Détails

Durée moyenne du jeu

64 h

Date de sortie EUR

20 mai 2020

Résumé / Contenu du jeu

Bioshock : The Collection est une compilation HD des trois premiers épisodes de la série de 2K Games. Retrouvez Rapture et son ambiance atypique dans ces remasters des épisodes Bioshock (2007), Bioshock 2 (2010) et Bioshock Infinite (2013). Profitez également de l’ensemble du contenu additionnel solo et également «Imagining BioShock» les commentaires des concepteurs avec Ken Levine et Shawn Robertson.

Commentaires (3)

  • avatar Franz26
    17 / 20Le 08 Novembre 2024 à 08:22Franz26

    BIOSHOCK (17/20)

    Voilà des années que je n’avais pas touché à un FPS, et encore moins sur console de salon. Mais cette compilation Bioshock me faisait de l’œil depuis longtemps, enthousiasmé par l’incroyable expérience vécue en 2007 avec le premier violet et désireux de découvrir, enfin, la suite de la saga. 15 ans après avoir survécu aux évènements de Rapture sur mon vieux PC, je me lance dans une nouvelle plongée macabre au fond de l’Océan. Un périple unique et remasterisé pour l’occasion.

    Autant évacuer ce point de suite : cette mouture PS4 se contente d’affiner les textures et de proposer un rendu HD convaincant, mais qui ne révolutionne en rien l’expérience visuelle. L’évolution se révèle quand même fort appréciable pour ceux qui, comme moi, ont découvert le premier Bioshock sur leur bon vieil écran cathodique ! L’horreur de Rapture nous apparaît désormais dans toute sa maestria, offrant un spectacle à la fois envoutant et malaisant.

    Revenons à l’origine de notre aventure, qui débute dans les années 60 par le crash d’un avion en plein océan. Seul rescapé émergeant des débris, cerné par les flammes, notre avatar se dirige tant bien que mal vers l’unique repère à l’horizon : un phare, point d’entrée de la citée sous-marine. Le joueur entrevoit ainsi très vite l’architecture unique de Rapture, métropole clandestine construire au lendemain de la seconde guerre mondiale et ayant évoluée en complète autarcie, dans un contexte de guerre froide anxiogène. Ce rêve de société utopique a pris fin lorsque la science, débridée de toute censure, s’est tournée librement vers la psyché et les modifications génétiques. Une orientation malsaine qui finit par conduire la population à la guerre civile. En cause : la prolifération des plasmides (pouvoirs psychiques), ayant rendus les survivants complément fous et accrocs à une drogue mentale : l’Adam. Dès les premières minutes l’absurdité (et l’insécurité !) des lieux saute aux yeux, mais un dénommé Atlas vous prend sous son aile et sollicite votre aide afin de sortir sa famille de cet enfer sordide dominé par les « chrosômes ». Pour cela, il faut mettre fin à la folie autodestructrice du fondateur des lieux : le mégalomane milliardaire Andrew Rayan, retranché en plein cœur de la citée.

    Voilà pour le contexte, peu banal vous en conviendrez ! Mais il est nécessaire de s’attarder encore un peu sur la ville de Rapture tant la cité imaginée par les games designers de 2K Games occupe une place centrale dans l’aventure. Métropole industrielle à forte consonance Dieselpunk, Rapture captive, hypnotise même, et peut se définir à bien des égards comme l’actrice principale. Véritable tour de force artistique, Bioshock nous laisse découvrir son histoire par le biais d’une narration environnementale très prononcée et en avance sur son temps. Journaux audio et éléments de décors permettent ainsi d’imaginer la ville « rétro-futuriste » à son apogée, tout en tirant de nombreuses conclusions quant au régime totalitaire et aux dérives ayant conduit à la déchéance des lieux.

    L’ambiance incroyable de la métropole, digne des plus grands survival-horror, parachève l’immersion. Car la folie ambiante devient vite contagieuse et le danger peut survenir à tout moment ! Heureusement, nous ne sommes pas démunis face à la menace. FPS oblige, Jack se procurera tout un petit arsenal mortel : de la clé à molette en passant par le traditionnel fusil à pompe, de la mitraillette au lance-grenades, sans oublier l’arbalète ou le Colt, ce ne sont pas les possibilités de se défendre qui manquent ! D’autant que chaque arme bénéficie de deux améliorations potentielles ainsi que de différents types de munitions, plus ou moins efficaces selon l’ennemi.

