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Neights a dit (22 Juillet 2013 à 19:51)
A défaut d'être bien écrite et intéressante, cette saison 6 se revèle au moins sympa à suivre, grâce notamment à certaines séquences qui arrivent à sortir des sentiers battus (en dépit du message lourdingue), et de véritables enjeux. Pour la première fois depuis six ans, True Blood arrive à me faire voir ses épisodes sans m'ennuyer. Une prouesse.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (14 Mai 2013 à 15:49)
À défaut de faire avancer l'histoire (je crois qu'on a rarement été aussi lentement, tant dans le show que dans une série - de qualité - en général), les relations entre les personnages gagnent en profondeur, tandis que ceux-ci s'épaississent. Malheureusement, tous ne bénéficient pas du même traitement, créant une inégalité parfois assez énorme d'une séquence à une autre. La série reste passionnante à suivre, en espérant qu'elle sache à défaut d'avancer plus vite, au moins esquiver tous les travers qui la transformerait en véritable cliché ambulant. (Et ils sont nombreux).
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (11 Mai 2013 à 06:51)
Déçu. Très déçu. Certes, entre ses incohérences de dialogues et ses personnages aux traits délibéréments exacerbés, Community sans le duo Harmon/McKenna avait déjà bien baissé, réduisant la série à un enchainement de références tentant vainement de faire illusion plus qu'autre chose. Ce final, en un sens, va en ce sens : même en tentant quelque chose d'épique, ils se plantent en beauté et n'arrivent jamais au quart de ce qu'auront été les épisodes spéciaux des fins de saisons précédentes. Community saison 4 m'aura plus gonflé que fait sourire, et ne m'aura pour ainsi dire décroché qu'un rire sur ses treize épisodes. Une saison 5 est désormais officialisée, sans Chevy Chase, lui qui n'a déjà plus eu sur cette saison qu'une poignée de scènes (dont la moitié executées par une doublure). C'est pas cool, NBC. Vraiment pas.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (09 Avril 2013 à 08:54)
Une saison fantastique, du niveau des meilleures moments de la série, ou au moins à mon sens de ce qui reste son pic de qualité, la saison 2. discours intelligent sur le travail d'auteur (parfois maudit) et sur les relations, entre exs, entre parents et enfants, ou entre couples bien actuels. Certes, la trame de Runkle et Marcy aura été lourde, prouvant une fois de plus que, pour ces personnages en tout cas, l'histoire est déjà bien finie. On espère, a la vue du final, qu'ils seront enfin mis de côté. Mais on y croit pas.
Pour Hank, cette saison aurait pu être déterminante. Pour la première fois depuis le début de la série, notre antihéros post-rock a la possibilité de se reconstruire, sans Karen, grâce à Faith. Une Karen plus jeune, diront les plus cyniques, mais qui lui apporte surtout à nouveau souffle, inspiration et semblant de stabilité. Une personne qui, enfin, le comprend et avec qui il n'a pas à craindre de faire chaque jour un faux pas. À ce titre, Maggie Grace dans le rôle de Faith était tout simplement géniale, et aura offert à la série quelques-unes de ses plus belles scènes.
Eh oui, Californication, après six saisons en dent de scies réglées comme une horloge (une mauvaise/une bonne) aurait pu avoir ici son masterpiece, entre intelligence du discours et évolution (conclusion?) des personnages.
Mais pour ça, il aurait fallu que les scénaristes aient des couilles, et force est de constater que malgré beaucoup de dialogues très pertinents, le goût du risque, chez eux, n'existe pas. Alors que rien n'allait dans ce sens, alors que toute la saison convergeait vers une seule et simple évidence pour Hank, un retournement du personnage, sorti de nulle part, inexplicable et aucunement amené, nous renvoie à la gueule que non, rien, jamais, ne changera. En moins de dix minutes, la série revient sur ses acquis, comme une personne qui, au moment de sauter un précipice, se ravise et freine les talons dans le vide. Cette sixième saison de Californication était grande, et la qualité de chacun des épisodes de cette année n'a d'égal que la médiocrité de sa fin. Dommage.
