Nicky, un jeune homme ordinaire, plutôt gentil, préfère jouer de la guitare plutôt que de s'investir dans de sombres affaires familiales. Ses deux frères sont en revanche dévorés d'ambition, sans scrupules, et n'attendent qu'une chose: prendre la place de leur infernal papa, le diable lui-même. Mais celui-ci n'est pas prêt à passer la main. Dépités et furieux, les deux Belzebuth juniors quittent la maison pour New York et condamnent la porte des enfers, privant leur père des nouvelles recrues du purgatoire qui assurent sa survie. Nicky va devoir sauver le diable.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Merci à batman qui a créé cette fiche
S’il y a bien un acteur qui a su profiter de la vague déconcertante du créneau cinématographique 1995/2005 (fin des 90’s et début 2000), c’est bel et bien Adam Sandler ! A travers bon nombre de comédies potaches, il a su montrer et démontrer qu’on pouvait faire du cinéma sans trop de prendre au sérieux. Si certains de ces long-métrage ont su conjuguer le cinéma populaire aux farces bon marché (« Terminagolf », « Waterboy », « Mi-temps au mitard »…), d’autres, à l’image de « Little Nicky », ont fait chou blanc. En effet, rien ne marche dans cette pseudo comédie complétement ridicule sans une once d’intérêt… et même si le créneau Sandler se définit tel quel, il y a tout de même une limite à la médiocrité. Les décors du film de Steven Brill semblent être fais en papier maché alors que le synopsis, écrit sur une feuille de papier toilette, n’épargne rien ni personne. Et pourtant, il y avait des raisons d’y croire un maximum grâce à un casting plutôt alléchant (Harvey Keitel et Patricia Arquette se sont probablement perdu en chemin). Désolé, Adam S., mais cette fois-ci, ça ne marche pas du tout.