    Outre les armes dites « classiques », impossible de faire l’impasse sur la spécialité maison : les fameuses plasmides ! Votre avatar va ainsi s’injecter un maximum de fortifiants dans les veines afin de profiter de différents pouvoirs psychiques. Ceux-ci peuvent se matérialiser sous la forme d’un bonus statique (résistance améliorée, soins boostés, furtivité accrue, etc…) ou de pouvoirs offensifs. Arc électrique, incinération, ou télékinésie pour les moins originaux (je vous laisse le plaisir de la découverte), vont booster votre force de frappe et s’utiliser en complément de votre arme, tenue elle dans la main droite. Concrètement, les quatre gâchettes du pad vont gérer simultanément vos plasmides offensives et vos armes conventionnelles. De quoi expérimenter à loisir et varier votre façon de tuer les chrosômes.

    L’abondance de plasmides et les nombreuses ressources du jeu nécessitent toutefois une micro-gestion peu commune. Moyennant dollars ou Adam, les différents types de distributeurs permettent de faire le plein en objets curatifs, minutions ou plasmides, mais aussi d’augmenter le nombre vos emplacements à fortifiants, ainsi que la taille de votre jauge de soin et de psyché par exemple. L’exploration se veut ici récompensée, et le level design de la cité pousse le joueur à vagabonder dans ses rues malfamées en quête d’objets utiles. Ajoutez un principe de piratage manuel via un mini-jeu de rapidité/réflexion, histoire de venir à bout de portes et coffres-forts mais également de détourner la fonction principale des automates/tourelles de défense, pour obtenir un gameplay étonnement profond empruntant de nombreux éléments au RPG. Si de nos jours cet aspect est devenu monnaie courante, les petits gars de chez 2K Games ont certainement contribué à la démocratisation du procédé.

    Maintenant que nous avons amplement exposé l’univers et le gameplay du titre, je me dois de revenir sur le bestiaire si particulier de Bioshock. Les chrosômes se matérialisent sous la forme d’humains plus ou moins fous, et plus ou moins décharnés ! Mais la vraie star du casting se présente sous les trais d’un mastodonte de métal appelé « le protecteur ». Ces colosses errent dans les dédalles de Rapture, souvent accompagnés d’une fillette à la recherche, elle, d’Adam à prélever sur les cadavres. « Big Daddy » et la « petite sœur », des figures devenues iconiques et qui apportent un sel particulier à l’univers de Bioshock. D’un point de vue ludique déjà, le joueur a le choix d’ouvrir ou non les hostilités face à un ennemi retord, qui coute généralement cher en munitions et en trousses de soins ! Ensuite, une décision morale s’impose : sauver la petite sœur et se contenter d’une faible dose d’Adam, ou absorber son fluide jusqu’à la lie. Un acte loin d‘être anodin, influant sur les dialogues et la fin du jeu.

    Sans transition, la bande son use abondamment de sonorités des années 60 via des musiques rétro typées jazz/rock aux airs enjoués, contrastant complètement avec l’ambiance lugubre de Rapture et accentuant ainsi le malaise général. Des thèmes mélancoliques, sombres voir angoissants savent aussi prendre le relai pour mieux véhiculer l’émotion souhaitée, qui transite également par des bruitages et des voix françaises de grande qualité. En effet, le doublage reste parfaitement dans le ton et les râles d’agressivité ou d’agonie des chrosômes se révèlent carrément délectables ! Un rendu sonore exceptionnel sublimant l’atmosphère du titre, et par causalité l’immersion globale.

    Bien que le FPS solo ne soit pas du tout mon genre de prédilection, d’où cette note encore perfectible malgré un florilège d’éloges, l’univers et la direction artistique de Bioshock m’ont littéralement envouté. Une œuvre magistrale, soutenue par une histoire prenante et un gameplay complet. Les 15 à 20 heures nécessaires pour boucler le périple passent à une vitesse folle, et c’est éreinté que l’on retrouve la lumière du jour. Laissant derrière nous le mystère et les horreurs de Rapture.

