Depuis qu'elle s'est opposée au Magicien d'Oz, Elphaba est surnommée la Méchante sorcière de l'Ouest par la population du Pays d'Oz qui pense qu'elle est maléfique. De son côté, Glinda est devenu la figure populaire du régime du Magicien et est surnommée la Bonne Glinda, tandis que Fiyero devient le capitaine de la garde du Magicien, bien qu'il doute encore de la culpabilité d'Elphaba.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Je l'ai personnellement trouvé moins marquant que la première partie bien que les thèmes abordés soient plus sérieux. Aucune chanson ne m'a marqué également... Je sais pas, il manque quelque chose
C’est toujours aussi moche, aussi niais et insupportable que l’horreur qui l’a précédé.
Mon avis est l'exact opposé de celui d'Etna : j'ai largement préféré ce deuxième opus, beaucoup plus impactant émotionnellement que le premier, du moins selon moi. J'ai trouvé les personnages mieux écrits, moins caricaturaux.
Je sais pas si c'est le fait de l'avoir regardé sur grand écran qui change tout, mais je suis encore bouleversée par ce film !
J'ai adoré l'évolution de Glinda, qui est bien amenée (à l'inverse d'Elphaba, qui change de mood tous les quatre matins). Ariana Grande m'a éblouie sur sa prestation ! Là où Cynthia Erivo avait donné énormément de carrure au premier film, c'est Ariana Grande qui porte cette suite. Ca crée un dyptique équilibré.
L'amitié entre les filles, c'est probablement l'aspect qui m'a le plus séduite, et ce qui manquait beaucoup dans le premier.
Leur relation est vraiment belle et touchante, tout en complexité et contradiction. Il y a des dialogues qui m'ont fait pleurer premier degré ! Les actrices ont vraiment une alchimie platonique qui transperce l'écran, et je pensais pas dire ça un jour mdrrr.
Les références au Magicien d'Oz, avec le caméo de Dorothée et Toto, j'ai adoré aussi. J'ai apprécié que l'on ne montre pas le visage de Dorothée, ça casserait le côté culte du film originel. Les explications sur d'autres éléments du lore m'ont beaucoup plu aussi. (Bémol pour l'homme de paille : la timeline n'est pas cohérente. Ceux qui verront le films sauront pourquoi.)
Les chansons, effectivement, ne sont pas mon aspect préféré du film (mais c'était déjà le cas pour le premier). Il y en a quand même quelques unes que j'ai trouvées bien interprétées au regard du développement des personnages.
Mon gros bémol en revanche, c'est la fin, que je trouve VRAIMENT facile pour le coup et pas très satisfaisante.
Mais j'ai quand même adoré !
J'aime l'idée qu'on puisse mesurer la qualité d'une comédie musicale grâce à celle de ses chansons. Ca fait moins de 24h que j'ai vu le film et impossible de me souvenir d'une seule mélodie qui n'était pas présente dans le 1er volet.
L'histoire globale reste plaisante et plutôt intelligente, mais il y a une forme d'obligation à la lier au Magicien d'Oz d'une manière un poil poussive.
J’ai aimé l’univers, la magie, les musiques et surtout les messages.
Le film dénonce super bien la manipulation politique, la propagande, le rejet de la différence… et même le fascisme déguisé sous la peur.
Là-dessus, c’est réussi, fort, et totalement dans la continuité du premier film.
Par contre… qu’est-ce que c’était long.
Le rythme traîne, certaines scènes s’étirent inutilement, et je me suis ennuyée alors que j’aimais vraiment tout ce que le film raconte.
J’avais beaucoup aimé le premier, mais celui-ci m’a perdue à cause de sa durée.
Je suis bien embêté parce que je suis un grand défenseur des comédies musicales... ^^'
Mais j'ai le sentiment que tout ce qui était bien a été mis dans la première moitié, et là, purée... ce fut vide, je suis bien obligé de le reconnaître.
Rien de nouveau : pas d'action, pas de développement, presque pas de rebondissements... et les différentes intrigues ont trouvé une conclusion assez maladroite. Je me dis que sans connaître la comédie musicale d'origine, je n'aurais sans doute pas compris où voulait en venir le film. :/ Bref, déçu et frustré. Si c'était pour faire ça, il aurait mieux valu tout faire tenir en un seul film, et condenser la fin.
En plus, je l'ai vu en VF, parce que pas assez de séances VO dans mon cinéma, ce qui n'a sans doute pas aidé. Mince... ^^'
Alors que le premier volet reste, jusqu’à ce jour, ma plus belle expérience cinématographique de l’année dernière ; le second marque ma plus grande déception de celle-ci, touchant à sa fin. Je peine encore à le réaliser…
L’innocence, la sincérité et surtout la puissance émotionnelle qui caractérise Wicked pardonnaient ses quelques maladresses. Pourquoi ? Parce qu'il a atteint son objectif ; celui de nous offrir un véritable conte empli d’amour, de rêves et d’espoir. Toutefois, Wicked: For Good, lui, devait être la suite levant le voile du merveilleux révélant la dure réalité de ce monde et la tragédie inévitable qu'allait encourir nos chers personnages. Cette promesse-ci, a-t-elle été tenue ? Pas vraiment, en fait pas du tout.
Le film n’a ni "début", ni "fin" ; seulement des instants volés. Certains, très longs, tandis que d’autres, sont trop courts… À chaque fois qu’une scène commençait à poser le doigt sur quelque chose d’intéressant, la suivante commençait aussitôt. Ainsi, les instants graves et bien amenés, dans leur intensité, finissaient eux aussi par tomber à plat. Toutes les trames sont sous-exploitées ou terriblement mal écrites, essayant de justifier tant bien que mal les choix insensés des personnages menant à cette fin. Tout cela ne m'a conduit qu'à une conclusion simple en quittant la salle : l'histoire n'a finalement aucun sens...
Sérieusement, quelle est la leçon de Wicked ? Que doit-on retenir de cette fable ? À quoi bon toutes les larmes qui ont été versées ? Ma séance date de 3 jours et je me pose toujours la question. La plus grosse erreur commise, à mon sens, a été celle de ne pas avoir clairement assumé les actions des personnages. En plaçant certains en martyrs, jusqu’au bout, tout en peignant les autres comme d'éternelles victimes du sort qu'ils ont choisi. En refusant d'appuyer clairement sur la méchanceté des actions qu’ils ont commises, la morale devient alors sacrément douteuse.
Oui, je parle bien des personnages d’Elphaba et de Glinda. Ari et Cynthia, offrant à nouveau des performances bouleversantes, méritent toutes les fleurs du monde pour avoir accompli cet exploit ; au vu du massacre que subît l'écriture de leurs personnages respectifs. Alors que dans le premier, les héroïnes hautes en couleurs étaient aussi crédibles que nuancées, ici, elles sont devenues, au fil du long métrage, des simplettes à la psychologie et aux discours complètement incohérents.
Mais ce n’est pas tout, quand est-il des animaux ? Le peuple d’Oz et sa politique ? Ont-ils appris quoi que ce soit ? Toute cette partie est passée complètement à la trappe. Si on m’avait dit qu’en sortant de cette séance, j’aurais été plus satisfaite par le traitement de l’homme de fer que celui de n’importe quel autre personnage… Mais le plus impardonnable est sans aucun doute cette fin. Je ne vais même pas m’attarder dessus, auquel cas je vais écrire trois paragraphes de plus… Je suis simplement peinée que jusqu’au bout, Wicked: For Good a choisi la voie de la facilité ; détruisant tout ce qui a été accompli.