Depuis l'invention du cinéma, New York n'a jamais cessé de fasciner les cinéastes, qui y puisent d'infinies émotions dans des décors aussi spectaculaires qu'uniques. Des gratte-ciel miroitants aux parcs et aux rues qui sont comme autant de mondes, la ville a été immortalisée dans des milliers de films à travers des centaines d'atmosphères différentes. (Source : Allociné)
Rôle principal
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Merci à gon17 qui a créé cette fiche
que c'est plaisant d'être telle une petite souris... un oeil sur la vie, des autres... ailleurs...
Une grosse déception par rapport au sublime Paris, je t'aime !
Et voilà comment faire un remake d'un film intéressant, mais en beaucoup moins bien. Paris, je t'aime possédait du charme, avec la présentation de nombreux lieux, situations, personnages charismatiques, etc. Tout le contraire se produit ici, on s'ennuie au fur et à mesure des courts-métrages (certains tout de même moins mauvais), c'est fade. Et puis surtout, c'est ça New York ? Parce que franchement, on voit rien de spécial à cette ville, je m'attendais à ce que les réalisateurs dépeignent cette ville, eh bien absolument pas... A éviter.
Peut-être un poil moins bon que Paris Je T'aime au niveau des scénarios de toutes ces petites histoires, mais j'ai trouvé que visuellement c'était bien plus propre.
Et puis bon on dira ce qu'on voudra, mais New York et Paris n'ont pas le même charme au cinéma, et notre bonne vieille capitale est tout de même moins glauque et plus sincère.
A voir quand même, certaines histoires valent le détour :) Et puis à part dans Star Wars, on a plus revu Hayden Christensen (qui finalement n'est pas un mauvais acteur) et Natalie Portman sur la même affiche.
Dans Paris je t'aime, on avait des français et des anglais. Dans New York I love you, on n'a que des anglais. Désolé de le dire, mais le manque de mixité se ressent sur la qualité de tous les courts-métrages. Il y en a même un qui veut se montrer romantique en étant ouvertement vulgaire, c'est dire si ça m'a énervé !
C'est particulier et inégal, mais les films à sketchs sont trop rares pour que j'en dise du mal. J'aime beaucoup le concept un rien mélancolique.