    Version Playstation 4 55 h de jeu
  • avatar Franz26
    17 / 20Le 24 Novembre 2024 à 09:04Franz26

    BIOSHOCK 2 + DLC (17/20)

    Bioshock 2 se déroule 8 ans après les évènements relatés dans le premier opus, et les développeurs proposent un changement de point de vue radical : nous voici cette fois dans la peau d’un protecteur ! Dès l’introduction, le sujet Delta tente de défendre sa petite sœur, Eleanor Lamb, face à des hordes de chrosômes. Sofia Lamb, mère de la fillette et obscure psychologue au demeurant, intervient et nous invite au suicide. Conditionné, notre avatar s’exécute sans rechigner, clôturant ainsi ce préambule de manière brutale.

    Nouvelle ellipse temporelle ; Delta se réveille miraculeusement en vie 10 ans plus tard, toujours dans la citée sous-marine de Rapture qui sombre lentement mais surement. Notre bourreau contrôle désormais la ville déchue et séquestre l’enfant chéri, devenue adolescente. Débute alors une rédemption sanglante aux airs d’opération de sauvetage désespérée.

    Rassurez-vous, cette review ne sera pas aussi complète que la précédente. Non pas que Bioshock 2 ne mérite pas son quota de caractères élogieux, mais simplement parce qu’il se repose largement sur les acquis de son prédécesseur. En soit les titres restent donc fondamentalement similaires, à commencer par le terrain de jeu : l’intrigante ville de Rapture. C’est avec délice que l’on poursuit l’exploration de la citée sous-marine, malfamée et emplie de chrosômes peu enclins au dialogue. L’ambiance et l’immersion se révèlent fidèles à elles-mêmes, malgré un level design un poil plus brouillon, et jouissent d’une direction artistique grandiloquente. Si l’on troque les baptistères par un Tramway antique, le schéma consiste toujours à vous engouffrer dans l’antre du mal tout en perçant de nouveaux mystères.

    Malgré votre statut de protecteur la finalité reste identique : réduire à néant les menaces vous barrant la route en utilisant à bon escient armes et plasmides. La gestion de ces derniers se voit légèrement simplifiée afin de ne pas alourdir inutilement l’aspect gestion du jeu, encore une fois prédominant. Car dans Bioshock 2 votre habilité seule ne suffit pas, et il faut veiller à upgrader ses armes, gérer ses munitions, ses objets de soins, s’équiper des fortifiants adaptés à son style de jeu, etc… Rien de bien nouveau, le système a fait ses preuves dans la première itération de la saga.

    Une idée de gameplay bien précise apporte toutefois un vrai plus à l’expérience. Comme dans le premier volet, des protecteurs pacifiques (du moins tant que l’on n’ouvre pas le feu sur eux) escortent les petites sœurs dans les couloirs de Rapture. Nous l’avions déjà évoqué, l’intérêt pour le joueur réside dans la dose d’Adam à récupérer malgré le déclenchement d’un affrontement âpre. Un fluide toujours aussi précieux, nécessaire à l’amélioration/acquisition de vos pouvoirs psychiques. La victoire en poche, le choix de sauver la gamine ou d’exploiter son Adam jusqu’à la lie se pose à nouveau. Si vous chérissez la voie du bienfaiteur, la petite vous accompagnera afin récolter davantage d’Adam sur des cadavres atypiques. Durant ce laps de temps, il faut la protéger des vagues de chrosômes attirés par l’opération : le stress monte ainsi crescendo ! Il atteint son paroxysme lorsque, une fois toutes les fillettes du niveau déposées indemnes dans les conduits d’aération, la « grande sœur » arrive en trombe tel un Némésis de l’enfer ! Encore plus menaçantes, ces versions féminines de « Big Daddy », outre le rôle qu’elles jouent dans l’histoire, apportent un vrai sursaut de challenge et d’immersion. A ce propos, je ne comprends toujours pas l’équilibrage des dernières heures de jeu, bien trop riches en munitions et en items curatifs. Je chipote, mais la tension jusqu’alors parfaitement maitrisée en prend un coup.

