bien réalisé dont le twist tout (trop) bien expliqué ne justifie pas la longueur du film ...
Y a de bonnes idées mais quand même un peu de rythme n'aurait pas fait de mal ... les 30 premières minutes sont un vrai somnifère... la suite légèrement mieux. Bonne bande son mais qui rappelle trop la guerre des mondes de Spielberg.
Comme pour quasi tous les films avec un matériau original, remercions les écrivains dont sont pompés les films. Sans eux, on aurait que des navets remplies de clichés la plupart du temps.
Voilaaaaa, c'est de la SF comme ça que je veux ! Excellent à tout points de vue, j'adoooore
[spoiler] Génial ce film, enfin un film ou les extraterrestres viennent pas tout détruire, j'ai adoré ! [/spoiler]
Le début de l'histoire était prometteur mais après on s'enlise, et l'ennui gagne, dommage
Joli film de science-fiction, ça fait plaisir de temps en temps, surtout que le sujet n'est pas du tout traité comme les habituels blockbusters ><
Personnages OK, intrigue OK (les "incohérences" n'en sont pas vraiment, pour moi, au vu de la fin. Même si certains indices étaient trop "évidents", peut-être.), chute OK (assez intéressante, réellement, et qui laisse à réfléchir)
J'aime, quoi, tout simplement ^^
___Ma_bouse_d'or_2017___
Premier Contact avec une méga daube c'est pas facile de s'en remettre !
Qu'est-ce que c'est chouette, un film avec des extra-terrestres qui ne viennent pas nous envahir & tout faire péter. :)
& est-ce que je suis la seule à avoir pensé un peu à Dr. Who? (A cause du temps non linéaire, & de l'écriture circulaire.)
Extrait : "En bref, c'est un film que je vous invite à regarder car il change des autres films classique où les aliens sont juste là pour nous faire du mal, ou bien c'est l'humanité qui attaque et se ramasse tout dans la gueule, là on a un film pacifique, un peu comme E.T.
Il démontre qu'il faut garder, en toute circonstance, une ouverture d'esprit afin de ne pas mal interpréter quelque chose que l'on ne comprend pas forcément."
Chronique complète sur mon blog (lien dans la partie dédiée)
Mouais, c'est pas ouf.
Je me suis concentré tout le long du film et je n'y ai rien vu que très intéressant.
Je m'attendais à un film beaucoup plus réaliste, certes avec un OVI mais pas avec une meuf qui peut voir dans le futur.
J'ai largement préféré Enemy du même réal
Tellement poétique et fin dans sa narration. Vraiment magnifique. Du grand Denis Villeneuve avec une approche de l'extra-terrestre originale et vraiment bien exploré. C'était le deuxième visionnage pour moi mais c'était toujours aussi intense.
J'ai failli abandonner à la moitié du film, qui m'a ennuyé jusqu'à 1h30. Manque de tout.
Ensuite le "dénouement" est top ce qui redonne son intensité au scénario. Je reste déçu par les redondances et les discordances : entre la finesse et le génie de Villeneuve que l'on ressent par moment (bien aidé par un bon jeu des acteurs) et les séquences lourdes que l'on peut retrouver dans la plupart des films de SF.
Deuxième visionnage et j'ai toujours pas les mots pour exprimer ce que ce film éveille en moi les sentiments, les sensations, je le ressens, je n'arrive pas a l'analyser concrètement.
Je dirais froidement que le scénario intelligent sans grandiloquence, le jeu des acteurs, la photographie, les sublimes plan et le sound design absolument parfait, en font un des meilleurs long métrage qu'il m'ai été donné de voir, mais c'est bien loin d'exprimer tout le bien que je pense de ce film.