Pee Wee, un adulte qui ressemble à un enfant, s'apprête à passer une belle journée avec l'amour de sa vie : sa bicyclette. Mais cet objet vient d'être volé par le méchant Francis. Pee Wee part à la recherche de son amour perdu et nous entraîne dans des aventures de plus en plus burlesques.
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Ptilait qui a créé cette fiche
Bizarrement j'ai bien aimé, c'est bizarre, complétement déjanté, d'une naïveté assumée, j'adore ! D'un registre décalé bien digne de Burton, loin des clichés qu'on lui attribue aujourd'hui. Le personnage de Peewee est insupportable mais on finit par s'y attacher malgré tout. J'ai aimé aussi la petite mise en abîme, m'enfin ça fait toujours sourire ce genre de chose x)
Ohlàlà. L'univers de Pee Wee est bien sympathique mais le personnage est exécrable. Ça plus des gags dignes de mauvais cartoons, j'ai trouvé le temps long.
C'est loufoque, burlesque ( le personnage principal a des faux airs de Keaton et Charlie Chaplin), c'est surréaliste à la Tim Burton et ça fait bien plaisir, c'est jouissif.
Il mêle super bien animation (son amour de toujours) et prises de vues réels ( le dinosaure, la camionneuse et sa tête de monstre, des décors à la Alice aux pays des merveilles.) qui est en accord avec son thème principal: le syndrome de Peter Pan, quand l'infiniment grand rencontre Pee Wee cet éternel enfant, quand le réel rencontre l’irréel ( les couverts surdimensionés du début).
On assiste à une quête: un vélo volé (et quel vélo), qui est vraiment un personnage à part entière: sans lui, Pee Wee a perdu une partie de lui, de son enfance. Alors s'en suit un road movie avec des déguisements géniaux, des genres très bien maitrisés, avec des gags hilarant, parfois lourd mais ce n'est pas grave car ce qui m'importe dans un Burton n'est pas de rire mais d'être fascinée par cette mise en scène. Et puis, s'en suit l’accomplissement final, le rite initiatique est bien passé. Comme le dit Pee Wee, "il l'a vécu." Il a retrouvé son vélo et a un peu grandi mais n'a rien perdu de sa joie de vivre= CQFD.
Pee Wee!! Quel personnage!! Un mélange de Charlie ( et la chocolaterie) par son excentricité, Mr Bean,... L'acteur incarne les différentes émotions ( la naïveté, la confiance en soi), les différents genres ( L'homme viril à la Bogard) à la perfection. Fascinant.
Le film est aussi un hommage à tous les grands du cinéma (ET de Spielberg) et l'on sent que Burton avait déja bien en tête Charlie et son Alice. Mais c'est aussi une satire des studios. Tout part en vrille, c'est décalé: il met le cinéma sans dessus dessous. Du grand Burton quoi!!
Je ne pensais pas pouvoir trouver le temps long devant un Burton, j'aime presque tout ce qu'il fait mais là non désolée...
C'est presque malsain. *et je ne parle pas que de Pee-wee, allez vous renseigner du personnage sur google*
Un film très cul-cul la praline!
Premier long métrage de notre cher ami Tim. Agréablement surpris il faut le dire. J'ai eu peur au début en voyant ce personnage si étrange, mais au final tellement représentatif des personnages de Tim Burton. Un enfant dans un corps d'adulte mis dans des situations plus loufoque les unes que les autres, tel pourrait être le résumé de ce film, qui après avoir passé 5 minutes voir 10 minutes dans lesquels j'ai douté, m'a doucement emmené dans son monde.
Très drôle et touchant, un personnage haut en couleur et amusant (ce qui permet de supporter ses passages quelque fois crispants). Le passage stop-motion de la mamie-fantôme est excellent.