    On passera rapidement sur la technique de ce remaster, qui profite d’un lifting sans grande ambition pour retranscrire au mieux l’incroyable direction artistique de Rapture. Bioshock 2 peut aussi, comme son prédécesseur, s’appuyer sur une ambiance sonore exceptionnelle. A noter un abus de sonorité angoissantes parfois très intrusives, et un doublage VF un ton moins juste. Pas de quoi remettre en question le constat d’ensemble très qualitatif.

    Quant à la durée de vie du titre, il faut compter sur le DLC « l’antre de Minerve » pour égaler le contenu de son prédécesseur. Cette quête additionnelle comprise dans la compilation PS4 mérite largement le détour, tant pour son apport scénaristique que pour quelques phases de jeu vraiment marquantes ! Un régal venant prolonger une expérience amendée de plusieurs fins en fonction de votre bienveillance envers les petites filles, mais aussi avec certains PNJs majeurs qui vous l’ont pourtant mise profond.

    A travers le scaphandre d’un emblématique protecteur, cette seconde virée sous-marine dans les tréfonds de Rapture prend aux tripes ! Evidemment l’effet de surprise n’y est plus, mais les petits ajouts de gameplay et l’univers vicié du titre justifient amplement l’investissement. Plus orienté action, cette suite s’offre un DLC d’envergure afin de former un tout cohérent ne trahissant point l’œuvre initiale. Véritable confirmation pour 2K Games et sa licence Bioshock, désormais enrichie d’un nouveau chef d’œuvre.

    Version Playstation 4 55 h de jeu
  • avatar Franz26
    17 / 20Le 25 Décembre 2024 à 09:28Franz26

    BIOSHOCK INFINITE + DLCs (16/20)

    Après deux opus à déambuler dans les couloirs poisseux et obscurs de Rapture, voici qu’Irrationnal Games nous invite à un voyage aérien en plein cœur de la citée utopique de Colombia. Un changement de cadre radical finalement peu déstabilisant, car ce nouveau périple dans les nuages comporte son lot de folie… et d’hémoglobine !

    Devant ce panorama idyllique et majestueux, vos premiers pas dans la métropole flottante vont pourtant vous couper le souffle ! En incarnant Booker Dewitt, énigmatique individu à la mémoire défaillante, vous acceptez de partir délivrer une dénommée Elizabeth afin de la ramener à New York, et ce malgré le flou total autour de vos commanditaires. Une entrée en matière qui débute avec un phare isolé en pleine mer, coïncidence toute sauf fortuite évidemment, pour finir par votre envolée au ciel dans un engin peu banal. Et voilà que se dévoile Colombia, somptueuse citée flottante à l’ambiance chaleureuse et réfléchissant de mille feux la lumière du soleil. Gouvernée par le père Zackary Comstock, fondateur vénéré à l’aura quasi divine, la ville devient vite hostile : il va falloir survivre à cette quête ambiguë et dévoiler les dessous de Colombia, loin d’être aussi reluisants qu’ils n’y paraissent.

    Bon, on ne va pas polémiquer des heures sur le synopsis qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque. Critique évidente du racisme et du totalitarisme, l’histoire relie les points avec le premier opus et nous sert une soupe de failles dimensionnelles assaisonnée de voyages temporels assez « mindfuck ». Toujours via une narration environnementale poussée s’appuyant sur des éléments de décors et de nombreux journaux audio, Colombia dévoile progressivement sa richesse et ses mystères. Un univers exceptionnel, théâtre d’un périple torturé aux multiples rebondissements, qui finiront par faire voler en éclats cette dystopie malsaine. Une narration soignée, portée avec brio par la relation complexe entretenue entre les deux protagonistes principaux.

