Comme chacun sait, les enfants ne font aucune différence entre les classes sociales, les couleurs de peau ou les religions. Mais alors pourquoi Corentin, le fils de 9 ans de Paul et Sofia, n’a-t-il à l’école de Bagnolet que des amis qui lui ressemblent? Et quand ses amis partent tous dans une école privée parisienne, ses parents prennent peur. Désormais, Corentin est le seul dans sa classe. Mais le seul quoi ? (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Sous couvert de vouloir faire une comédie sociale qui traite d'un fait de société (la faillite de la mixité promise par l'école publique), le film nous sert un discours caricatural, sans aucune nuance ni decentrage du regard. À aucun moment on ne rit des vrais problèmes du système scolaire qui s'étaient ainsi pointés du doigt. Plus grave, on ressort du film avec un léger malaise sur ce que veut vraiment dire le réalisateur (car il y a clairement un discours politique qui est tenu malgré l'absence de finesse), comme un petit arrière goût de préjugés/racisme de bon cœur à la qu'est ce qu'on a fait au bon dieu. Ce n'était peut être pas son intention, mais dans ce cas, ça confirme une chose : le film est raté. Sur ce dernier point, un élément totalement objectif est la rupture totale du ton posé par le film par la dernière scène qui tranche totalement avec le reste et qui m'a définitivement sorti du film.
Par ailleurs, les acteurs sont plutôt corrects, heureusement !
Le seul problème du film c’est le cliché des collègues de zep avec des enfants qui s’intéresse pas à la culture et qui foute la merde tout le temp. J’ai venu toute ma vie en quartier et j’ai fait ma scolarité en zep et en aucun cas cela ce passe comme dans ce film. Sinon les acteur son excellent. Ce qui efface un peut les clichés maladroits
Film Abandonné en cours de route. Le réalisateur enfile les clichés comme on enfile des perles. Cela frise le ridicule. Tout y passe que ce soit au niveau de la classe (maîtresse débordée, intervention du mâle pour rétablir l'ordre) de la classe sociale, de la religion (scène ridicule du stationnement gênant), de la couleur de peau , de la banlieue et j'en passe. Le jeu impeccable d' Edouard BAER ne peut pas sauver un film raté.