En 1983, un homme, Red Miller, vit avec sa petite amie artiste Mandy dans les bois dans le Nord-Ouest Pacifique, isolée du monde. Un jour, elle est attirée par Jeremiah Sand, un chanteur folk devenu le gourou d'une secte. Avec l'aide d'une bande de bikers, les Black Skulls, Sand la kidnappe mais Mandy, après s'être moquée de lui, est brûlée vive sous les yeux de Red impuissant. Ivre de vengeance, Red assemble un arsenal d'armes improbables pour se venger de Sand et de ses admirateurs. Mais, peu à peu, le monde se modifie et ressemble à une peinture de sa fiancée défunte... Aux frontières du réel, rien ne l'arrêtera pour mener sa vendetta.
Wikipedia
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à KingBrook qui a créé cette fiche
perso j ai trouvé ce film particulier carrément allucinant,j en ai même perdue mon h (de hallucinant bien sûr ;)
je le conseille !!
Mandy est une expérience visuelle assez incroyable en plus d'un trip gore et malsain. Nicolas Cage excelle dans son rôle de traqueur en quête de vengeance, aux airs de Bruce Campbell d'Evil Dead.
Sous influence pseudo-fantastique, cette vendetta sanglante qui lorgne avec la série Z propose une ambiance 80's travaillée : synthwave et grain d'image obligatoires, sang rouge clair... tout est là pour rappeler l'époque bénie du cinéma de genre décomplexé et friand de papier mâché.
A voir pour surtout pour le travail visuel, digne d'un Gaspar Noé en crise d'hyperglycémie. A déconseiller aux fans d'action à tout va.
Cosmatos signe un trip sous lcd et c'est pas franchement réussie.
Beaucoup trop long avec une première partie interminable qui n'apporte rien au scenario du film qui tient sur un post-it.
La deuxième partie démarrer tranquillement pour finir en apothéose de la violence et du gore, se qui aurait due arrive bien plus tôt, car avant faut avouez qu'on s'ennuie trop, dommage.
Un film de fou, j'ai adoré ! Entre le film d'art et essai et le nanar, le réalisateur n'a pas choisi. Quelle expérience !
à 45mn j'ai dû retourner voir le résumé pour me convaincre de continuer (je m'endormais). à 1h30, quand on a bien commencé la boucherie nanardesque, ces visuels ésotérico-cosmiques ça me saoule, j'arrête.
Cosmatos étire le temps qui n'est pas celui, réaliste, du temps vécu, mais bien celui, subjectif, du temps de la conscience... Voilà pourquoi la démesure et l'outrance restent malgré tout les points forts du film... Enfin, je crois...
Quel purge: je me suis endormi au bout de 40 minutes! Et il y a de l'abus de filtre rouge!