    Bioshock Infinite accouche également d’un gameplay beaucoup plus nerveux, tourné vers l’action. De ce fait, Dewitt ne peut transporter que deux armes simultanément et doit donc sans cesse se servir sur les cadavres ennemis pour ne pas tomber en rade de munitions. Et ce parfois en pleine bataille, alors que les balles fusent dans tous les sens ! Les plasmides (toniques) sont encore de la partie, mais leur utilité, tant ludique de scénaristique, passe désormais au second plan malgré une originalité débordante. Avec des zones beaucoup plus larges et ouvertes, bien que linéaires, la discrétion reste optionnelle et les « gunfigths » massifs sont légions ! En parlant d’adversité, le bestiaire se décompose désormais de soldats ou de bandits armés, mais aussi d’automates mécanisés beaucoup plus menaçants.

    L’aspect gestion a été édulcoré, et si le crafting permet encore de dénicher munitions et dollars pour upgrader armes et plasmides, terminé la gestion des trousses de soins et des fortifiants. Désormais des fioles bien cachées permettent d’upgrader au choix la santé, le bouclier ou la jauge de psyché. Enfin, les packs d’équipement confèrent différents bonus fort utiles afin d’améliorer vos compétences au combat. La coopération avec Elizabeth n’offre guère d’interaction, même si la capacité de la jeune fille à crocheter tout type de serrures et à matérialiser des objets interdimensionnels se révèle bien utile. Au rayon des nouveautés on notera aussi l’immense réseau de rails permettant de se déplacer d’un ilot flottant à l’autre grâce à une prothèse mécanique. Outre rider à toute vitesse sur ces voies interconnectées, votre outil permet aussi de prendre de la hauteur afin d’observer tranquillement la situation ou accéder à des recoins secrets.

    L’exploration, d’ailleurs, n’est pas aussi immersive que dans les précédents opus. Exit l’oppression et la sensation de confinement, les couloirs poisseux et les Chrosômes détraqués ! Même dans ses bas-fonds les plus délabrés, la citée propose une ambiance différente laissant l’horreur 20 milles lieux sous les mers. A ce propos, on saluera la qualité des deux DLCs qui nous renvoient dans les profondeurs de Rapture. Si le premier se révèle complètement dispensable, le second nous place aux commandes d’Elizabeth, plus vulnérable que jamais et devant se montrer discrète afin d’éviter les combats frontaux, à votre désavantage. La fébrilité de la demoiselle et la rareté des munitions nous oblige à jouer les Solid Snake, en abusant lâchement de l’arbalète tranquillisante et du plasmide d’invisibilité ! Un petit régal, aux sensations finalement très proches d’un « survival-horror ».

    Fin de l’aparté. La réalisation de Bioshock Infinite conserve tout son charme, même si ce dernier repose davantage sur une incroyable direction artistique que sur la technique pure. La mise en scène assure le spectacle, et il n’est pas rare de s’octroyer quelques pauses pour apprécier le panorama ou l’architecture démesurée de Colombia. Sans transition, le doublage VF reste encore une fois de grande qualité et les thèmes d’ambiance transcendent… bah l’ambiance ! Avec encore et toujours ce décalage remarquable entre les propos tenus et l’étrange gaieté des mélodies.

    Bien que l’histoire soit un peu courte, moins de 15h sans les DLC, Bioshock Infinite renouvelle avec brio l’expérience en proposant un terrain de jeu à l’opposé des environnements insalubres et claustrophobiques de Rapture. La folie n’en est pas moins prédominante à Colombia, et quiconque se plongera dans l’aventure n’en ressortira pas indemne ! Malgré quelques points critiquables, Bioshock Infinite clôture magistralement cette franchise mythique, figurant parmi les plus marquantes de ces dernières années.

    Version Playstation 4 55 h de jeu
  • Pour poster un message, il faut être inscrit sur SerieBox

4 membres ont terminé le jeu

Communauté Seriebox

1 membre y a joué

Communauté Seriebox

  • avatar Mathur1

1 membre y joue actuellement

Communauté Seriebox

  • avatar Thecatlady

2 membres veulent y jouer

Communauté Seriebox

  • avatar SakuraSIrius
  • avatar JarodG64

Des jeux dans le même genre

Liste de jeux aléatoires dans le genre RPG ou Action sur Nintendo Switch

Merci à JarodG64 qui a créé cette fiche