18.5 h
62.5 h
94 h
Quatrième opus de la saga du même nom, Mass Effect 4 est un jeu de rôle intergalactique reposant sur l'exploration et la gestion des relations entre les peuples. Le joueur pourra en effet découvrir un vaste ensemble de planètes, et choisir la façon dont il traite les gens qu'il rencontre et ses coéquipiers.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Petit rôle
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Obtenez tous les trophées.
Réalisez 100 combos de pouvoirs.
Tuez 2 000 ennemis.
Tuez 100 ennemis en étant en vol stationnaire en mode solo.
Tuez 100 ennemis avec des attaques au corps-à-corps.
Faites exploser 10 cibles amorcées par un coéquipier en mode solo.
Touchez 250 points faibles d'ennemis en utilisant une lunette en mode solo.
Réanimez des coéquipiers 25 fois.
Utilisez des machines pour tuer 100 ennemis.
Faites éclater un ennemi gelé avec une attaque sautée au corps-à-corps en mode solo.
Jetez un ennemi sur un autre ennemi 25 fois en mode solo.
Déclenchez une mine en y jetant un ennemi en mode solo.
Ordonnez à votre I.V. reliquate d'attaquer chaque type d'ennemi reliquat en mode solo.
Touchez 25 ennemis flottants avec Tir percussif, Incision ou Incinération en mode solo.
Frappez 25 ennemis flottants avec une attaque au corps-à-corps en mode solo.
Mettez le feu à 3 ennemis avec une seule attaque continue au Lance-flammes en mode solo.
Parcourez au moins 30 m en un seul saut en mode solo.
Menez à bien une relation amoureuse avec trois personnages différents sur l'ensemble des parties.
Utilisez Charge sur un ennemi en étant camouflé en mode solo.
Faites un vol plané de 35 secondes avec le Nomade.
Terminez une partie (solo Folie), ou réalisez 5 extractions dans n'importe quelle base (multi Or).
Réussissez un total cumulé de 25 missions de groupe d'assaut ou extractions de l'APEX (multi).
Terminez la mission du didacticiel du mode multijoueur.
Terminez un total cumulé de 5 missions de groupe d'assaut ou extractions de l'APEX (multi).
Activez Méridiane.
Activez la cité-relique.
Réinitialisez le Pionnier.
Libérez l'arche galarienne.
Établissez un avant-poste.
Détruisez le complexe d'exaltation ou sauvez les prisonniers angara.
Rencontrez les Angara sur Aya.
Formez une alliance avec une faction de hors-la-loi.
Devenez le nouveau Pionnier.
Accédez au Tempête.
Activez le premier caveau reliquat.
Récupérez le vaisseau de la colonie krogane.
Arrêtez le chef des Roekaar.
Unissez les avant-postes contre une menace commune.
Aidez la sœur de Vétra.
Trouvez la source du mystérieux signal découvert par Peebee.
Secourez l'arche asari.
Recrutez vos 6 coéquipiers en mode solo.
Atterrissez sur une planète alien.
Atteignez le niveau 40 en mode solo ou le niveau 20 en mode multijoueur.
Tuez un ennemi avec une arme de rang 5 (solo), ou équipez-vous d'une arme de rang 10 (multi).
Débloquez le rang 6 de chaque type de profil (solo), ou obtenez une stat bonus de niveau 6 (multi).
Faites passer un pouvoir tech, un pouvoir de combat et un pouvoir biotique au rang 6 en mode solo.
Atteignez le niveau 25 en mode solo ou le niveau 15 en mode multijoueur.
Créez 6 groupes d'assaut ou remportez 25 médailles d'assistance en mode multijoueur.
Faites passer un groupe d'assaut au niveau 20.
Équipez 3 types de profil différents.
Atteignez 100 % de viabilité pour toutes les planètes découvertes.
Augmentez la viabilité d'une planète découverte jusqu'à 100 %.
Fabriquez une armure ou une arme à feu avec 3 améliorations.
Scannez 100 objets différents.
Terminez 20 casse-têtes reliquats en une seule partie.
Merci à Racetrack qui a créé cette fiche
Une aventure qui commençait mal mais qui a fini par me séduire au fur et à mesure ! J'ai adoré ! Malgré bcp de défaut cela dit.
Version PC 147 h de jeuJ'y ai joué environ 150 heures et je suis directement tombé amoureux de ce jeu dès les premières heures. Il est tout simplement génial et j'ai vraiment accroché à l'univers de Mass Effect. En effet, c'est le premier Mass Effect que je joue et je compte bien jouer aux autres et à tous les suivants qui sortiront.
Version PC 150 h de jeuassez déçu dans l'ensemble comparé aux anciens mass effect.
Version PC 72 h de jeufan de la série depuis le début, on sent bien que les finitions ont été laissé de côté (animations ratées, visages moches, les kerts à se jeter par la fenêtre...), l'histoire assez quelconque ainsi que la bio des divers protagonistes.
sauvé par l'ambiance et l'univers, chapeau pour le moteur frosbite pour le rendu des planètes.
je ne vais pas répéter les critiques unanimes de la presse. mais bon, si t'as aimé la trilogie, ce serait dommage de passer à côté malgré le risque de déception.
