z0rr0 a dit (22 Septembre 2023 à 17:11)
Fini en 147H en mode difficile , pas mal de répétitions , des sous missions carrement nases et une fin discutable !
Sinon gros sentiment de liberté
PS: une fois trouvé l'arc militaire ça change tout !
Goralden a dit (05 Septembre 2023 à 02:50)
Aussi parfait au début de l'aventure qu'il est frustrant sur la fin, et que de fan service mal placé. Hélas ! Un excellent jeu au demeurant.
Marine13 a dit (04 Septembre 2023 à 09:39)
Un petit jeu très sympa qui fait assez arcade avec ces graphismes très sobres et simplistes en blanc-rouge-noir. En revanche, c'est un petit jeu à challenges car réussir tous les objectifs de chaque circuit n'est pas toujours évident. C'est dû à la maniabilité de la voiture qui met du temps avant de partir en drift. Cette maniabilité est pas atroce mais dur à gérer et elle rend le jeu compliqué. Déjà 10h de jeu pour moi et j'ai pas encore fini tous les circuits.
Franz26 a dit (02 Septembre 2023 à 08:01)
Catégorie assez peu représentée sur console, le « Tower Defense » doit avant tout sa démocratisation à internet et aux mobiles, supports parfaitement adaptés à ce concept addictif. L’arrivée de Lock’s Quest en 2008 sur Nintendo DS reste encore aujourd’hui l’une des rares incursion du genre sur console.
Audacieux mélange d’action et de stratégie, Lock’s Quest ne se contente pas de reprendre l’habituelle mécanique de fortification face à des hordes d’ennemis. Bien qu’au cœur du jeu, cet aspect est complété par une dimension active où le joueur va manier son propre avatar sur le champ de bataille. Lock, « Archi-tech » de son état, va ainsi prendre part au combat et casser de l’envahisseur tout en réparant les bâtiments endommagés. Mais attention à l’excès de confiance, car il faut sans cesse veiller à la barre de vie de notre jeune héros et doser la prise de risque, tout en usant à bon escient des es pouvoirs magiques. Très utiles, ils se déclenchent en fonction de petites manipulations au stylet, accessoire qui va d’ailleurs régir la plupart de vos interactions. Seule la gestion de la caméra s’effectue avec le pavé directionnel, occasionnant ainsi une prise en main déstabilisante mais vite apprivoisée.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, place à la phase de préparation traditionnelle où, dans un laps de temps limité et moyennant finances, remparts et tours de défense variées constitueront votre bastion. Une étape stratégique cruciale tant l’emplacement, le type et les effets de soutien que vous allouerez à vos fortifications détermineront en grande partie le succès la mission. Veillez à garder l’aspect monétaire en tête : la gestion des ressources nécessite en effet un peu de retenue, sous peine de vite se retrouver en galère pour les prochaines missions. En gros, pas besoin de déployer la grande muraille de Chine couplée aux champs de mines Ukrainiens à chaque bataille !
Mais Lock’s Quest n’est pas qu’une succession d’affrontements sauvages, et le titre de 5th Cell propose un scénario plutôt soigné mettant en scène un conflit entre humains et automates pour s’approprier les précieux puits d’hydrocarbure du pays. L’histoire se dévoile tranquillement entre chaque mission par l’intermédiaire de cinématiques et dialogues avec les PNJs, de quoi temporiser un peu et équilibrer le rythme global. En résulte un gameplay complet et efficace, bien qu’un peu répétitif sur la longue. Heureusement, les 15 heures de campagne principale passent très vite et m’ont semblé un investissement bien calibré. A noter la présence d’un mode versus pour défier vos amis, en local ou en ligne.
Techniquement, Lock’s Quest renvoi aux plus belles heures… de la GBA ! De jolis décors 2D et des sprites mignons tout plein garantissent une réalisation sympathique mais peu ambitieuse, à l'image de la DA et du character design. La bande son ne marquera pas davantage son monde, assez générique elle se contente d’accompagner l’action sans réelle plus-value.
