Le titre fait suite à A Link to the Past sorti en 1992. Le héros, Link, peut se déplacer sur les murs en se transformant en dessin, une fonctionnalité qui apporte de nouvelles possibilités de gameplay.
Suite assumée de A Link to The Past, ce nouveau Zelda doit défendre un sacré héritage. Bourré de références au mythique opus Super Nes, A Link Between Worlds reprend presque à l’identique la carte d’Hyrule que nous connaissons tous. Le style graphique se rapproche aussi beaucoup de son ancêtre, avec une vue de dessus typique des Zeldas d’antan. Une réalisation soignée, fine, propre et sans fioritures, pour un confort visuel impeccable. Nostalgie, quand tu nous tiens…
L’originalité de cet opus réside essentiellement dans la capacité de Link à se fondre telle une peinture dans les murs. Les énigmes et secrets abuseront donc de cette aptitude et il faudra vite raisonner avec pour progresser sans encombres. Le level design s’avère toujours aussi soigné et intelligent, explorer les mondes d’Hyrule et Lorule se révèle donc un plaisir total. On regrettera néanmoins des donjons un peu simplistes et une durée de vie légèrement en deçà. Un point qui lui porte vraiment préjudice.
Tel son prédécesseur 16 bits cet opus nous laissera beaucoup de liberté, et une fois dans le monde de Lorule l’exploration s’affranchit de toute linéarité. Libre à vous de voyager entre les deux univers, d’explorer les donjons comme il vous sied, ou encore de s’attarder sur les nombreux secrets du jeu. Car au lieu de récupérer armes et objets dans un ordre précis, il sera possible de les louer/acheter dès le début de l’aventure. Surprenant mais dans l’esprit du titre, car le gameplay ne souffre d’aucun défaut ! Soulignons pour finir une bande son de très bonne qualité.
Difficile de passer derrière le remake d’OOT, mais A Link Between Worlds s’illustre comme un excellent opus portable. Un hit de plus pour l’indispensable 3DS.
Excellent et très divertissant, jeu qui rend accro !
Version Nintendo 3DS 34 h de jeuSuite assumée de A Link to The Past, ce nouveau Zelda doit défendre un sacré héritage. Bourré de références au mythique opus Super Nes, A Link Between Worlds reprend presque à l’identique la carte d’Hyrule que nous connaissons tous. Le style graphique se rapproche aussi beaucoup de son ancêtre, avec une vue de dessus typique des Zeldas d’antan. Une réalisation soignée, fine, propre et sans fioritures, pour un confort visuel impeccable. Nostalgie, quand tu nous tiens…
Version Nintendo 3DS 20 h de jeuL’originalité de cet opus réside essentiellement dans la capacité de Link à se fondre telle une peinture dans les murs. Les énigmes et secrets abuseront donc de cette aptitude et il faudra vite raisonner avec pour progresser sans encombres. Le level design s’avère toujours aussi soigné et intelligent, explorer les mondes d’Hyrule et Lorule se révèle donc un plaisir total. On regrettera néanmoins des donjons un peu simplistes et une durée de vie légèrement en deçà. Un point qui lui porte vraiment préjudice.
Tel son prédécesseur 16 bits cet opus nous laissera beaucoup de liberté, et une fois dans le monde de Lorule l’exploration s’affranchit de toute linéarité. Libre à vous de voyager entre les deux univers, d’explorer les donjons comme il vous sied, ou encore de s’attarder sur les nombreux secrets du jeu. Car au lieu de récupérer armes et objets dans un ordre précis, il sera possible de les louer/acheter dès le début de l’aventure. Surprenant mais dans l’esprit du titre, car le gameplay ne souffre d’aucun défaut ! Soulignons pour finir une bande son de très bonne qualité.
Difficile de passer derrière le remake d’OOT, mais A Link Between Worlds s’illustre comme un excellent opus portable. Un hit de plus pour l’indispensable 3DS.