Un gameplay dynamique mais extrêmement répétitif. Un scénario basique sans rebondissement et prévisible. Les compagnons n'ont pas de personnalité marquante à l'instar des 3 précédents mass effect. Le personnage principale est n'a aucun charisme ...
Version PC 45 h de jeuEn bref ce jeu n'a de mass effect que le nom et c'est dommage ...
Je l'ai trouvé un peu moins beau que Mass Effect 1. Et pour le scénario, un peu déçu. Encore une fois je préfère la première trilogie.
Version Playstation 4Hissée au rang de monument du jeu vidéo, la licence Mass Effect devait se conclure en apothéose après une trilogie épique, et couler de paisibles jours. Mais quand Electronic Arts possède un aussi bon filon, l’exploitation jusqu’à plus soif est la seule option valable. C’est donc sans grande surprise que l’année où sortait Mass Effect 3, un nouvel épisode, mi spin-off, mi stand-alone, et re-mi spin-off derrière était annoncé.
Version Playstation 4 80 h de jeuMass Effect Andromeda part du principe que peu après les évènements du deuxième jeu, une expédition nommée « Initiative », financée par des philanthropes pleins aux as, composée de 4 arches peuplées des races principales de la Voie Lactée, et d’une immense station orbitale nommée NEXUS, ait pris la direction de la galaxie d’Andromède. Pourquoi ? Par soif d’exploration, de découverte, et pour mettre derrière soi tous ses problèmes personnels, et tout recommencer.
Mais comme Andromède c’est pas la porte à côté, il va falloir prévoir un peu plus qu’une thermos d’eau et un sandwich pour le voyage. En effet, le trajet doit durer 600 ans, et le jeu démarre alors que l’arche dirigée par les Humains arrive à destination. C’est là que les problèmes commencent.
La galaxie d’Andromède est infestée par une espèce de saloperie cosmique, le NEXUS parti un an avant les arches est au bord de la révolution, les autres arches sont portées disparues, et les planètes qui devaient accueillir les colons sont peuplées d’extraterrestres hostiles. Bienvenue sur Terre en 2022 quoi.
Après le charismatique commandant Shepard, qui peut bien être le nouvel avatar avec lequel nous allons sauver le monde ? Nous contrôlons ici Scott ou bien Sara Ryder, de race humaine, occupant le poste de « Pathfinder », sorte d’éclaireur dont la mission est de rendre viable les planètes sélectionnées par l’Initiative.
Pour les habitué(e)s de la série, on ne sera pas en terra incognita, bien au contraire. En mission, Ryder sera accompagné de deux acolytes, sélectionnés parmi les membres de l’équipage du vaisseau TEMPEST, dérivé du NORMANDY. On rencontrera tout ce petit monde au fil du scénario, et comme d’habitude, on pourra tisser des liens avec chacun et chacune lors de missions dites de loyauté, qui ici servent surtout à débloquer la dernière compétence de nos frères et sœurs d’armes. On regrettera que l’équipage soit aussi peu charismatique, et finalement un fade copié/collé des coéquipiers des opus précédents.
Là où Andromeda n’est pas avare, c’est sur son écriture, et sur son contenu. C’est une véritable encyclopédie, doublée d’un immense roman de science-fiction. Et si le récit n’est hélas pas très prenant, on ne pourra que louer sa qualité globale. La trame principale n’est en effet pas très surprenante, les antagonistes sont juste méchants pour être méchants, MAIS… Le récit est cohérent, plein d’embranchements, et surtout, il bénéficie de riches intrigues secondaires. Dommage qu’il ne bénéficie pas de la même subtilité que ses prédécesseurs. Par exemple, il est regrettable que la galaxie d’Andromède soit aussi similaire à la Voie Lactée en matière de civilisations. On va y retrouver des humanoïdes, dont les sociétés sont régies à l’identique des modèles que l’on connaît déjà.
Le gameplay reprend les bases de Mass Effect 3 et met l’accent sur l’action/exploration au détriment d’un aspect RPG réduit à son plus simple appareil. Certes on choisit les compétences de notre avatar, ainsi que son équipement, mais c’est à peu près tout. Le concept d’alignement bon/mauvais semble ainsi avoir complètement disparu malgré quelques QTE (Quick Time Events) qui, si ils ont de l’influence sur le scénario, ne feront pas de Ryder un type sympa ou un sacré connard.
Les combats sont (très) nombreux et sont l’occasion de faire parler la poudre sans filtre. D’énormes défouloirs lors desquels il sera possible d’expérimenter toutes sortes d’armes et de pouvoirs viennent rendre cet aspect plutôt ludique et divertissant. En effet, ici on est pas enfermés dans une classe, on peut très bien avoir un personnage calé à la fois sur les armes, les pouvoirs techniques, et biotiques. Mais il y a tellement de fusillades qu’au bout d’un moment, on préférera les esquiver. D’ailleurs, les boss sont très rares, et hélas, le seul qui ait un semblant d’intérêt est réutilisé pas moins de 3 fois, sans la moindre once de changement dans la tactique à adopter pour l’éliminer.
