La folle et poétique histoire du parcours érotique d'une femme, de sa naissance jusqu'à l'âge de 50 ans, racontée par le personnage principal, Joe, qui s'est auto-diagnostiquée nymphomane. Par une froide soirée d’hiver, le vieux et charmant célibataire Seligman découvre Joe dans une ruelle, rouée de coups. Après l'avoir ramenée chez lui, il soigne ses blessures et l’interroge sur sa vie. Seligman écoute intensément Joe lui raconter en huit chapitres successifs le récit de sa vie aux multiples ramifications et facettes, riche en associations et en incidents de parcours. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
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Rôle principal
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Non renseigné
Merci à Fake qui a créé cette fiche
A-DO-RE, vivement le 2 !
Mouais, c'est beaucoup plus soft qu'annoncé en fait. Fin d'un côté tant mieux, ça fait moins porno et plus psychanalyse, mais si on se dit ça, y a de grosses incohérences, parce que la vraie nymphomanie, c'est pas ça du tout.
Me suis fais ch**r comme pas possible, soporifique à souhait.
Un film déconcertant et malgré tout, prenant. La jeune Stacy Martin est parfaite dans ce rôle car elle dégage une fragilité et en même temps une indifférence et nonchalance qui colle bien au personnage. Après, l'histoire est intriguante de par le mystère autour de la trouvaille de Joe par Seligman. On se demande où veut nous mener l'histoire. J'étais curieuse au vu de certaines réactions lues ici et ailleurs sur le web et surtout à cause du casting et à ce niveau-là, je ne suis pas déçue. La fin nous donne directement envie de voir la suite en tout cas!
Agréablement surpris, je ne m'attendais pas à autant de profondeur dans ce film (enfin pas à ce type de profondeur ^^). Les dialogues sont riches et intéressant (j'ai beaucoup aimé la philosophie de la découpe des ongles). Alors oui, certains plans sont clairement pornographiques (environ 10s sur 2h de film) mais sont présent à des moments clef et servent vraiment le film. Sinon c'est lent et l'ambiance est souvent froide, du Lars Von Trier en somme. Mention spéciale à Stacy Martin et pour la première fois j'ai apprécié Shia LaBoeuf (un miracle). Va falloir enchainer avec la suite maintenant !