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Neights a dit (17 Janvier 2013 à 09:35)
Est-ce que ce final aurait pu être meilleur? Probablement. Mais rarement une telle intensité ne s'est faite atteindre qu'au paroxysme de cet épisode, rappelant une fois de plus par son ton aussi amer que glacial les meilleures heures de The Shield. Fort heureusement, le but n'a jamais été de comparer l'une à l'autre, et prise telle quelle, Sons of Anarchy reste au pire une série coup de poing imparfaite mais maitrisée, au mieux une descente aux enfers fascinante telle que peu de séries parviennent à nous en offrir. Après cinq saisons qui connurent hauts et bas, scénaristiques autant que qualitatifs, on ne peut désormais que se demander si le show parviendra à tenir la distance pour encore quelque temps au moins, aucune date d'arrêt n'étant encore définie à l'heure actuelle. Si l'expérience montre que ce pari est des plus ardus à tenir, l'affection personnelle me donne envie d'y croire. À l'année prochaine!
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Neights a dit (29 Novembre 2012 à 10:31)
Un épisode des plus plaisants, qui pour une fois sait placer ses coups durs là où il faut sans jouer la carte de la surenchère inutile. Bobby sert enfin à quelque chose, et Charlie Hunnam nous offre quelques belles scènes en début et fin d'épisodes. Malgré les errances d'écriture que la série se coltine régulièrement, je reste agréablement surpris par certains sujets très pertinents et justes, notamment sur la notion du pouvoir, et sur ce qui est ou non acceptable pour "préserver" les choses qu'on aimerait ne pas voir changer. Ceci suffit, chez moi en tout cas, à éclipser quelque peu les déceptions et les jeux d'acteurs parfois trop approximatifs. La série reste plaisante...plus qu'à espérer que le season final soit à la hauteur.
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Neights a dit (28 Novembre 2012 à 06:24)
Un épisode sympathique, qui a défaut de livrer un Gouverneur aussi badass que sa version papier (personne ne l'attendait de toute manière) nous en offre une version plus insidieuse et plus fine, qui amorce des éléments scénaristiques à fort potentiel de répercutions sur l'avenir du groupe de héros. Plus qu'à espérer que la rencontre de tout ce beau monde ne tarde pas à trop arriver... et avec une saison de 16 épisodes, je me permets d'en douter. Enfin, on ne le dira jamais assez, mais le fossé qualitatif vis à vis des deux premières saisons est plaisant. A suivre, donc.
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Neights a dit (22 Novembre 2012 à 01:31)
Très agréablement surpris par ce début de série, et par sa qualité.
Neights a dit (21 Novembre 2012 à 03:47)
Un épisode ma foi très cool. Certes, on est loin de l'époque d'or de la série, mais l'attachement aux personnages rend certaines scènes plutôt touchantes, à plus forte raison si elles nous parlent. Dommage que, comme trop souvent cette saisons, les bonnes idées soient gâchées par cette tendance du "faire un gag pour un gag" sans même se donner la peine de bien l'amener. On aura tout de même connu bien pire dans le paysage des sitcoms.
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Neights a dit (01 Novembre 2012 à 19:51)
Les ficelles sont grossières, toutes les langues se délient en même temps, préparant une dernière partie de saison intense, mais ô combien prévisible. Comme souvent, les séquences fortes se trouvent amoindries par une mise en scène qui manque de tension, qui maintient le spectateur à distance sans jamais réellement l'immerger dans le moment. Mais comme d'habitude, rien n'est vraiment mauvais, la série reste ce qu'elle est : plaisante, puissante, mais imparfaite.
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Neights a dit (25 Octobre 2012 à 10:05)
L'épisode poursuit la lancée de la saison dans le registre tragédie familliale et péripéties à court termes. Alors que le début de saison laissait penser à un The Shield saison 5-like" en termes de plongée, Sutter montre vite que son talent pour maintenir une unité de tension continue n'est pas celui de Shawn Ryan. À force de verser dans la surenchère de drame, la série pourrait bien perdre l'un de ses gros atouts. L'épisode reste néanmoins très sympathique.
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Neights a dit (23 Octobre 2012 à 12:31)
Un peu plus tôt, je me disais, à propos d'une autre série (Walking Dead, pour la nommer), que ce serait pas mal qu'à un moment il y ait une certaine constance de qualité dans son écriture, que l'on ait pas à "attendre" éternellement de savoir si la série va se relever ou s'enfoncer.
Avec Dexter, aucun soucis : la médiocrité est constante depuis des années. Et après le très léger souffle de mieux apporté par la nouvelle dynamique de la relation Deb/Dex, on retombe dans le cyclique et le non-discours. Mais on en voit le bout, petit à petit. C'est une bonne nouvelle en soi.
Neights a dit (23 Octobre 2012 à 11:18)
Un second épisode qui parvient à nous emporter et à nous intéresser. Preuve que même après des débuts difficiles, il ne faut douter de rien. Le mieux qui se fait sentir depuis le départ de Darabont continue, avec ses hauts et parfois ses bas. Ici, c'était clairement un haut. A suivre.
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Neights a dit (18 Octobre 2012 à 06:25)
On aimerait que tout aille pour le mieux dans le Treme, mais loin s'en faut. Chacun va de l'avant, faisant bon gré mal gré avec les cartes qu'il a en main. Plus la cité se relève de ses cendres, plus ses habitants laissent apparaître pour certain la fragilité, pour d'autres l'optimisme, pour les derniers des secrets qu'il vaudrait mieux ne pas toucher. La série reste l'oasis hebdomadaire qu'elle a toujours été, et c'est bien tout ce qui compte.
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