Traîné devant un tribunal, un fonctionnaire est pris dans les rouages d'une société tentaculaire et absurde. (Source : Allociné)
Adapté du livre Le procès de Franz Kafka
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
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Les portes de la loi sont-elles les portes d'une grande loi universelle et sacrée, ou la loi nous appartient elle à tous ?
Dans une vision cauchemardesque, à la musique obsédante, Orson Wells nous délivre un message sur la responsabilité collective à propos des défaillances du système judiciaire. Nous nous infligeons notre propre aliénation : "to be in chains is sometimes safer to be free". L'homme est libre d'aller où il veut, de son plein gré. Ainsi, pourquoi subir le système s'il est injuste ? Par lâcheté, par impuissance, par peur. Ne nous sentons pas coupables lorsque nous sommes innocents. Ne soyons pas paranoïaques. Ne développons pas de syndrome de persécution. Ne restons pas présumés coupables, sans défense possible, condamnés à mort sans procès. Ne soyons pas des victimes. Nous sommes tous partie prenante de la société. Orson Wells dénonce la lâcheté et l’impuissance des êtres humains qui, en ne s’opposant pas au système, se condamnent à en payer le prix. La loi nous appartient, il faut s'en saisir.