Elles sont psychiatres, infirmières ou ergothérapeutes à la maison d’arrêt des Baumettes à Marseille et reçoivent des détenus devenus patients le temps du soin. Elles sont là pour aider des hommes en souffrance, fussent-ils incarcérés.Être là, c’est rejoindre cet espace unique - celui de l’écoute - une poche d’air derrière les murs de la prison. Son existence est conditionnée par la détermination des soignants à continuer de venir pratiquer la psychiatrie ici… à quel prix ?Sophie travaille là depuis dix ans et questionne aujourd’hui sa place en prison, la possibilité d’y accomplir son métier de psychiatre, véritable acte de résistance. Elle convoque les souvenirs de ces années d’enfermement pour faire un choix : continuer à être là, ou partir ? (Source : Allociné)
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Merci à gon17 qui a créé cette fiche
Je tire mon chapeau à toutes ces toubibes et toubibs qui bossent dans des conditions de tarés.
Bravo et courage !