José est agent de footballeurs. Sa spécialité : repérer en Afrique des talents prometteurs. Lorsqu’il déniche Yaya, il l’emmène en Belgique pour en faire un champion. Il est persuadé d’avoir trouvé la poule aux œufs d’or. Mais rien ne se passera comme prévu... (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Manque fulgurant de profondeur. Les événements tournent au ridicule. Désintérêt total pour ma part pour l'histoire principale comme pour les histoires secondaires. Et bonjour la caricature du belge ! Je n'attendais pas grand chose de ce film...et je n'en retiendrai rien du tout.
Je n'ai pas compris le message de ce film... On ne sait rien vraiment des personnages principaux, on ne s'attache à personne et on ne ressent absolument rien. Dommage.
film plat et scénario bâclé, dommage ce film partait sur une assez bonne idée de base.
Ce film mérite le détour, rien que pour le fait que le foot-business a certainement généré aussi des histoires moins belles qu'on tait volontiers.
Il dénonce des choses que l'on constate aujourd'hui encore dans beaucoup de pays où le comportement de colons aux mains pas très propres foisonne toujours.
Etant née et habitant à Charleroi, cela m'a fait plaisir de voir les endroits où je traîne à l'écran.
Mais je pense que c'est la seule chose que j'ai vraiment aimé dans ce film.
C'est plat, il ne se passe pas grand chose et des fois on ne comprend pas très bien ce que les gens disent à cause des problèmes d'élocution et aussi à cause des accents (belges et africains, pourtant je baigne dans les deux).
J'ai pas trop compris la morale de l'histoire non plus ...
Très loin du registre qu’il affectionne et qui lui a valu une reconnaissance internationale, Benoît Poelvoorde s’illustre au drame de la plus belle des manières, le cœur sur la main. Après Cowboy (2005), l’acteur belge retrouve Benoît Mariage et le fait voyager au cœur d’une Afrique bercée par l’illusion qu’un futur professionnel du football puisse se cacher dans chaque petit village familial. Au delà de sa vocation informative, Les Rayures du zèbre est surtout d’une justesse assez incroyable. Le réalisateur (également scénariste et dialoguiste) empreinte un chemin épineux sans jamais se fourvoyer et rend compte d’une réalité dépassant parfois l’image qu’il est possible de s’en faire. Marc Zinga, très juste dans sa manière d’aborder son personnage, est touchant et impressionnant de crédibilité, lui qui n’a pourtant pas beaucoup de films à son actif. Si quelques protagonistes ne sont pas traités à leur juste valeur, cela n’empêche pas à cette surprise franco/belge de trouver son public. Et pour les plus septiques, pas besoin d’être un passionné du ballon rond pour y prendre son pied.
Je n'ai pas vu de comédie dans ce film à la rigueur une comédie dramatique mais le tout n'est pas terrible, déçu avec un Poelvoorde qui joue vraiment très mal