
HowLongToBeat45.5 h
67 h
103 h
Ichiban Kasuga, jeune recrue d'une famille de yakuzas modeste basée à Tokyo, accepte de passer 18 ans en prison pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Il purge sa peine sans jamais perdre foi en son cercle, mais découvre à sa sortie que personne ne l'attendait et que le clan a été anéanti par l'homme qu'il admirait le plus au monde.
Ichiban se promet de découvrir la vérité cachée derrière cette trahison et de reprendre sa vie en main. Ce faisant, il rassemble un groupe de parias pour l'aider dans sa quête : Adachi, un policier déchu, Nanba, un ancien infirmier devenu sans-abris, et Saeko, une hôtesse suivant sa propre mission. Ensemble, ils se trouvent mêlés à un conflit sous-jacent à Yokohama et devront agir à l'unisson pour devenir, contre toute attente, les héros de l'histoire.
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Chapitre 1 terminé.
Chapitre 2 terminé.
Chapitre 3 terminé.
Niveau 10 atteint avec Kasuga.
Chapitre 4 terminé.
10 intrigues secondaires accomplies.
Une personne s'est fait écraser par une voiture lors d'un combat.
Chapitre 5 terminé.
Un pervers est sorti du coffre pour la première fois.
Chapitre 6 terminé.
Plus de 100 Sujimon inscrits dans le Sujidex.
Plus de 100 pièces d'équipement collectées.
Chapitre 7 terminé.
Chapitre 8 terminé.
La société de Kasuga s'est installée dans de nouveaux locaux.
Niveau d'amitié max. avec Adachi.
Chapitre 9 terminé.
Les quatre membres du groupe ont changé de jobs et remporté un combat.
Niveau 30 atteint avec Kasuga.
Vous avez remporté toutes les chasses à la canette.
20 intrigues secondaires accomplies.
Vous avez acheté plus de 10 sociétés.
10 pièces d'équipement fabriquées à l'Atelier Romance.
Niveau d'amitié max. avec Saeko.
La société de Kasuga figure parmi les plus grandes sociétés de Yokohama.
Niveau d'amitié max. avec Eri.
Chapitre 10 terminé.
Chapitre 11 terminé.
Rang de job à mi-temps Héros senior atteint.
Vous avez obtenu plus de 10 diplômes de l'école professionnelle.
Plus de 200 pièces d'équipement collectées.
Équipement entièrement amélioré à l'Atelier Romance.
Chapitre 12 terminé.
Niveau 50 atteint avec Kasuga.
Arène de combat de Sotenbori terminée.
Plus de 200 Sujimon inscrits dans le Sujidex.
Kasuga a effectué trois jobs différents, en plus de son job de départ.
Chapitre 13 terminé.
Niveau d'amitié max. avec Nanba.
Chapitre 14 terminé.
Niveau max. atteint pour l'une des statistiques de personnalité de Kasuga.
Rang max. atteint pour 1 job.
Chapitre final terminé.
Vous avez joué à plus de 10 mini-jeux.
Niveau d'amitié max. avec Joon-gi Han.
Rang max. atteint pour 3 jobs.
40 intrigues secondaires accomplies.
Capital de plus de 10 milliards de yens atteint avec la société de Kasuga.
Niveau d'amitié max. avec Zhao.
Rang max. atteint pour 7 jobs.
Kasuga a effectué huit jobs différents, en plus de son job de départ.
Vous avez entretenu des relations intimes avec plus de deux personnages féminins.
Niveau 70 atteint avec Kasuga.
Acolytes appelés 30 fois à la rescousse.
Vous avez regardé tous les films projetés au cinéma sans vous endormir.
Niveau max. atteint pour toutes les statistiques de personnalité de Kasuga.
Vous avez remporté toutes les coupes et courses de Dragon Kart.
Rang de job à mi-temps Héros en chef atteint.
Dernier donjon terminé en mode Aventure Premium.
Vous avez assisté à plus de 20 séances de discussion.
Vous avez trouvé toutes les personnes qui vous ont fait un honk-honk.
Terminer la véritable Millennium Tower finale.
Vous avez obtenu tous les succès.
Liste de jeux aléatoires dans le genre Action/Aventure ou RPG sur Xbox Series X/S
Merci à gray63 qui a créé cette fiche
Bien mais que c’était long, mais long...des dialogues à rallonge qui n’en finissent pas. Et le plus marrant, c’est qu’on peut passer toutes les cinématiques mais pas le générique de fin...
Version PC 43 h de jeuCe que je retiendrai de ce jeu : Un monde plein de bons sentiments dans le milieu de la pègre japonaise où la gentillesse et la générosité de notre héros bisounours finissent toujours par payer auprès de nos pires ennemis mais avec beaucoup mais beaucoup beaucoup trop de blabla...
