À 15 ans, Oliver Tate a deux gros problèmes : il rêve de coucher avec sa petite amie et sa mère est en train de se laisser séduire par un gourou. Pour empêcher le pire et réussir le meilleur, Oliver n’a que deux atouts : un vocabulaire incroyablement riche et une immense confiance en lui…
Adapté du livre Submarine de Joe Dunthorne
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Superbe photo et réalisation, très bons acteurs... Le genre de films un peu bizarres pendant lequel on ne voit pas le temps passer !
Weiiiird :D Mais sympa, et super BO !
Entièrement d'accord avec vous, cette comédie est vraiment très originale ! Craig Robert est très charismatique, avec des répliques et des façons de penser assez marrantes, voire déroutantes ^^. Un petit film que je vous conseille, on ne s'ennuie absolument pas !
Simple, doux, réaliste, vraiment très touchant. Mais une fin un peu trop joyeuse à mon goût !
Je rajoute un +1 a tout le monde. La photo est superbe, mais faut pas oublier la BO, la voix et le style de Turner collent parfaitement avec l'ambiance du film
Une heureuse surprise, que ce petit film, qui distille à l'envie moult folies douces : cadrages délirants, scenarii rocambolesques, dialogues percutants. Pas un grand film, non, mais j'ai apprécié cependant l'essai...
On ne va pas cracher dans la soupe : la première demi heure est d'une inventivité assez exaltante avec l'édification d'un univers bordélique où s'entrechoquent les fondus colorés, les éclairages fades, les pensées colorés et froides qui dégueulent sur l'écran, la stabilité des plans qui est déstabiliser par des mouvements amples, le montage vif et de l'humour mélangé au drame. Ensuite, l'histoire a un goût de déjà-vu, bien qu'elle reste inventive et concluante, notamment par l'entrée dépressive dans la caractérisation des personnages, comme son père, plus attachant et profond qu'aux premiers abords.
Là où le film excelle, c'est lorsque la gêne évidente se mélange à l'ironie (la scène du dîner où tout le monde s'embrasse au second plan tandis qu'Oliver est embarrassé à table). D'ailleurs, ce gamin a quelques ressemblances avec le Harold de Hal Ashby. En somme, un excellent divertissement qui laisse pas tant de place que ça à son spectateur.