18.5 h
24.5 h
52 h
Mario et Luigi vaquent à leurs occupations quand soudain un Toad arrive pour leur signaler l'enlèvement de la Princesse Peach. Les deux frères concluent immédiatement à une nouvelle tentative de Bowser pour s'emparer du royaume champignon et filent vers son palais. Ils arrivent en plein pendant la préparation du plan d'attaque du royaume champignon par Bowser, qui est étonné de les voir et ne semble pas au courant de l'enlèvement de la princesse.
Soudain, un mystérieux personnage, le Comte Niark, apparaît aux côtés de Peach emprisonnée. Mario tente de l'arrêter mais ne peut rien faire et est mis à terre. Le comte crée alors un portail dimensionnel qui aspire Luigi, Bowser et les troupes du vilain. Seul Mario est encore là lorsqu'apparaît une sorte de papillon du nom de Tippi qui lui demande de le suivre.
Source : Wikipedia
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Finir le puits des 100 épreuves à Recto.
Finir le puits des 100 épreuves à Verso.
Trouver tous les pixels, y compris les cachés.
Merci à Fusion qui a créé cette fiche
Euh, c'est moi, ou le Comte Niark ressemble de manière suspecte au Comte Millénaire ? Même chose pour Tippi et et Timcanpy.
Version Wii 34 h de jeuL'un et l'autre étant issus de l'univers de D. Gray-man...
Considéré comme un spin-off de la saga Paper Mario, ce « Super » revisite la formule et nous propose une expérience originale sur Nintendo Wii. Au programme : un savoureux mélange de plates-formes 2D et 3D, une bonne dose d’exploration/réflexion et un soupçon de RPG, pour un titre qui ne démérite pas. Présentation.
Version Wii 20 h de jeuPar le biais de l’émulation Wii U, me voici à insérer des piles dans une Wiimote qui n’avait sans doute pas servie depuis 10 ans ! L’écran de jeu incite à tenir la manette à l’horizontal, et me voici avec un godemiché - édition dorée Zelda Skyward Sword s’il vous plait - nullement ergonomique dans les mains. Petite piqure de rappel vis-à-vis du hardware foireux de cette console, heureusement gratifiée d’une excellente ludothèque. Mais faisons abstraction du contexte, et plongeons dans l’aventure en compagnie de Mario, Luigi, Peach et Bowser ! Cette fois nos héros vont unir leurs forces pour déjouer les plans du comte Niark et de ses acolytes. Le vilain désirant en toute originalité anéantir les mondes grâce au pouvoir des cœurs purs. Nos héros se retrouvent alors projetés entre les dimensions, et atterrissent dans l’étrange ville de Recto qui servira de hub central pour explorer le multivers. Notre objectif : s’engouffrer dans les failles dimensionnelles afin de retrouver les précieux artefacts et ainsi déjouer la funeste ambition des affreux.
Bon, on passera sur ce scénario assez convenu qui joue la carte humoristique, parfois maladroitement, et amène ainsi moult scènes désopilantes. Super Paper Mario s’éloigne du royaume champion et se permet d’introduire une multitude de nouveaux protagonistes et antagonistes. D'ailleurs, en terme de character-design, les développeurs se sont amusés en renouvelant allégrement le bestiaire et les PNJs. Nous y reviendrons en abordant la partie technique, mais allons d’abord à l’essentiel : le gameplay si particulier de cet épisode.
Super Paper Mario se présente en apparence comme un jeu de plate-forme 2D classique. En apparence seulement ! Car tout le concept du titre se base sur la transition en temps réel 2D/3D et le jeu de perspectives qui l’accompagne. Difficile à coucher sur l’écran, contextualisons donc en prenant un exemple basique. Supposons qu'un mur vous bloque le chemin : il suffit de passer en 3D et visualiser une fissure jusqu'alors invisible en son centre. Mais cette cloison ébréchée reste trop étroite pour s'y engouffrer ? Qu’à cela ne tienne, utilisez votre acolyte le « pixel Svelte » afin de devenir aussi mince d’une feuille de papier et traverser sans gêne l’obstacle. Et oui, car j’en viens à l’autre grosse mécanique de gameplay : l’utilisation des pixels ! En nombre conséquent, ces petites entités étranges sont à récupérer au fur et à mesure de l’aventure et permettent ainsi d’accéder à de nouveaux chemins et secrets grâce à leurs capacités uniques. Une habitude dans les Paper Mario.
Mais ça ne s’arrête pas là ! A la manière des pixels, nos héros sont interchangeables à tout moment et disposent eux aussi d’aptitudes propres : Peach peut planer avec son parapluie, Luigi sauter plus haut et Bowser compense sa lenteur par une force démesurée. Car histoire de ne pas couper tous les ponts avec la saga principale, le titre conserve un aspect RPG notamment via la présence de points d’expérience. Chaque montée de niveau octroyant à Mario davantage de santé ou de force de frappe. Ne vous attendez pas en revanche à du tour par tour comme le veut la tradition des Paper Mario. Les combats sont typés « plate-forme », en temps réel, et souvent expédiés par quelques sauts sur la tête ou un coup de marteau bien placé. Les boss offrent plus de challenge et nécessitent souvent l’appui d’un pixel pour s’en sortir sans encombre, ainsi qu’une bonne gestion de son inventaire et des items de soin. Quant à l’apport de la Wiimote, il se résume à quelques manipulations futiles lors de l’utilisation d’un objet.... Sans commentaires. Rendez-moi mon pad Gamecube bordel !
Visuellement Super Paper Mario exhibe un style mignon tout plein aux couleurs chatoyantes, mais pèche par certains décors minimalistes et une direction artistique soufflant le chaud et le froid. Le bilan reste néanmoins positif, particulièrement grâce à la fluidité des transitions 2D/3D. Le level design aussi n’est pas irréprochable, et si on trouve d’excellentes idées de conception certains passages s’avèrent un peu bancals (banals ?). On relèvera aussi les allers et retours imposés ci et là, nuisibles au rythme général. Enfin, la bande son ne restera pas dans les annales et se contente de thèmes d’ambiance pour la plupart agréables mais sans réelle envergue.
Alors que ses prédécesseurs jouaient la carte du J-RPG au tour par tour, Super Paper Mario opte pour une approche différente en mettant tous nos sens à l’épreuve avec ce monde pensé simultanément en 2D et en 3D. En résulte un concept rafraichissant au centre d’un gameplay imparfait mais bien huilé. Perfectible sur le fond comme sur la forme, le plaisir de jeu l’emporte vite sur les petits défauts et l’aventure vous tiendra en haleine de nombreuses heures. D’autant plus si vous désirez percer tous les secrets cachés du soft ! Un très bon titre estampillé Mario, dont on saluera la prise d’initiative malgré une norme de qualité un chouia en dessous du standard habituel.