Alors qu'il s'apprête a participer au tournoi du siècle, Maverick, professionnel du poker, se retrouve sans le sou, menacé de mort par un mauvais perdant nommé Angel et en butte aux provocations d'une jeune et belle joueuse, Anabelle Blansford, qui multiplie les aguicheries tout en se dérobant obstinément à ses avances.
Adapté de la série Bret Maverick
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Fusion qui a créé cette fiche
Un peu étrange ce film ^^. J'ai bien aimé la complicité entre Foster et Gibson, ainsi que l'époque à laquelle se déroule Maverick. Mais il est un peu long quand même, il peine à démarrer. Sinon, j'en retire une bonne impression, rien de génial cependant.
Maverick offre au spectateur une sensation assez particulière qu’il n’avait que peu ressenti au cinéma ; le mélange subtil du western à la comédie, avec comme pilier scénaristique des parties de poker aussi surprenantes les unes que les autres. L’utilisation intelligente de la trame montre que le père de l’Arme Fatale Richard Donner n’a jamais vu son sujet lui glisser d’entre les mains, pour le plus grand plaisir des visionnaires qui verront en cette plaisante production un réel souci du détail la volonté sans faille de séduire efficacement. Quiproquos, retournements de situation et trahisons resteront les maîtres mots de ce film aujourd’hui globalement culte. Le duo Mel Gibson/ Jodie Foster y est d’ailleurs pour beaucoup.
Ça fait bizarre de se dire que ce film date de 1994. La séquence de la diligence qui est assez spectaculaire laisse croire à un film plus récent.
Sans ça, l'abus d'humour nuit un peu à l'ensemble, ils n'arrêtent pas de se charrier, c'est marrant mais on en finit par oublier le but de tout ce road trip.