Les niveaux sont liés à votre temps total.
Niveau | Temps de visionnage : |
---|---|
Amateur | 0 à 3 jours |
Débutant | 3 jours à 1 semaine |
Professionnel | 1 semaine à 1 mois |
Mini-geek | 1 à 2 mois |
Geek puissance 2 | 2 à 3 mois |
Geek puissance 3 | 3 à 4 mois |
Geek puissance 4 | 4 à 5 mois |
Geek puissance 5 | 5 à 6 mois |
Geek puissance 6 | 6 à 7 mois |
Geek puissance 7 | 7 à 8 mois |
Geek puissance 8 | 8 à 9 mois |
Geek puissance 9 | 9 à 10 mois |
Geek puissance 10 | 10 à 11 mois |
Geek puissance 11 | 11 mois à 1 an |
Super Geek | 1 à 2 ans |
Geek God | Supérieur à 2 ans |
Temps de jeu : 0 an 0 mois 0 jour 0 heure 0 minute
Rubylafee a dit (19 Décembre 2024 à 17:17)
Le SEUL personnage sympathique dans ce jeu, c'est Moses (^_^) <3 !
Franz26 a dit (19 Décembre 2024 à 07:44)
30 ans déjà que Warcraft est venu révolutionner le monde du jeu de stratégie en temps réel sur micro-ordinateur. Nous sommes en 1994, et cette première itération de la saga intitulée « Orcs et Humains » va conquérir le cœur de millions de joueurs. Si à l’évocation de ce nom les plus jeunes penseront d’abord au MMORPG culte, la licence Warcraft se décompose avant tout en trois RTS grandioses inscrits au panthéon du jeu vidéo. Et à l’occasion de cet anniversaire symbolique, Blizzard annonce une « remasterisation » des deux premiers opus et une mise à jour majeure de Warcraft III : Reforged. Noël avant l’heure mes amis !
Fan inconditionnel de la licence, il n’en fallait pas plus pour me faire passer à la caisse. Jalousant à l’époque les possesseurs de PC, j’avais dû me contenter d’explorer les terres d’Azeroth via la conversation du pauvre de Warcraft II sur Playstation. Preuve de mon attrait déjà prononcé pour le RTS et la saga de Blizzard ! Quelques années plus tard j’ai pu me rattraper avec une configuration clavier/souris bien plus adéquate, grâce à l’édition « Battle Net » incluant l’add-on Tides of Darkness. En revanche, l’austérité du premier opus m’avait toujours rebuté et j’en gardais un souvenir archaïque matérialisé par une interface intrusive et des mécaniques beaucoup trop vieillissantes.
Cette mouture moderne vient donc rabattre les cartes et offrir une seconde jeunesse au père fondateur. Techniquement tout d’abord, la refonte 2D des environnements, des sprites et des bâtiments jouit d’un affichage haute définition. Un résultat impeccable qui respecte le rendu originel, d’ailleurs affichable à tout moment dans les options afin de constater le bon réalisé ou titiller les plus nostalgique d’entre vous. L’interface reprend quant à elle les bases du second opus, se voulant ainsi beaucoup plus digestes à l’écran.
Impossible alors de ne pas souligner l’excellence artistique du jeu, tirant profit du design de chaque bâtiment et unité pour nous happer dans son monde « Dark Fantaisiste » hyper immersif. Une ambiance sombre, pesante et teintée de magie noire, laissant entrevoir un background riche qui se perfectionnera par la suite. Un mérite également attribué à la bande son, retravaillée pour l’occasion et offrant déjà des thèmes géniaux couplés à un doublage VO qualitatif. Là aussi, simple esquisse en prévision de l’orgasme auditif que provoqueront Warcraft II et III. Mais quel brouillon !
Balbutiements du Wargame oblige, les missions consistent le plus souvent, après un briefing sur écran fixe, à accumuler du bois et de l’or afin de construire une base digne de ce nom, avant d’annihiler progressivement les bastions ennemis en envoyant quelques vagues offensives bien senties. Des campagnes « d’escouades » cassent un peu la monotonie, mais la progression s’avère inévitablement redondante. Toutefois, et malgré leur nombre restreint, chaque unité a son utilité : du soldat bon marché en passant par les arquebusiers, cavaliers, catapultes ou magiciens, ils ont tous un rôle à remplir. Les sorciers/mages restent d’ailleurs les unités les plus intéressantes et peuvent apprendre différents sorts selon la faction choisie. Si la loi du nombre prédomine, la dimension tactique n’est pas neutre, loin de là, et votre habileté à positionner vos hommes intelligemment et à un emplacement stratégique se révèlera vite indispensable. Malheureusement l’IA catastrophique, enfin d’époque dirons-nous, contrebalance aisément cet aspect. Dommage… Sans transition, notez l’apparition de mécaniques basiques mais encore inexploitées à l’époque, telle que la possibilité de sélectionner au curseur tout un bataillon d’unités : le béaba. Pour le reste, pas de révolution.
Une quinzaine d’heures suffisent pour venir à bout des deux campagnes, mais il serait injuste de juger la durée de vie du titre sur ce seul aspect tant les parties en réseau local ont fédéré des millions de joueurs dans les années 90 ! Un dépoussiérage respectable à destination des fans, qui se replongeront dedans avec une allégresse sans pareille. Néanmoins, ce remaster ne s’émancipe pas totalement du poids des années et, à l’heure de lui apposer un verdict impartial, me voici bien embêté ! Entre son intérêt intrinsèque aujourd’hui assez limité et ce tout qu’il représente pour l’histoire du jeu vidéo, je vais opter pour un entre-deux objectif très satisfaisant, loin de faire honneur à l’aura mythique de ce monument du genre.
z0rr0 a dit (17 Décembre 2024 à 18:52)
Gameplay affreux et pas fait pour moi , desinstallé au bout de 30mn , point positif jeu gratuit d' Epic Games