Un Jeu qui m'a attiré l'oeil (contrairement aux autres Yakuza) car c'est un RPG au tour par tour, inhabituel pour un cadre contemporain comme ici (excepté Persona). L'histoire se déroule donc au 21e siècle, dans des villes toutes bien modélisées et tout. C'est une histoire de mafia, de pègre nippone, avec un humour décalé à la Gintama (très "japonais" dans l'aspect grotesque et cartoon), mais surtout un hommage aux JRPG, car le protagoniste est un vieux fan de Dragon Quest. Du coup on a des mécaniques de JRPG classiques mais transposées dans un monde réaliste, un peu un genre de "si la vie était un JRPG", blague qui va d'ailleurs être lancée à Ichiban. Du coup les "jobs" sont... littéralement des jobs. Des boulots quoi. Les invocations sont à appeler sur notre smartphone, les armes, objets, mini-jeux... par certains aspects du coup, ce rapport RPG tradi et réalité renvoie aussi au jeu South Park Le Bâton de Vérité ; les items sont des snacks, des boissons énergisantes, des sushis...
Version PC 55 h de jeuJ'ai trouvé (je connais pas les autres Yakuza, peut-être qu'ils partagent ces traits) bonne l'idée et le parti de nous plonger dans un milieu prolo voire pauvre, ça change beaucoup des gros jeux, des JRPG, et des jeux japonais en général qui n'abordent presque jamais les sujets politiques et sociaux. Même si tout ça change avec la progression hélas, et le fait qu'on devient patron ensuite, mais bon c'est pas la trame de l'histoire.
Le ton est très japonais, dans l'humour décalé et absurde, si vous connaissez certaines émissions ou vidéos vous savez de quoi je parle. J'ai vu des types déguisés en sac poubelle dans un sous-sol. Bon, après ils sont nommés "déchets de la société", mais c'est le revers de l'humour japonais, et c'est illustré par ce que j'ai dit au-dessus dans le milieu SDF : il n'est pas bon d'être exclus, dans cette société.
Le ton particulier fait que les mini-jeux le sont souvent aussi. il y en a beaucoup, allant du karting au jeu de rythme, et ça plus les quêtes annexes, plus part-time hero... ça fait beaucoup. Le jeu avance assez vite sans ça, donc on comprend que l'aspect cour de récré est central.
Bon, pour les côtés négatifs... le début j'ai cru plusieurs fois que je jouerais jamais. J'exagère oui, mais omg les demi-heures de cut-scenes ou cinématiques. C'est un jeu très narratif, très verbeux oui, surtout dans les premiers chapitres. Si on veut profiter des doublage, on peu très fréquemment se caler dans son siège et suivre la série.
Sinon, niveau animations faciales hélas, souvent on va avoir des persos qui crient sans que leur visage ne reflète leur expression, ou très peu. Et comme on passe beaucoup de temps dans les cutscenes, c'est important. L'animation en général évoque souvent plus l'automate que les ressentis des personnages.
Petit mot sur la gestion d'entreprise (gros "mini-jeu") ; sans tuto sur Internet, omg quel bordel. J'ai suivi le tuto du jeu, la première fois, et je me suis ramassé. Il n'explique rien de la masse d'icônes, de sigles qui pullulent, et la partie énervée de la réunion des actionnaires est un cauchemar ; les explications sont totalement insuffisantes par rapport à la quantité d'information à l'écran qu'il faut gérer avec un timer (j'ai suivi ce tuto :https://forums.jeuxonline.info/sujet/1405449/yakuza-like-a-dragon-tuto-mini-jeu-de-gestion), comme le systeme de pierre-feuille-ciseau, les différentes jauges, etc. Une fois les bases acquises par contre, c'est un jeu de gestion sympa, mais comme toujours dans ce genre il faut prendre beaucoup de choses en compte.
En conclusion, si on aime les histoires de mafia et le Japon, c'est parfait. La modélisation des villes et très immersive. Mais perso au bout d'un moment je m'emmerdais ; les mini-jeux sont pas tous funs (enfin perso, le Mahjong, le Shogi, le casino, osef un peu), et niveau scénar dans l'absolu c'est pas le feu non plus, ça reste plutôt moyen. Mais voilà, le JRPG, l'humour, la cour de récré... un bon moment, tout de même.
(edit : j'ai mis 55h en faisant qd mm pas mal de quêtes secondaires et montant l'entreprise au premier rang)
J'ai adoré les 6 autres volumes, mais celui là, malgré quelques bons côté, m'a vraiment gonflé... Combats au tour à tour pas très intéressants, cinématiques de 30mn à des moments pour 5mn de jeu, héros tellement bisounours qu'on a envie de le tarter... et ça n'en finit pas...
