Après une rupture douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l'Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami - un émouvant patron de bar - tout en cherchant de quoi panser son coeur brisé. Occupant des emplois de serveuse, Elizabeth se lie d'amitié avec des clients dont les désirs sont plus grands que les siens : un policier tourmenté et sa femme qui l'a quitté, une joueuse dans la déveine qui a une affaire à régler.A travers ces destins individuels, Elizabeth assiste au spectacle du véritable abîme de la solitude et du vide, et commence à comprendre que son propre voyage est le commencement d'une plus profonde exploration d'elle-même.
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à WillWill qui a créé cette fiche
Juste magnifique. Romantique sans en faire trop. Avec une b.o géniale.
Un film juste beau. Touchant par sa simplicité, et en même temps par la complexité qui entoure chaque personnage. Contemplatif au plus haut degrés car quasiment chaque plan est à lui seul une œuvre d'art.
D'un vide abyssal. La romance n'a aucun sens, le personnage de Lizzie m'a vraiment déplu -malgré le jeu étonnamment bon de Norah Jones-. Elle est involontairement dépeinte comme orgueilleuse et désagréable et attire tout sauf de la compassion.
C'est un genre d'atmosphère qui me parle d'habitude, alors la déception en a été que plus grande.
Mise à jour 4 mois plus tard : Ces passages nocturnes dans le bar sont incrustés dans ma mémoire. L'atmosphère, dont je me plaignais juste au dessus, a apparemment tapé au bon endroit tout compte fait. Je pense que c'est ça, j'ai adoré ces scènes nocturnes dans le bar. Si seulement il n'y en avait pas d'autre !
Mise à jour 4 ans plus tard : Suite de la farce, dans la catégorie "Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis". Mais comment prendre au sérieux mes propres opinions si je suis capable de donner 5/20 à un film, puis dix points de plus quelques années plus tard ? Le passage de la majorité, sûrement... ou bien le temps d'avoir pu développer une fascination sans aucune objectivité pour la filmographie de Wong Kar Wai, en tout cas, me revoilà devant My Blueberry Nights. Les promenades de Norah Jones qui m'exaspéraient résonnent enfin, pas mal pour ce qui constitue les 3/4 du film, et le reste qui m'intriguait déjà a terminé son processus d'obsession à long-terme. La relation entre les 2 personnages principaux mériterait certes approfondissement, mais je m'en fiche, je l'imagine, ça suffit, tout ce qui les entoure remplit les vides scénaristiques.
Alors sans me lancer dans mon habituel panégyrique du réalisateur où il est question de la finesse de ses ambiances, de ses soundtracks ou de son rapport au temps, j'en resterai à : j'étais probablement de mauvais poil lors du premier visionnage, pas d'autre explication.
Je ne sais pas pourquoi mais j'avais un meilleur souvenir de ce film à mon premier visionnage. Globalement c'est sympa mais il ne se passe pas grand chose et les musiques qui se répètent 2 ou 3 fois dans le film, c'est un peu lourd ^^ En revanche, les mélodies sont quand même bien choisies, la photographie est sublime et les acteurs très convaincants. J'avais oublié que Portman jouait un personnage aussi agaçant :p
Un bon deuxième moment tout de même :)