Dans un Japon futuriste régi par l'Internet, le major Motoko Kusunagi, une femme cyborg ultra-perfectionnée, est hantée par des interrogations ontologiques. Elle appartient, malgré elle, à une cyber-police musclée dotée de moyens quasi-illimités pour lutter contre le crime informatique.
Le jour où sa section retrouve la trace du 'Puppet Master', un hacker mystérieux et légendaire dont l'identité reste totalement inconnue, la jeune femme se met en tête de pénétrer le corps de celui-ci et d'en analyser le ghost (élément indéfinissable de la conscience, apparenté à l’âme) dans l'espoir d'y trouver les réponses à ses propres questions existentielles... (Source : Allociné)
Adapté de la saga de mangas Ghost in the shell
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Franz26 qui a créé cette fiche
Je n'ai pas accroché à l'histoire, et même à l'animation à certains moments. Peut-être est-ce parce que j'ai quasiment rien compris, allez savoir !
J'ai un peu eu le même problème, j'avoue
Par contre l'ouverture avec ce choeur de voix féminines est magnifique.
A sa sortie le film est quand même une sacrée claque. Une animation de qualité, des musiques sublimes et, grande découverte pour l'occident, un film d'animation grand publique à destination d'un publique adulte, l'équivalent d'un Blade Runner réalisé par les studio Disney... Le scénario et les réflexions qui en découle à la sauce Mamoru Oshii n'est certainement pas des plus simple à assimiler mais se digère relativement bien (il a fait bien pire depuis) et se comprend encore mieux en revisionnant l’œuvre. Connaitre les œuvres et adaptations de Masamune Shirow aide forcément aussi.
Par contre, je n'ai pas beaucoup apprécié les incrustations CGI de la version rénovée annotée "2.0".
Je vais lire le manga pour mieux comprendre.
Ça à l'air passionnant réellement ; je me demande à quoi va ressembler le deuxième volet parce que l'univers scientifiquo-informatique, à ce niveau, reste une terre inexploré ... même moi, là, je sais pas trop vers quoi il pourrai se tourner sans prendre exemple d'autre oeuvre de ce type !
La qualité du film n'est pas à remettre en question, je pense. C'est beau, extrêmement intéressant, et incroyablement actuel (et futur évidemment, mais on voit bien cela venir) malgré les quelques années qu'a déjà cette histoire (manga comme film). C'est aussi très contemplatif, les scènes en question sont sublimes, accompagnées de la musique toujours fabuleuse de Kawai Kenji.
Seulement 17 parce que quand on ne connaît pas l'univers de Ghost in the Shell, on ne comprend pas grand chose au film. Pour le coup, ça n'est pas vraiment une adaptation qui fonctionne en autonomie. Mais ça vaut le coup. Je vais également me tourner vers le manga pour essayer d'en apprendre davantage, je trouve que c'est un univers fascinant. En attendant la nouvelle adaptation avec ScarJo.
Une oeuvre à part que j'ai apprécié pour sa sublime bande son hypnotique et pour son animation de qualité. Malheureusement, l'histoire est très (trop) complexe. Je pense ne pas avoir tout saisi. Je ne regrette pas malgré tout de l'avoir vu ^^
Je suis contente de lire que si l'on ne connaît pas grand chose à l'univers, le film devient complexe.... Car devoir mettre pause à la moitié du film pour chercher des infos car je ne comprenais rien, ça ne m'étais jamais arrivée! Alors grande frustration car j'ai adoré ce que j'ai vu, la musique, l'animation, l'univers.... Mais quand on sent que bcp d'éléments nous échappent pour saisir pleinement l'oeuvre, oui c'est frustrant.... et j'ai trouvé le film incroyablement court et avec finalement peu de questions métaphysiques telles que "qu'est ce qu'être humain?" mais peut être suis je passée à côté.... Je le regarderais à nouveau lorsque j'aurais un peu mieux cerné l'univers!
J'ai enfin vu ce film. Alors des passages très lent, beaucoup de passages philosophique mais a la fin j'étais en mode : tout ça pour ça. J'ai un peu eu du mal a comprendre