Version PC 40 h de jeuSaga phare de Sega débutée sur Playstation 2 et marchant dans les traces du légendaire Shenmue, c’est pourtant un épisode hors des sentiers battus qui se présente à nous aujourd’hui, sous la forme d’un pari audacieux : transposer un jeu d’action-aventure en un J-RPG au tour par tour ! Si la formule change, le contexte ne dépaysera toutefois pas les amateurs de la franchise et s’inscrit dans la continuité d’une série très prolifique, à laquelle je n’ai pas touché depuis le second opus…
Version Playstation 4 50 h de jeuA la vue des excellents retours critiques, cette itération à la « sauce RPG » m’a donné l’envie de replonger dans la franchise Yakuza ! Aux commandes d’Ichiban Kasuga, mafieux déchu au grand cœur, nous voici embarqué dans une intrigue incongrue où s’entremêle crimes, complots, trahisons et politique. Une aventure prenante à la mise en scène soignée, où des passages guignolesques côtoient des évènements dramatiques imbibés de thématiques sérieuses (familiale, loyauté, sacrifice, etc...). Un contraste étonnant, matérialisé notamment par la différence de ton entre l’histoire principale et la légèreté des missions secondaires : toutes plus loufoques les unes que les autres ! Une trame travaillée, mais manquant clairement de rythme notamment à cause de la passivité générée par les cinématiques à rallonge et des dialogues interminables. Car oui, Yakuza : Like A Dragon est un jeu très bavard !
Si l’on ne peut parler d’open-world, Yakuza : Like A Dragon laisse champ libre au joueur dans un immense quartier fictif de Tokyo, grouillant de monde et d’activités. On se prend ainsi au jeu de la vie citadine japonaise, en savourant l’ambiance de cette métropole atypique. Vagabonder devient vite un art à part entière, reflet de la générosité du titre ! Impossible de recenser toutes les possibilités offertes, mais outre les multiples quêtes annexes, de nombreux divertissements s’offrent à vous : salles d’arcade (avec des classiques de la firme ayant marqué l'histoire du médium), golf, baseball, casino, crafting, jeu de rythme, cuisine, etc… Si la plupart restent marginales, certaines activités valent vraiment le détour. C’est le cas de la gestion d’entreprise par exemple, dans laquelle je me suis impliqué de longues heures afin d’engranger des millions de yens, et, dans une moindre mesure, du « Dragon Kart ». Clone bancal mais plutôt fun de la célèbre saga éponyme. Magasins et restaurants foisonnent aux 4 coins de la ville, et permettent de s’approvisionner quant à eux en objets et équipements. En résulte un contenu dense et diversifié, assurant une durée de vie conséquente à travers 15 chapitres, et ce même en limitant les à-côtés.
Je ne m’éterniserais pas sur le système de combat au tour par tour : choix de jobs, montée en expérience et spécialisation, gestion de l’équipement, malus et bonus d’états, système de forces et faiblesses, parade, etc… On retrouve toute la panoplie du J-RPG traditionnel, complet et efficace malgré quelques combats redondants et des pics de difficulté mal gérés. Le plus drôle, c’est que le titre arrive à justifier son orientation à travers la passion du héros pour la série Dragon Quest !
En effet, l’amour qu’Ichiban voue à ce J-RPG mythique couplé à son imagination débordante servent de prétexte pour apporter une touche fantaisiste au monde moderne. Le tout en gardant un aspect terre à terre des plus cocasses ! Pour changer de « job » par exemple, il faut se rendre au pôle emploi local ! Encore mieux, certains PNJs rencontrés durant vos péripéties endossent le rôle d’invocations… moyennant finances ! Le titre ne se prend donc pas au sérieux et parodie tout un genre avec une touche d’humour nippon inimitable. En revanche, les donjons, conditionnés le plus souvent à des égouts ou des bâtiments contemporains, sont assez insipides tant visuellement qu’en terme de level design. Mais cette problématique semblait difficile à contourner…
Techniquement, Yakuza : Like A Dragon impressionne par la modélisation de ses personnages et le réalisme des visages. La ville se veut également bien modélisée, et la qualité de l’animation et des effets visuels assure un constat général de bonne facture malgré quelques textures bas de gamme et des temps de chargement un peu longs. Niveau sonore rien à redire, et si les musiques d’ambiance jouent leur rôle d’accompagnant avec brio, on saluera surtout l’excellent doublage japonais des acteurs. Un casting assumant son lot de clichés, original et varié, même si niveau charisme j’ai rarement vu un roster principal aussi naze (mention spéciale à Namba le clochard…). Ce qui n’empêche pas de s’attacher aux héros et de développer leur petite intrigue personnelle.
Pour une première excursion dans le monde du J-RPG, Yakuza : Like A Dragon s’en tire très bien ! Sa densité et sa générosité gomment vite ses quelques maladresses, et, à défaut d’apporter une véritable plus-value à la franchise, ce changement audacieux d’orientation a le mérite de rafraichir la formule tout en conservant l’aspect bac à sable originel. De quoi piquer la curiosité des amateurs de J-RPG avides d’une proposition ludique peu commune, matérialisée ici par un univers mafieux atypique rarement exploité dans ce milieu. Assurément un bon jeu, méritant toute votre attention.