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Neights a dit (16 Octobre 2012 à 23:05)
Sûrement la structure la plus fainéante que j'ai vu dans cette série depuis longtemps. Enchainement de gags sans fond (et doté d'une forme répétitive) pour un épisode dont les rares bons moments surnagent difficilement. La fin est attendue, et même la réflexion présente ne parvient pas à se dépétrer de cette lourdeur omniprésente. Dommage.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (16 Octobre 2012 à 04:05)
plus qu'une catchline, le "You can't be half-gangster" de l'affiche promo est véritablement au coeur de chacune des storyline. Pour Van Alden, dont le parcours occupe presque toute la première moitié, il est temps, après un moment sur la ligne jaune, de finalement basculer de l'autre côté du miroir. Même traitement pour Eli dans cette saison, ainsi que dans cet épisode pour le très motivé Eddie Cantor, au détour d'une séquence figurant déjà parmi les plus grandes que la série nous ait offert. Et si, pour Rosetti, la question de la ligne ne s'est jamais posée, l'exploration du personnage se poursuit toujours de manière aussi passionnante que brutale. Bref, on en redemande.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (16 Octobre 2012 à 00:39)
De nouvelles pistes se forment, d'autres disparaîssent brutalement. Dexter est plus que jamais le cas typique de la série pour laquelle les scénaristes ont fourni exactement ce que la chaine voulait voir, et qui continue sur cette voie alors que l'on amorce la fin de série. On pourra toutefois ENFIN saluer l'avancée du discours sempiternel, monotone et mortel de Dexter, enfin parasité par le point de vue de sa soeur. Mine de rien, ça fait du bien de ne plus l'entendre se répéter ad nauseam.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (16 Octobre 2012 à 00:29)
Un épisode de reprise dans la continuité de ce qu'est la série, ni très bon, ni abyssalement mauvais. On reconnaît la stupidité des divers éléments scénaristique, véritable touche de la série qui avait déjà amusé tout le long de la saison 2, entre facilités et invraisemblances. ça a l'avantage de faire sourire.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (14 Octobre 2012 à 03:04)
Plus que jamais, Fringe nous maquille ses stand-alone en vaines parcelles de fils rouges, et plus que jamais, l'illusion ne prend plus. digne d'une contrefaçon de série des années 90, on s'ennuierait presque, s'il la laideur quasi constantes des effets visuels, mêlés à la vacuité de l'intrigue épisodique, n'étais pas si fascinante. On nous vendait, fut un temps, la série comme le nouveau Lost. Peut être en avait-elle le potentiel. Aujourd'hui, Fringe n'est rien de plus que l'un des plus beaux gâchis télévisuel des années 2000.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (12 Octobre 2012 à 15:12)
Un épisode à l'idée de départ pas mauvaise, jouant autant sur le comique de société (et l'abus des commandes internet) que sur le quiproquo...mais très vite parasité par un comique de répétition usé jusqu'à l'overdose totale, et ce pour chacun des gags présents ici. South Park, comme chaque fois depuis longtemps, nous rappelle qu'elle est capable du meilleur comme du pire, et se retrouve en totale roue libre.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (11 Octobre 2012 à 17:42)
Un épisode presque détendu, qui fait du bien après les coups durs du début de saison. Le ton reste sérieux, mais les situations qui nous sont offertes débordent d'humour, entre deux règlements de comptes très posés. Même la storyline de Tara revient sur une pente plus positive. Les bornes sont toutefois posées, sur la fin de l'épisode, via une mort aussi inattendue que brutale. Un épisode de continuité donc, qui me laisse au moins une certitude : je ne verrais plus jamais Walton Goggins de la même façon.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (10 Octobre 2012 à 00:54)
un épisode en dent de scie, à l'instar du 801. Les séquences avec Barney et Marshall (seul) font mouches, mais les séquences Lily/Marshall et Ted/Robin dénotent d'un essouflement certain dans la dynamique de leurs comique, ce qui est avouons le relativement lourd par moment. La série reste néanmoins plaisante à suivre.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (08 Octobre 2012 à 09:27)
Un épisode (une fois n'est pas coutume) plutôt plaisant, qui approfondit à la fois le personnage de Etta, et qui définit clairement les enjeux des épisodes à venir. Prions, encore une fois, pour que la série ne retombe dans les travers qui gangrènent les autres saisons, et tant qu'on y est, prions pour que cette quête sur les pistes laissées par Walter ne soit pas une simple chasse aux horcruxes, répétitive, longue et structurellement inintéressante. Allez...J'aurais presque envie de croire que la série peut sortir dignement de la scène.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (06 Octobre 2012 à 00:44)
Un épisode qui, comme c'est devenu la norme depuis quelque temps pour Parker & Stone, s'appuie sur un fait de société. Ici la glorification de l'obésité, caricaturée par une émission de télé-réalité aussi affligeante que terrifiante. L'esprit South Park est toujours là, la satire aussi (Les séquences avec James Cameron à la recherche du "niveau mondial" au fond des océans, sont savoureuses), mais on se pose désormais la question de l'humour. En effet, à plusieurs reprises et au delà des vannes habituelles des quatre gosses, les séquences qui, il y a quelques années, nous aurait fait rire ne sont désormais plus qu'une affligeante transposition de notre réalité, à peine caricaturée par le trait des auteurs. Est-ce que Parker & Stone ont changé leur fusils d'épaule, est-ce ce "niveau mondial" qui est descendu au delà de ce qu'ils attendaient, où bien n'est-ce que moi qui ne voit plus dans leurs épisodes qu'une triste démonstration de notre époque? En tout cas, contrairement au 1608 et son sarcastaball, ce 1609 est très réussi.
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