Sunread26 a dit (28 Novembre 2024 à 18:33)
Sunread26 a dit (27 Novembre 2024 à 07:56)
https://sunread26.wordpress.com/2024/11/26/arise-a-simple-story/
dreamerKat a dit (26 Novembre 2024 à 14:59)
Quel chef d'oeuvre qu'est Silent Hill 2 Remake. Mais vraiment... j'ai eu beaucoup de mal à le terminer. D'une part son ambiance incroyablement oppressante, malaisante et malsaine. Et puis son histoire... incroyablement anxiogène, mélancolique, triste... Le gameplay ne révolutionne rien, mais son écriture, son histoire, ses personnages saisissants et son univers dérangeant et unique ont achevé de m'emmener dans les profondeurs abyssales de Silent Hill. Difficile de ne pas finir ce jeu en étant dépressif ou avec une maladie mentale. Mais mon dieu... QUEL JEU !!!
kriswoo a dit (25 Novembre 2024 à 19:04)
J'ai vraiment pris une claque sur ce jeu...
Un petit côté "Witcher", "Assassin's Creed", "Far Cry", mais pas que.... Graphismes sompteux, bon script, Quêtes secondaires variées et intéressantes, bonne durée de vie.... et quelle fin énorme !!!
Mijak a dit (24 Novembre 2024 à 22:19)
Fidèle à son prédécesseur, Trine 5 garde la formule 2,5D (bouh le 3, bouh !), les environnements sont toujours magnifiques et le ton est le même. Le gameplay ne dépayse pas, bref si vous avez aimé la série, n'hésitez pas !
Dreadz23 a dit (24 Novembre 2024 à 16:02)
J'ai abandonné au bout d'une heure. C'est très beau mais c'est aussi d'un ennui mortel, je somnolais avant d'arrêter le jeu ^^' L'univers avait l'air chouette mais l'histoire ne suscite aucun intérêt chez moi.
Dreadz23 a dit (24 Novembre 2024 à 13:39)
C'est mignon mais c'est très basique. Je comprends le message du jeu : on néglige l'importance de la cuisine en famille quand on est enfant et on s'en rend compte souvent tard. C'était chouette de découvrir des recettes indiennes, ça m'a même donné faim. Mais globalement, on s'ennuie. J'ai l'impression d'avoir passé 80% du temps a cliquer juste pour passer les dialogues. Le passage qui m'a le plus blasé, c'est quand le fils écrit des SMS, on ne clique que pour les envoyer T.T Enfin bon, je pense que j'en attendais trop. Je suis contente de l'avoir eu en promo car ça faisait cher pour deux heures de jeu.
Franz26 a dit (24 Novembre 2024 à 09:04)
BIOSHOCK 2 + DLC (17/20)
Bioshock 2 se déroule 8 ans après les évènements relatés dans le premier opus, et les développeurs proposent un changement de point de vue radical : nous voici cette fois dans la peau d’un protecteur ! Dès l’introduction, le sujet Delta tente de défendre sa petite sœur, Eleanor Lamb, face à des hordes de chrosômes. Sofia Lamb, mère de la fillette et obscure psychologue au demeurant, intervient et nous invite au suicide. Conditionné, notre avatar s’exécute sans rechigner, clôturant ainsi ce préambule de manière brutale.
Nouvelle ellipse temporelle ; Delta se réveille miraculeusement en vie 10 ans plus tard, toujours dans la citée sous-marine de Rapture qui sombre lentement mais surement. Notre bourreau contrôle désormais la ville déchue et séquestre l’enfant chéri, devenue adolescente. Débute alors une rédemption sanglante aux airs d’opération de sauvetage désespérée.
Rassurez-vous, cette review ne sera pas aussi complète que la précédente. Non pas que Bioshock 2 ne mérite pas son quota de caractères élogieux, mais simplement parce qu’il se repose largement sur les acquis de son prédécesseur. En soit les titres restent donc fondamentalement similaires, à commencer par le terrain de jeu : l’intrigante ville de Rapture. C’est avec délice que l’on poursuit l’exploration de la citée sous-marine, malfamée et emplie de chrosômes peu enclins au dialogue. L’ambiance et l’immersion se révèlent fidèles à elles-mêmes, malgré un level design un poil plus brouillon, et jouissent d’une direction artistique grandiloquente. Si l’on troque les baptistères par un Tramway antique, le schéma consiste toujours à vous engouffrer dans l’antre du mal tout en perçant de nouveaux mystères.
