Elle habite avec son fils et son mari en face du Luxembourg... Il habite seul avec son fils à l’arrière d’une camionnette. Elle dirige une prestigieuse fondation d’art contemporain... Il vit de petits boulots et d’allocations. Elle a bac + 7... Il a failli faire 7 ans de prison. Elle tutoie le ministre de la culture... Il tutoie toutes les bouteilles d’alcool qu’il rencontre. Elle aime le débat d’idées... Il aime le sexe avec des inconnues à forte poitrine. Ils ne se ressemblent pas du tout... et se supportent encore moins. D’ailleurs, ils n’auraient jamais dû se rencontrer. Mais leurs enfants, eux, sont inséparables... Ils finiront par comprendre pourquoi...
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Kimysmile qui a créé cette fiche
J'ai trouvé ça sympa, même si c'est prévisible à mort et un peu longuet sur la fin!
Ça s'essouffle vite, c'est assez vide, mais la fin est quand même drôle, alors...
J'ai trouvé ce film nul au possible. Il ne se passe rien, absolument rieeeeen à part le minimum syndical pour une comédie romantique. Poelvoorde est détestable comme à son habitude (ou c'est juste moi) et les autres ne sont pas vraiment mieux puisque 90% du casting joue lamentablement mal, le pire étant celui qui fait le fils de Poelvoorde dans le film... hasard ? Je ne pense pas. Le seul point positif que j'y ai trouvé c'est Virginie Efira, convaincante dans son petit rôle. Est-ce du talent ou bien le fait qu'elle soit entourée de médiocrité, je ne sais pas. Quant à la fin, elle est navrante au possible et ajoute encore une pierre à l'édifice de la vulgarité qui avait déjà atteint des sommets pendant le reste du film. *Insérez une onomatopée évoquant le vomissement ici*
Plutôt une bonne surprise. J'ai adoré le personnage joué par Virginie Efira. Mais c'est vrai que ça traine un peu en longueur.
Benoît Pooelvoorde est un acteur à l'aura convoitée. Passé maître dans l'univers de la comédie depuis son apparition dans C'est arrivé près de chez vous (1992), il ne cesse de se donner corps et âme envers l'héro qu'il incarne (plus souvent loufoque qu'intellectuel, il faut l'avouer). Si l'une des comédies dans laquelle il a le plus excellé n'a pas fait l’unanimité (Les deux mondes), Mon pire cauchemar est une réelle surprise autant sur son fond que sur sa forme, qui devrais en mettre plus d'un d'accord. Car si son scénario n'est pas vraiment resplendissant, la manière qu'à l'équipe du film de prendre en image les personnages est rapidement convaincante. Incarnant à l'écran un père au demeurant peu réfléchi et assez impulsif, Peolvoorde donne une identité attachante à son personnage, à l'opposé contraire de ce qu'il aurait été possible de concevoir et surtout à l'opposé de cette bourgeoise incarnée par Isabelle Hupert. Elle, riche, agaçante et rigide, lui, loser idiot mais sympa ; ni l'un ni l'autre n'aurait pensé tomber sous le charme, et pourtant... Le film regorge de situations loquaces mais franchement humoristiques, dont quelques répliques directement sorties d'un "Bronzès" en bonne et due forme. En quelque sorte banale, mais à la fois intéressant à visionner si l'originalité de l'acteur belge plait au concerné.
Une petite comédie qui se regarde bien avec un Benoît Poelvoorde très bien dans son rôle, quelques passages assez amusants pour passer une bonne soirée divertissante