Le remake de Dragon's Curse où Wonder Boy III fait revivre un aventurier maudit qui fait face au défi de sa vie. Trouvez un antidote à la malédiction du Meka-Dragon qui l'a métamorphosé en mi-homme et mi-lézard. Cet anti-héro mutant explore donc les dangers de Monster Land dans sa recherche. Au cours de son aventure, le joueur se transforme en lézard, souris, piranha, lion et un faucon qui lui permettent de venir à bout de ce jeu de plate-forme empli d'action et d'aventure.
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Slew the Meka Dragon.
Slew the Mummy Dragon.
Slew the Dragon Zombie.
Slew the Captain Dragon.
Slew the Daimyo Dragon.
Slew the Vampire Dragon.
Found Charm Stone in Hawk-Man's secret location.
Found Charm Stone in Lizard-Man's secret location.
Found Charm Stone in Piranha-Man's secret location.
Found Charm Stone in Lion-Man's secret location.
Found Charm Stone in Mouse-Man's secret location.
Found Charm Stone in Hu-Man's secret location.
Cleared the game (Hard mode).
Merci à Escapist_nwk qui a créé cette fiche
Les plus vieux d’entre vous se souviennent sans doute de la série Wonder Boy, ayant fait les beaux jours de la Master System et dont le 3e opus, sujet du jour, est souvent considéré comme l’un des meilleurs titres de la console. Seulement pourvu d’une Nes à l’époque, je n’avais alors jamais eu l’occasion de m’essayer à ce pilier du jeu vidéo. Il est temps de rattraper cette lacune via un remake rendant hommage à l’œuvre originale.
Version Playstation 4 5 h de jeuWonder Boy : The Dragon’s Trap est un jeu d’aventure en scrolling horizontal qui axe ses mécaniques sur les transformations subies par le héros au fur et à mesure de la progression : tantôt homme-dragon, souris, poisson, lion et faucon. Chaque phase apporte des différences de gameplay significatives dont il faudra user pour avancer et se frayer un chemin jusqu’au donjon final. Un procédé novateur fin des années 80, qui place l’exploration au cœur de l’aventure. En effet, passages secrets et portes dérobées ne sont pas à négliger pour avancer sans encombre, tout comme l’acquisition (moyennant finance) de nombreuses pièces d’équipement. Les items spéciaux et la quête des cœurs de vie renvoient irrémédiablement à un certain Zelda, alors que la construction du jeu empreinte, elle, davantage à la saga Metroid. Un léger temps d’adaptation se révèle nécessaire pour manier notre bonhomme avec efficacité (la précision faisant parfois défaut, notamment lors des phases de plates-formes), avant de s’enfoncer au cœur d’un level design savamment construit.
Parlons maintenant de l’attrait principal de ce remake : la refonte graphique. C’est évidemment le jour et la nuit entre l’opus de 89 et celui de 2017, qui bénéficie d’une 2D somptueuse au style crayonné séduisant. En résulte des décors enchanteurs tout droit sortis d’une bande dessinée, et seule l’animation assez sommaire des sprites (au rendu cartoon très sympathique) permet de remonter aux origines vieillottes du jeu. Pour apprécier ce travail d’orfèvre il est possible, via une simple touche, de naviguer en temps réel entre le style d’époque et l’actuel. Même procédé pour la bande son qui, elle aussi, a bénéficié d’une restauration exemplaire avec des thèmes magnifiques. Un réel atout qui vient renforcer une ambiance fort plaisante, déjà portée par une superbe direction artistique.
Sans être très difficile le titre reste avare en checkpoint, et il sera courant de recommencer de longs pans de niveaux pour défier à nouveau un boss ardu. D’autant que les restarts s’effectuent dans le village de départ, sorte de hub central vers les différentes zones du jeu. Appropriée à l’époque, la durée de vie aujourd’hui désuète reste la raison principale de ma notation modérée. Comptez environ 5h pour voir le bout de l’aventure et des secrets que le monde de Wonder Boy recèle. Un laps de temps réduit qui se dévore sans retenue, avec une pointe de frustration. Car encore une fois le gameplay du titre, tellement en avance sur son temps, se suffit à lui-même et régale toujours 30 ans plus tard. Même si je l’avoue, refaire le jeu d’origine n’aurait sans doute pas eu la même saveur et, hors contexte, Wonder Boy : The Dragon’s Trap ne réserve guère de surprises pour un joueur des années 2010.
Pour autant, même sans levier nostalgique, il parait impossible de ne pas apprécier les qualités du soft. Un remake respectueux empli d’amour, levant ainsi le voile sur cette réputation mythique loin d’être usurpée.
j'ai détesté le gameplay (vive la méga savonette),
Version PC 7 h de jeuj'ai détesté être coincée dans le mur pour me faire défoncer par un boss,
ah, j'ai bien aimé les patte graphique... mais c'est quand même pas suffisant pour apprécier ce jeu.
j'ai apprécié le fait qu'il soit court aussi, j'ai souffert moins longtemps comme ça xD