Qui dit Mass Effect dit exploration de planètes. On se souviendra des phases archi-chiantes de scan ou d’analyses en orbite de moult astres dans la trilogie originale… Ici on a à mon sens un juste milieu même si il reste inutilement chronophage de se taper les dizaines de planètes que compte le jeu. Dans chaque système stellaire, cinq ou six corps célestes sont à découvrir, avec parfois des ressources à miner ou bien des anomalies à détecter. Cela se fait assez rapidement, sans avoir à passer sur chaque pixel, heureusement.
Certaines planètes, qui font partie du scénario, sont à explorer directement depuis le plancher des vaches. On y trouvera des quêtes à foison, des ruines à découvrir, des minerais ou des plantes à analyser… Si vous vous souvenez du véhicule tout-terrain MAKO de Mass Effect, il est ici remplacé par le NOMAD, une version améliorée, qui fera fi de toutes les lois de la physique, mais qui permettra de se déplacer rapidement dans les vastes étendues désertiques, enneigées, rocailleuses, etc.
Abordons maintenant les aspects techniques et visuels du jeu.
Mass Effect Andromeda peut se vanter d’être un beau jeu, même en 2022, cinq ans après sa sortie. La palanquée de patchs correctifs aidant forcément. Le seul bémol artistique concerne l’animation des visages qui donne l’impression de voir parler des poupées de cire sans âme. Sauf à de rares occasions où les expressions sont bien retranscrites, la plupart du temps le résultat est au mieux risible, au pire gênant.
La direction artistique n’a pourtant pas à rougir, même si certains visuels sont repris des premiers jeux notamment sur le NEXUS. Les planètes sont magnifiques, les effets de lumière sont saisissants, et certaines zones sont carrément époustouflantes, comme le spatioport de Kadara.
Mais techniquement, ce jeu est bourré de bugs. J’en ai enregistré quelques uns durant ma partie, ils sont aussi improbables qu’inexcusables. On a par exemple un membre d’équipage qui s’envole, un autre qui se dédouble, ou encore la map qui devient dingue.
Pour rester sur les trucs qui énervent, quelques choix de gameplay sont absurdes, comme le fait que le personnage d’IA embarquée avec notre avatar vienne sans cesse commenter les changements de température extérieure, alors qu’un message apparaît déjà sur l’écran. D’ailleurs, j’ai trouvé affreusement lourd le fait que les armures ne protègent pas du froid (-40°C) ou du chaud (+50°C), et obligent le joueur à se mettre de temps en temps à couvert pour ne pas crever.
Une certaine redondance lors des missions qui demandent d’enquêter enlève vite l’intérêt de toute recherche sur les zones à explorer. Il suffit de bêtement activer le scanner sur une zone pour trouver des indices sans avoir à réfléchir. Les seules énigmes du jeu consistent en des… sudoku… oui des sudoku, permettant d’activer des reliques. On a vu plus ludique comme mécanisme !
Côté musique, il n’y a hélas pas vraiment de thèmes à retenir. On est affreusement loin des compositions de David Kates et Jack Wall qui ont officié de main de maître sur les trois premiers volets. Tiens un détail rigolo, c’est que sur le NEXUS, la boite de nuit est très proche du laboratoire de sciences appliquées. Et depuis ce fameux labo, devinez ce qu’on entend ? La musique de la boite de nuit. Paye ta station spatiale avec des murs en mousse. Les armures doivent êtres faites du même matériau.
Le jeu propose une partie « gestion ». En effet, il sera possible de créer des armes/armures/améliorations grâce à des points de recherche gagnés sur le terrain en scannant tous azimuts l’environnement. Mais aussi, en remplissant des missions, et en améliorant les conditions de survie du NEXUS, on pourra débloquer des points de compétences à attribuer sur des améliorations scientifiques, ou militaires, ou commerciales, donnant quelques bonus. Enfin, on pourra envoyer au casse-pipe des équipes de mercenaires, sur des missions virtuelles, afin de rapporter un peu de loot au bercail.
Riche en contenu, Mass Effect Andromeda a de quoi distraire pendant une grosse centaine d’heures sans se fouler. Les quêtes annexes sont légion, et si certaines vous demanderont d’enfiler votre plus bel uniforme de livreur, beaucoup sont vraiment intéressantes, peut-être pas dans leurs mécaniques qui se résumeront souvent à aller casser des bouches, mais plutôt dans leur écriture, et dans les choix moraux qu’ils proposent, ainsi que sur les répercussions que ceux-ci peuvent avoir.
Peut-être par manque d’ambition, ou par manque de compétences dans l’équipe créative, Mass Effect Andromeda souffre de la comparaison avec ses grands frères, et ne parvient pas à se hisser à leur niveau. On est loin du souffle épique de « Suicide Mission » et on ne s’attache pas aux personnages qui manquent de nous intéresser malgré leur background riche. Si le jeu est immense et demande énormément d’heures avant d’en voir le bout, disons que le temps paraîtra parfois bien long.