Malgré votre statut de protecteur la finalité reste identique : réduire à néant les menaces vous barrant la route en utilisant à bon escient armes et plasmides. La gestion de ces derniers se voit légèrement simplifiée afin de ne pas alourdir inutilement l’aspect gestion du jeu, encore une fois prédominant. Car dans Bioshock 2 votre habilité seule ne suffit pas, et il faut veiller à upgrader ses armes, gérer ses munitions, ses objets de soins, s’équiper des fortifiants adaptés à son style de jeu, etc… Rien de bien nouveau, le système a fait ses preuves dans la première itération de la saga.
Une idée de gameplay bien précise apporte toutefois un vrai plus à l’expérience. Comme dans le premier volet, des protecteurs pacifiques (du moins tant que l’on n’ouvre pas le feu sur eux) escortent les petites sœurs dans les couloirs de Rapture. Nous l’avions déjà évoqué, l’intérêt pour le joueur réside dans la dose d’Adam à récupérer malgré le déclenchement d’un affrontement âpre. Un fluide toujours aussi précieux, nécessaire à l’amélioration/acquisition de vos pouvoirs psychiques. La victoire en poche, le choix de sauver la gamine ou d’exploiter son Adam jusqu’à la lie se pose à nouveau. Si vous chérissez la voie du bienfaiteur, la petite vous accompagnera afin récolter davantage d’Adam sur des cadavres atypiques. Durant ce laps de temps, il faut la protéger des vagues de chrosômes attirés par l’opération : le stress monte ainsi crescendo ! Il atteint son paroxysme lorsque, une fois toutes les fillettes du niveau déposées indemnes dans les conduits d’aération, la « grande sœur » arrive en trombe tel un Némésis de l’enfer ! Encore plus menaçantes, ces versions féminines de « Big Daddy », outre le rôle qu’elles jouent dans l’histoire, apportent un vrai sursaut de challenge et d’immersion. A ce propos, je ne comprends toujours pas l’équilibrage des dernières heures de jeu, bien trop riches en munitions et en items curatifs. Je chipote, mais la tension jusqu’alors parfaitement maitrisée en prend un coup.
On passera rapidement sur la technique de ce remaster, qui profite d’un lifting sans grande ambition pour retranscrire au mieux l’incroyable direction artistique de Rapture. Bioshock 2 peut aussi, comme son prédécesseur, s’appuyer sur une ambiance sonore exceptionnelle. A noter un abus de sonorité angoissantes parfois très intrusives, et un doublage VF un ton moins juste. Pas de quoi remettre en question le constat d’ensemble très qualitatif.
Quant à la durée de vie du titre, il faut compter sur le DLC « l’antre de Minerve » pour égaler le contenu de son prédécesseur. Cette quête additionnelle comprise dans la compilation PS4 mérite largement le détour, tant pour son apport scénaristique que pour quelques phases de jeu vraiment marquantes ! Un régal venant prolonger une expérience amendée de plusieurs fins en fonction de votre bienveillance envers les petites filles, mais aussi avec certains PNJs majeurs qui vous l’ont pourtant mise profond.
A travers le scaphandre d’un emblématique protecteur, cette seconde virée sous-marine dans les tréfonds de Rapture prend aux tripes ! Evidemment l’effet de surprise n’y est plus, mais les petits ajouts de gameplay et l’univers vicié du titre justifient amplement l’investissement. Plus orienté action, cette suite s’offre un DLC d’envergure afin de former un tout cohérent ne trahissant point l’œuvre initiale. Véritable confirmation pour 2K Games et sa licence Bioshock, désormais enrichie d’un nouveau chef d’œuvre.
Dreadz23 a dit (21 Novembre 2024 à 15:30)
C'était chouette ce petit jeu ! Ca faisait un moment qu'il était dans ma wishlist et Netflix l'a proposé dans ses jeux gratuits donc nickel :D