Profitant du pavé tactile de la DS, Lock’s Quest s’impose comme un « Tower Defense » complet aux contours soignés. Si tout n’est pas parfait en terme d’ergonomie et de lisibilité à l'écran, on lui pardonne vite ses petites approximations au profit de ses mécaniques addictives et de son scénario accrocheur. Une expérience rafraichissante et fort sympathique.
Sunread26 a dit (30 Août 2023 à 20:33)
https://sunread26.wordpress.com/2023/08/30/two-point-campus/
Etna a dit (30 Août 2023 à 09:47)
Le jeu est bien mais beaucoup trop court... Payer 14€ pour finir le jeu en 1h c'est pas très cool.
Franz26 a dit (29 Août 2023 à 07:42)
Petit Ovni développé par le studio Unfold Games, DarQ surfe sur la « vibe » des titres indépendants horrifiques. S’il s’inspire allégrement d’un Little Nightmares dans son déroulé ou d’un Limbo pour l’aspect visuel, il se démarque néanmoins de la concurrence via des mécaniques de gameplay singulières. Préparez-vous à un périple obscur aussi déstabilisant que dérangeant !
D’entrée, DarQ pose une ambiance visuelle et sonore cauchemardesque. Artistiquement, le titre se positionne comme une œuvre très sombre au style « Burtonien », défilé de décors soignés en scrolling-horizontal, tantôt angoissants, tantôt macabres à souhait. Car le périple de notre avatar longiligne n’a rien d’une promenade champêtre, et si distinguer le vrai du faux ne sera pas toujours évident, le cauchemar vous semblera, lui, bien tangible ! Les différentes monstruosités en présence n’aidant pas à l’hospitalité des lieux… S’ensuit une atmosphère lugubre du plus bel effet, orchestrée par une direction artistique sinistre aux teintes grisâtres et une ambiance sonore de qualité portée par un ensemble de bruitages efficaces.
DarQ est un jeu de réflexion au gameplay minimaliste, pouvant se résumer à une succession de niveaux emplis d’énigmes et d’items à utiliser sur le bon mécanisme. Seulement voilà, deux idées lumineuses vont considérablement éclairer l’expérience ! Tout d’abord, notre avatar peut marcher à la verticale sur les murs et les plafonds, qui pivotent alors en fonction, afin d’explorer toutes les strates de l’environnement. A ce principe peu banal s’ajoute un jeu permanent avec les axes et les perspectives. Ainsi, chaque niveau présente une mécanique originale venant pimenter l’exploration : changement de plan, rotation d’une salle mécanisée, etc… D'où la jaquette ! En résulte un level design de qualité venant cimenter une recette intelligente, qui nécessite un peu d’observation et une bonne dose de logique avant de dévoiler sa conclusion.
Prévoyez 5 à 6 heures de jeu afin de compléter les puzzles de cette « Ultimate Edition », qui rajoute pourtant deux grands niveaux au contenu de base. Un apport non négligeable compte tenu des nouvelles idées développées dans l’extension, pour un ratio durée de vie/prix finalement très honnête malgré un manque de rejouabilité évident.
Brillant de par son univers cauchemardesque et l’intelligence de son level design au service d’un gameplay consciencieux, DarQ cache une profondeur de jeu plus vaste qu’il n’y parait aux premiers abords. Si sa narration visuelle et l’émotion qu’elle véhicule s'avère assez limitée, bien loin de l’empathie véhiculée par un Little Nightmares histoire de le citer à nouveau, le titre d’Unfold Games n’en reste pas moins une œuvre unique très immersive. A savourer dans l’inquiétante obscurité de la nuit.
z0rr0 a dit (25 Août 2023 à 19:19)
Plusieurs fins possibles , j'ai l'impression que
j'ai réussi la pire ^^
Sinon le jeu est beau et le gameplay original