Une terrible pandémie a anéanti la moitié de l'humanité. Plus précisément, beaucoup de femmes ont perdu la vie dans cette tragédie, tandis que d'autres se retrouvent confrontés à une nouvelle réalité. C'est le cas de ce père qui est maintenant le seul à pouvoir protéger sa fille des dangers extérieurs. Dans cette aventure à hauteur d'homme, ce duo se retrouvera pris au piège dans les bois. Père et fille vont-ils survivre et comment cela va-t-il renforcer leur lien ?
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Merci à NoOne qui a créé cette fiche
Ovni du cinéma, très long à commencer j’ai cru que la scène d’ouverture n’allait jamais se terminer. Mais une fois commencé, on y est. Ça m’a beaucoup fait penser aux « Fils de l’homme » de Cuàron avec une réalisation similaire. J’ai beaucoup aimé les silences et les regards des acteurs
Casey Affleck est magistral ! Effectivement la scène d'ouverture est légèrement interminable mais certainement pas par hasard. On pense au "Fils de l'homme" mais aussi à "Leave no Trace" ou encore "La Route" avec Viggo Mortensen. En tout cas c'est un beau film.
Je mets une mauvaise note, mais j'ai eu l'impression pendant deux heures de voir un film vide de toute substance...
C'est l'histoire d'un père qui parle avec sa fille. Et c'est tout. Alors parfois, il change d'endroit pour parler avec sa fille, histoire de changer de décor, et d'autres fois, il y a des gens qui veulent parler aussi avec sa fille, mais le père veut pas parce que c'est quasi la dernière fille au monde et que c'est dangereux.
Voilà. Il ne se passe strictement rien d'autre que de la parlotte. Si encore les répliques étaient de qualité, mais non, c'est une discussion des plus banales sur la vie, la mort... Pourquoi n'avoir pas abordé plus concrètement l'univers post-apocalyptique du récit ? Il aurait fallu davantage d’interactions entre personnages...
Évidemment, comme dit précédemment, on pense Au fils de l'homme et pourtant, hormis la thématique post-apocalyptique, la lumière et la photo crépusculaires, la manière de filmer est tout de même l'opposé de Cuaron. L'un joue des mouvements de caméra avec des plans-séquence magistraux tandis qu'Affleck ne fait jamais bouger cette dernière, à aucun moment. Dès l'entame du film et ce durant tout son long, la caméra ne bougera. Une analogie de cette intrigue qui n'avance pas ? Tout était annoncé depuis le début, et pourtant, cette relation père-fille restitue parfaitement le climat pesant et puissant qui revêt les habits de la lenteur. Un film monothéiste qui ne jure que par la qualité de ses acteurs et leurs dialogues !
Si la mise en scène apporte beaucoup de douceur et de bienveillance, difficile de ne pas constater que Casey Affleck recentre constamment l'intrigue sur son personnage, et est incapable de traiter les préoccupations et inquiétudes profondes de Rag, à l'instar de la métaphore sur Art et Goldie. Recentrer Rag comme élément indispensable en fin de film n'est pas du tout suffisant pour faire un film sur elle. Pour un premier film (de fiction), le réalisateur s'est très bien entouré (compositeur, directeur photo) et le film est vraiment plaisant. Malheureusement, j'aurai aimé une prise de risque pour rendre le film mémorable. Avec un scénario aussi convenu, je l'oublierai très rapidement...
Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà pris une aussi grosse claque au cinéma !
Cela me faisait penser au film "La Route" avec Viggo Mortensen! Angoissant pareil!
J'ai bien aimer même si le début paraissait long mais c'est très bien fait
Sympa sans être transcendant.