Neights a dit (22 Mars 2013 à 05:20)
J'en suis au 205 à l'instant, en tenant compte du fait que j'ai enquillé toute la série ces deux derniers jours...Et autant il y a quelque chose, une matière, un... fond qui mériterait amplement d'être creusé, autant la surprésence à l'écran de Dunham, que ça soit physiquement ou narrativement, est proprement (et le mot n'est pas approprié) insupportable. C'est juste pas possible, surtout quand d'autres personnages (au hasard, les trois autres actrices... mais pas que) mériteraient d'être approfondis. Je me suis décidé à me faire Girls en premier lieu pour comprendre pourquoi une série telle que celle-ci avait mieux marché en terme d'audience qu'Enlightened. J'en déduis après coup qu'il s'agit soit d'une info que j'ai raté, soit du grand mystère insondable qui m'oppose constamment au public visé par la grande diffusion. Toujours est-il qu'en l'état, Girls m'apparaît comme étant plutôt Girl, l'histoire bien lourde d'une jeune(sse) insupportable qui rejoint le grand tableau des personnages HBO de ces dernières années, moins grands (McNulty, Nate Fisher, on parle de vous) et donc... plus proches d'un quotidien moyen dans un univers dont on ne sait jamais s'il faut le prendre au premier ou au second degré, avec audace, acidité ou simplement vulgarisation d'écriture. plus proche de la lourdeur d'un Kenny Powers que des enjeux de Amy Jellicoe, Hannah vient se placer, pour moi, tout au fond de la galerie de la chaine. Là où aimerait aller le moins souvent possible...
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (11 Février 2013 à 13:11)
"Ce n'est pas une défaillance de votre téléviseur, n'essayez donc pas de régler l'image. Nous avons le contrôle total de l'émission : contrôle du balayage horizontal, contrôle du balayage vertical. Nous pouvons aussi bien vous donner une image floue qu'une image pure comme le cristal. Pour l'heure qui vient, asseyez-vous tranquillement. Nous contrôlerons tout ce que vous allez voir et entendre."
L'accroche d'Au delà du réel pourrait parfaitement convenir à The Walking Dead, tant le meilleur se confronte au pire, tant une scène peut s'avérer aussi bonne que sa suivante sera inutile, et tant les jeux d'acteurs explorent à peu près tous les niveaux de crédibilité et de qualités suivant lesdits acteurs. Certes, The Walking Dead saison 3 à pour elle, contrairement aux deux précédentes, d'être de meilleure qualité et de faire un peu bouger son sujet...mais les éternels et indécrottables écueils semblent ne jamais s'effacer.
Ceci dit, on ne s'ennuie pas, et rien que pour les quelques pics de qualité, cet épisode - et cette série - valent au moins le coup d'œil.
Neights a dit (30 Janvier 2013 à 13:47)
Un épisode "cool" comme la série nous en offre régulièrement. Situations cocasses, peu de prises de tête, rock et développement des relations placées au cœur de l'intrigue. Là encore je vais me répéter, mais si toutes les storylines et tous les personnages ne se valent plus, d'autres méritent largement le coup d'œil. Pas exceptionnel, mais clairement, ce début de saison 6 fait plaisir à voir après une saison 5 bien molle.
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (30 Janvier 2013 à 13:45)
Un épisode marqué par l'entrée en scène d'une Maggie Grace lumineuse, et le début de la rédemption - du moins sa tentative - du sieur Moody. Californication stay Californication, et les péripéties s'enchaînent au rythme des dialogues, marquant toutefois cette fois-ci une réelle volonté de faire évoluer les personnages, dans une plus ou moins grande mesure. Si seulement Becca pouvait finalement être plus présente que Runkle...
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (30 Janvier 2013 à 13:41)
Un retour un brin sombre, pour un Hank plus au fond du trou que jamais. conséquences et inquiétudes face à l'avenir sont de mise, et même si certains personnages n'ont clairement plus d'enjeu valables, Duchovny continue de porter littéralement l'action sur ses épaules. Une reprise des plus plaisantes!
Voir tous les commentaires de l'épisodeNeights a dit (23 Janvier 2013 à 13:28)
Une fin de série digne de ce que nous ont offert ces deux dernières saisons : gâchées, insensée, reposant sur son background et ses acquis pour broder un fil blanc tout juste prêt à se rompre au moindre frottement. A terme, que retiendra-t-on de Fringe? Pour les plus pessimistes, un potentiel énorme plombé par des scripts qui auraient faits mouches il y a vingt ans, un kitsch pas vraiment assumé à tous les étages, et bien trop de vides pour avoir une trame intéressante. Pour les autres, énormément de passages plaisants, de trips sous LSD, un univers très prometteur, fascinant même, et un John Noble absolument fantastique. J'aimerai pouvoir, dans quelques mois et lorsque le soufflet sera retombé, faire partie de cette seconde catégorie, parce que ce n'est pas avec cette fin que le show m'aura satisfait.
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