Pour avoir oublié le monstre Metamorphe au fond d'un océan, les Gandahariens, habitants d'une heureuse planète, sont voués à la disparition. Heureusement, Metamorphe, effrayé par sa mort prochaine, devra les ressusciter afin de puiser en eux l’énergie nécessaire à son immortalité.
Adapté du livre Les Hommes-machines contre Gandahar de Jean-Pierre Andrevon
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Quel incroyable dessin animé ! Gandahar possède un univers génial avec une palette de couleur enivrante. Le design n'est pas en reste et offre une esthétique de grande qualité. La bande son conforte cette ambiance originale et travaillée, de même que l'intrigue assez torturée et très intéressante. Bref si le rythme semble parfois un peu lent l'ambiance ne laisse pas indifférent. Je suis vraiment tombé sous le charme de ce film, qui mérite le détour.
Ca m'a l'air bien sympa ce film... Par contre la date de sortie n'est pas bonne : c'est 1987 (voire 1988), mais certainement par 1998 ! A corriger donc =)
Oui je confirme que vu la réalisation du titre c'est pas 98. ^^ Ce côté rétro contribue parfaitement au charme de l'univers justement.
J'ai eu la furieuse impression d'avoir consommé des champi hallucinogènes en regardant "Gandahar" O__o Mais non non j'étais bien à jeun. Ce qui fait donc de ce film un véritable bijou de créativité au niveau des décors, et des personnages. L'animation très "old school" est délectable : ce style me rappelle les vieux dessins animés sans une goutte de CGI. Comme quoi, à l'époque on savait dessiner ! Le seul défaut tient à quelques boulettes dans la réalisation (l'impression que certains passages de quelques secondes ont été coupés et qu'on passe d'un évènement à un autre trop rapidement. Mais cette critique non dissimulée des risques liés aux progrès, très en vogue dans les années 80, reste un sujet très interressant.
Excellent, mais je me rappelais trop des Maîtres du Temps et il y a beaucoup trop de ressemblances avec. Et ça dégouline beaucoup, aussi (fait pas beau de vieillir).