Le film Nerawareta Gakuen est une adaptation anime du roman du même nom écrit par Mayumura Taku, paru en 1973.
Ryoichi Kyogoku, un jeune garçon qui vient de rejoindre le lycée de Kamakura, possède un pouvoir exceptionnel. En effet, ce garçon est un télépathe et est capable de contrôler les gens. Il va utiliser ce pouvoir pour accomplir son but, prendre le contrôle de l'école.
Tout se passait parfaitement bien, Ryoichi réussissait à contrôler tous les élèves qui lui barraient la route. Jusqu'à ce qu'il croise Kenji Seki, un autre élève qui soit apparemment le seul capable de lui résister. Ryoichi va alors tenter de se débarrasser de lui alors que Kenji va faire de son mieux pour ramener tous ces camarades à la raison.
source : nautiljon
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C'est très lent, long, inutilement beau tout le temps mais sans vraiment avoir une histoire prenante ; vers la fin on comprend de moins en moins, il se passe des choses auxquelles on n'arrive pas à rattacher de sens, bref... le synopsis est trompeur ; il s'agit là surtout d'une histoire d'amours et de sentiments sur un fond de SF space et cryptique. Il n'y a pas d'histoire de contrôle, et la télépathie est très peu présente, juste une idée, une habilité sous-jacente, mais jamais montrée, ni rien. Ce côté de l'histoire n'est pas du tout le centre du film.
Très bof donc, je n'aime pas trop les histoires qui font dans le joli sans se soucier d'être compréhensibles.
Très beau film, pour être beau il est super beau oui. Les couleurs et les graphismes, on en prend plein les yeux. Mais c'est dommage que la totalité du budget n'est servi qu'au fond et non à l'histoire. Plus le film avance et plus l'intrigue nous paraît flou. Une fin qui d'ailleurs résume bien l'intrigue plus qu'étrange qu'à ce film. L'histoire est basé sur l'amour des personnages qui est le centre de tout le film. Il y a pourtant un fond d'intrigue intéressant avec le thème de la communication mais très mal amené.
Les graphismes sont magnifiques mais je me demande bien quel était l'objectif de ce film. L'histoire cherche à avoir une certaine poésie, peut-être trop car c'est à ne rien y comprendre. Dommage.